27.8.15

OVNIS ET EXTRATERRESTRES





(21.11.87)

Thèmes :

    1.          La réalité ésotérique des mathématiques
    2.          Les extraterrestres vus ésotériquement
    3.          L’aura énergétique de la Terre




1.  LA RÉALITÉ ÉSOTÉRIQUE DES MATHÉMATIQUES



Question :

Quelle est la réalité ésotérique des mathématiques. Si le verbe créateur est composé par des sons qui sont ses éléments consécutifs, peut-on appliquer la même analogie aux expressions mathématiques et aux nombres ?

À l’image du verbe, une expression mathématique est-elle aussi créative, et si oui, sur quel plan la loi d’évolution s’applique-t-elle aussi, et à quel niveau se situent les connaissances ?


Il faut donc appeler le géomètre, ou en tout cas celui qui est appelé le Grand géomètre. Dès que l’on parle des nombres, des formes, des sons, des résonances, ou des ondes de forme, car c’est toujours le géomètre ou l’aspect géomètre du Grand architecte qui est invoqué.

Ce qui ne veut pas dire que Dieu aurait plusieurs visages : celui de la philosophie, celui de l’initiation et celui de la géométrie.

La science, que nous considérons et que nous appelons science sacrée, contient tous ces aspects pour justement mériter ce nom de science, s’articuler en tant que science et être créative comme toute science doit l’être. Une science, au sens cosmique, doit en même temps être créatrice et contenir en elle-même autant de conscience que l’homme est capable d’associer à la divinité.

Une science qui n’a pas cette capacité créatrice, ni cette conscience-là, est tout simplement un moyen de recherche. Ainsi toutes les sciences de la terre sont des moyens de recherches et ne sont pas encore des sciences. Elles aboutiront un jour à la science, mais elles ne sont pas encore des sciences.

Venons en donc aux mathématiques, ou aux nombres, car je ne voudrais pas m’arrêter qu’aux mathématiques.

Les mathématiques, à l’heure actuelle, sont des expressions de ce qui deviendra plus tard une science et qui devra inclure et revenir à ce que tous les initiés d’autrefois ont appris par la géométrie et par les nombres, qui jouant entre eux, sont capables de créer d’autres rayons.

Ce qui veut dire que le nombre en lui-même, ne peut pas constituer une base de développement d’une science. Ainsi je ne fais pas appel à la numérologie, complètement différente par rapport aux nombres que l’on applique dans la géométrie pour construire le monde et les particules.

Tout nombre, vis-à-vis d’un rapport qu’il a avec lui-même, et non pas vis-à-vis d’un autre nombre, comme il s’agit justement dans la numérologie, devra toujours être dissocié de la faculté que Dieu a à faire de la géométrie. Il existe donc une numérologie plus concrète, beaucoup plus assimilable que ce que vous nommez mathématiques, mais qui n’a rien à voir avec les mathématiques.

À l’heure actuelle les mathématiques sont encore une expression hasardeuse, car les mathématiques se veulent être des formules.

Il n’en est rien

Les mathématiques sont avant tout des expressions, c’est-à-dire que, chaque fois qu’il existe une équation, qu’il existe une formule, il n’y a pas résolution de l’énigme, il y a proposition d’une hypothèse et prolongation d’une hypothèse encore plus grande.

Ce qui fait qu’une formule mathématique découvre tout un champ énigmatique encore plus grand que celui qu’elle vient de résoudre. Il en est de même pour toutes les sciences terrestres à l’heure actuelle. C’est-à-dire que chaque hypothèse ne fait qu’ouvrir, encore plus grand, le champ d’énigmes de toute la connaissance de l’univers. C’est pour cela qu’à l’heure actuelle, on ne peut pas véritablement parler de formules, mais plutôt d’expressions, de recherches.


Que sont donc de façon cosmique les mathématiques terrestres par rapport à la grande géométrie et à la magie des nombres ?

C’est une approche, et tout ce qui est approche, bien sûr, ne doit pas être négligé. Les mathématiques sont donc une façon d’intelligencer les énergies et l’action des énergies par rapport à l’espace, ou encore, l’action des énergies par rapport à une condition purement physique et purement humaine.

Les mathématiques s’occupent de positionner tout ce qui est humain, terrestre et temporel, et de le définir par rapport à ce qui paraît infini, intemporel et indéterminé, d’où le malaise des mathématiques.


Pourquoi les mathématiques sont-elles sans cesse en recherche, alors que si elles étaient véritablement des formules et des définitions, elles ne le seraient pas ?

Parce que tout simplement, elles essaient de positionner ce qui est infiniment petit par rapport à ce qui est infiniment grand. Or les mathématiques ne peuvent pas faire cela.

Ce qui est indéterminé, ce qui est infiniment grand, ne peut pas être, je ne veux pas employer le mot réduit, mais tout de même, c’est l’image qui convient le mieux pour vous faire comprendre. Une formule, une loi, une théorie cosmique ne peut pas être réduite à une formule mathématique, ce qui ne veut pas dire que les mathématiques n’ont pas cette possibilité.

Cela veut dire qu’il va falloir dépasser les théories que l’on connaît à l’heure actuelle, et de quelle manière ?

Toutes les sciences ont à faire le même effort, que ce soit la médecine, la physique, la physique nucléaire, etc. Elles doivent admettre qu’il existe une quatrième dimension et ainsi toutes les recherches vont prendre une dimension nouvelle.

Admettre qu’il existe une quatrième dimension va permettre de reformuler toutes les théories, ce qui ne veut pas dire que tout l’acquis va devenir nul et que tout l’acquis est illusoire.

Il s’agit de monter par pallier et lorsque l’on se trouve à l’entrée d’un nouveau cycle, à l’entrée d’une nouvelle compréhension, à l’entrée d’une nouvelle étude, d’un nouveau champ de découvertes, il faut pouvoir admettre les lois qui dirigent ce nouveau champ, soit cette nouvelle dimension. Sinon, les instruments avec lesquels on vient et qui ont servi à connaître, à diriger et aussi à diagnostiquer le plan précédent, ne vont pas servir dans l’autre champ de conscience et d’investigation.


Que manque-t-il donc aux mathématiques ?

Les mathématiques ne sont pas des sciences qui manquent d’envergure, qui sont sur une fausse piste, qui manquent d’initiés ou quoi que ce soit d’autre. Il y a tout simplement à créer, comme à l’intérieur de toutes les sciences, une ouverture, et c’est cette ouverture-là, qui va permettre aux mathématiques de pouvoir concevoir ce que Dieu géométrise.

Ainsi lorsque l’on essaie de comprendre quel est le développement de l’univers, quel est le développement de sa chaleur, le taux de coefficient de son refroidissement, la vitesse de l’expansion, ou l’unité de temps, on ne va plus se baser sur des formules qui viennent du monde physique, mais l’on va au contraire découvrir des équations qui seront propres à cette quatrième dimension. C’est un peu comme si à chaque dimension existait l’instrument capable de l’appréhender.

Ce qui ne veut pas dire qu’un seul et même instrument ne peut pas donner la vérité sur l’univers depuis son point le plus éthéré jusqu’à son point le plus dense. Étant donné que tout ce qui est en bas est comme ce qui est en haut, une science véritable doit pouvoir se formuler de la même manière, depuis son point le plus éthéré jusqu’à son point le plus physique.

C’est-à-dire qu’une fois que les sciences auront fini d’investiguer champs par champs les différentes dimensions et les différents aspects de la vie, de la condition de l’homme et de la création, elles vont pouvoir tirer une synthèse, qui va permettre de résumer toutes les théories, toutes les formules, toutes les équations et trouver la formule de base qui permet de comprendre l’univers, depuis son point le plus éthéré, jusqu’à son point le plus dense. Mais avant, il va falloir faire ces paliers.


Que sont donc véritablement les mathématiques ?

Une approche du réel. En même temps que ce soit sa grande richesse, c’est aussi le grand désavantage des mathématiques. Les mathématiques ne considèrent de prime abord, que ce qui est réel et réclament une réalité à tout ce qu’elles approchent.

Lorsqu’il s’agit de comprendre une zone plus éthérée, une zone un peu plus abstraite qui échappe aux lois de la physique pure, les mathématiques deviennent limitatives, au lieu de continuer leurs projections expansives dans l’apport de données nouvelles, d’abstractions et de conceptions possibles.

Ce qui veut dire, que la réalité, ou ce que l’on croit être la réalité, ne s’arrête pas à ce qui est démontrable, mais qu’il faudra bien admettre un jour, qu’il existe quelque chose que l’on ne peut démontrer, mais plutôt quelque chose que l’on doit expérimenter.

Les mathématiques doivent devenir expérimentales. Et c’est là où les mathématiques sont complètement anéanties par une autre de vos sciences, qui de toute manière sera toujours le fer de lance des découvertes, c’est la physique. Les mathématiques sans la physique ne valent rien, de la même manière, la physique ne peut pas avoir de racine et de sève sans les mathématiques, parce que les deux conceptions vont l’une avec l’autre. Mais cependant les mathématiques seront toujours, en quelque sorte, l’antistar de la physique.


Pourquoi la physique est-elle plus importante que les mathématiques ?

La physique s’occupe de concept beaucoup plus abstrait, et est beaucoup plus ouverte à admettre ce qui n’est pas démontrable. Ce qui ne veut pas dire qu’elle est prête à admettre ce qui n’est qu’hypothétique, car à ce moment-là elle deviendrait une science fausse, une science sans application possible, sans formulation possible, ouverte à toutes les folies et toutes les suppositions.

Ce qui fait que la physique est supérieure aux mathématiques, c’est qu’elle entre dans le champ d’investigations que l’on appelle l’espace et le temps et la contraction des deux. Ainsi, en analysant ce qui est infiniment petit, on comprendra ce qui est infiniment grand, parce que la physique est expérimentale, alors que les mathématiques ne le sont pas. Et c’est pour cela qu’il ne sert à rien de créer deux branches différentes, en fait, cela fait une seule et même branche.

Mais revenons à ce Dieu qui géométrise et qui ressemble, un peu par là donc, aux mathématiques.


Que sont la force, la puissance et la science des nombres, ou plutôt je dirais des proportions ?

Lorsque vous imaginez des nombres, vous imaginez, un, deux, trois, etc. et ainsi vous limitez une expression, qui ne peut avoir son expression que dans la mesure où elle est comprise comme proportion et non plus comme mesure.

Quelle différence existe-t-il entre une mesure et une proportion ?

Une mesure est quelque chose de limité. Lorsque l’individu pense à mesure, il a un cliché limitatif, tant de centimètres, tant de secondes, tant de vibrations, c’est quelque chose de limitatif.

La proportion implique le volume, alors que la mesure ne l’implique pas. La proportion est donc à trois dimensions, il va falloir admettre le nombre comme étant un volume et non plus comme une mesure.

Tant que les architectes, considéreront le nombre comme une mesure, ils n’arriveront pas à bâtir des formes divines, ni même à se sentir bien dans ce qu’ils bâtissent et ce qu’ils bâtissent n’aura aucun rayonnement, ils n’apporteront rien à l’édification initiatique d’une civilisation.

Il faut donc qu’ils commencent à comprendre et à concevoir le nombre comme étant un volume, lui admettre donc une troisième dimension.


Quel est ce volume, quelle est cette troisième dimension dont je parle ?

Lorsque l’on considère qu’un nombre est une proportion, on lui admet un certain champ vibratoire. Donc, cette proportion une fois créée sur un plan bien physique, crée tout un champ vibratoire. C’est en tout cas ce que les initiés autrefois ont compris et c’est ce qui leur a permis de créer les ondes de formes qui existent encore aujourd’hui : les pyramides, les cathédrales.

Pourquoi ces lieux sont-ils plus spécialement sacrés que d’autres ?

Qu’ont-ils de plus, ou qu’ont-ils de mieux ?

Ce n’est pas que leur architecture soit meilleure, ce n’est pas qu’elle soit hautement divine ou hautement initiatique, mais elle tient compte du fait, que le nombre est une proportion et qu’il peut dégager un volume. Et ainsi, l’initié va pouvoir jouer avec ce volume, dans lequel est inséré un champ magnétique.

Tout volume inclut un champ magnétique. Dès que vous tracez, dès que vous formez par exemple un cube, et que vous vous positionnez à l’intérieur de ce cube, vous vous trouvez à l’intérieur d’un champ magnétique. C’est ce qu’on appelle le rayonnement de la forme, ou l’onde de forme, comme vous voulez. Un carré, n’a aucun rayonnement, dès qu’il y a volume, il y a champ magnétique.


Quelle est l’importance de ce champ magnétique, par rapport au Dieu qui géométrise ?

Ce champ magnétique est primordial, parce que c’est à l’intérieur de ce champ magnétique qu’il va pouvoir décider de l’attirance ou de la répulsion des atomes et des particules entre eux et entre elles. C’est-à-dire que c’est à l’intérieur de ce champ magnétique que vont se décider toutes les façons de créer l’univers, toutes les compositions de l’univers.

C’est ce champ magnétique qui va permettre à l’atome d’en attirer, ou d’en repousser un autre, de déterminer s’il va devenir, après transformation à travers une molécule, de l’eau, la cellule d’un foie, la cellule d’un épiderme, ou la cellule d’une fleur. Ainsi, selon les proportions des nombres, les champs magnétiques vont être différents, vont avoir des notes différentes, exactement comme sur un instrument de musique, et ces différents champs magnétiques, se rencontrant les uns les autres, composent toute la richesse et toute la diversité de la création.

Autrement dit, il y a là, une application un peu plus dense de ce que l’on estime comme étant les rayons sur un plan ésotérique.

Ces champs magnétiques sont des sortes de supports à ces rayons primordiaux qui composent l’univers et qui maîtrisent l’univers, mais ils ne sont pas les rayons. Ils en sont en quelque sorte la dynamo, de manière à électriser, à charger tous les atomes, toutes les particules de l’univers et à les rendre un petit plus denses, à les rendre surtout opérationnels.

Et une fois que la capacité d’être opérationnelle est incluse dans l’atome, l’atome connaît son plan, ce plan qui lui est ordonné, il en est comme imprégné, comme marqué d’un sceau.

Alors, le nombre d’atomes déterminés pour la création, le nombre d’atomes déterminés pour ce qui doit être créé, rentre en jeu et se précipite dans l’univers, ces atomes précipitent en même temps, tout le champ magnétique dans lequel et dans lesquels ils sont nés. De ce fait, tout ce qui est créé, émane un champ vibratoire et a, de par sa naissance, un potentiel magnétique.

Ce potentiel magnétique est une charge électrique négative, qui va permettre, à ce qui est créé, de recevoir ce qu’il y a de supérieur à lui. Lui, créé de manière dense et physique, ce qui représente la matière, va pouvoir recueillir ce qui est positif, l’esprit.

Un atome qui serait chargé de façon positive, (imaginons que cette folie puisse exister dans l’esprit des adeptes et des Dieux), ne recevrait jamais l’esprit, ne recevrait jamais les âmes et rien de ce qui va pouvoir maintenir la vie de l’univers. Un atome, de par sa vibration, de par son essence et la nécessité de l’univers, est toujours négatif. C’est pour cela, qu’il symbolise aussi la formation première de la matière, qui, elle-même est négative.

L’esprit est positif, parce qu’il est celui qui est émis, alors que l’atome ou la matière est celui qui reçoit. De cette manière, lorsque l’atome reçoit l’esprit, donc lorsque la terre, la matière reçoit l’esprit, il y a une dynamisation entre les deux qui se crée comme par friction. De là naît un troisième axe, une troisième énergie, si vous préférez un troisième rayon, qui devient en quelque sorte le fils de Dieu.

Ce principe évolutif est en chaque homme, chaque animal, chaque créature de l’univers, chaque pierre, chaque comète, chaque planète. C’est la friction entre la matière et l’esprit, qui crée ce principe évolutif, en même temps qu’un principe d’auto-conscience, et de conscience absolue.

Si l’on analyse l’atome de par sa tension vibratoire, on s’aperçoit qu’il ne dégage pas de conscience. Un initié qui essaierait de se projeter dans l’atome pour voir ce qu’est l’atome, ne rencontrerait que de l’énergie dans un niveau d’auto-conscience extrêmement réduit, donc inexistant.

Puis, en regardant le principe athmique, ou si vous voulez l’âme qui descend en chaque chose, il s’apercevrait, qu’elle est au contraire, extrêmement consciente, mais qu’elle est perdue comme dans une sorte de nébuleuse, de conscience trop parfaite, qui lui empêche l’action, le déterminisme, le choix, donc le principe créatif.

En unissant ces deux opposés, le troisième aspect est dégagé, soit le fils de Dieu, le principe évolutif qui va pouvoir dire « Je » face à l’univers. La matière ne dit pas « Je », elle dit « nous », l’esprit ne dit pas « Je », il dit « Je suis cela », en unissant les deux on obtient le fils qui dit « Je suis », et de là commence toute l’aventure humaine, toute l’aventure de la création.

Lorsque les mathématiciens veulent essayer de comprendre ce phénomène, lorsqu’ils veulent essayer de le formuler, d’en faire une théorie, il se trouve que la simple démarche avec laquelle ils abordent le sujet ne leur permet pas de comprendre comment espérer une formulation.

Tant que l’on ne s’occupe que de ce qui est tangible et que l’on ne voit que par trop ce qui est réel, tout ce qui appartient à une surréalité apparaîtra aux yeux du mathématicien ou du physicien comme une irréalité. Or, il se trouve que tout ce qui est surréel est une grande vérité, mais là, on croit que ce qui est sa vérité est la seule réalité.

Montre-moi, permets-moi de toucher et je croirai. Donne-moi à supposer, alors je ne crois plus. Ma réalité s’arrête à ce que je peux comprendre par des formules, qui elles-mêmes ont été attachées à ce que je peux voir, sentir, regarder.

Donc, à un moment donné, il faut créer dans l’esprit un décrochage, et non pas admettre dans une grande folie collective tout ce qui est hypothèse.

Les mathématiques ne doivent jamais s’orienter vers la formulation des hypothèses, sinon, elles ne sont plus un moyen de recherches ou de découvertes. Elles doivent supposer qu’il existe une réalité supérieure, une dimension invisible. C’est cela qui peut faire basculer tout entendement, permettant d’aller beaucoup plus loin, la réalité de l’invisible étant vécue comme une surréalité, et non pas comme une irréalité.


En fait qu’elle est la limite des mathématiques ?

La limite des mathématiques ne vient pas des mathématiques elles-mêmes, mais des cerveaux qui utilisent les mathématiques. Les mathématiques ont un pouvoir infini de formulation.


Pourquoi tout l’univers, toute la création et même les principes d’évolution peuvent-ils se résumer à des nombres ?

Tout étant complémentaire, lorsqu’il y a une énergie, cela signifie qu’il existe une loi : être maintenue par l’action des proportions, donc des nombres, des sons, des couleurs. Chaque couleur correspond à un nombre, à un volume, à un champ magnétique, à un champ vibratoire et à une densité spécifique d’atomes dans son propre champ vibratoire. Cela correspond aussi à une loi et aux maîtres de cette loi, donc à un Koumara dans l’univers. Ce que vous appelez aussi les êtres planétaires ou les Dieux, si vous préférez, les Dieux planétaires.

Donc, cela ne veut pas dire qu’il y a les nombres et la géométrie, cela ne veut pas dire qu’il y a les rayons et l’énergie. Toutes ces choses sont une seule et même expression. C’est pour cela que toutes ces sciences ont lieu sur la terre. Si elles n’existaient pas au ciel, elles ne pourraient pas avoir lieu sur la terre.

L’homme étudie à sa façon, mais il ne peut étudier que ce qui existe au ciel. Ainsi il peut être père et mère, que parce que le principe existe lui-même dans l’univers. Il peut être artiste, que parce que le principe de beauté et de création existe lui-même dans l’univers. Il peut être mathématicien, que parce que le principe des nombres existe lui-même dans l’univers. Mais se limiter à dire que telle chose prime sur telle autre, c’est faux.

C’est comme l’individu qui ne s’attacherait qu’à être philosophe, ou qu’à être mathématicien, ou qu’à être artiste, en négligeant toutes les autres capacités de l’esprit et de ses énergies. Donc, il faut pouvoir dans une grande envergure d’esprit, tout admettre.

La science dont nous venons de parler, bien qu’elle passe pour une science concrète, va nécessairement déboucher sur l’abstrait, car de plus en plus en étudiant et en voulant formuler l’espace, les hommes seront obligés d’admettre la dimension invisible. À l’heure actuelle, ce qui fait une sorte de patinage, de retard, c’est tout simplement la peur d’admettre cette invisible, d’admettre la quatrième dimension, d’admettre la dimension de l’esprit et des énergies.


Pourquoi l’homme a-t-il cette peur ?

Cette peur ne vient pas du fait que l’homme craint cette dimension, mais il craint qu’en admettant qu’elle existe, cela l’oblige à renier tout ce en quoi il croit à l’heure actuelle.

Donc il a peur de lui-même et non pas de cette autre dimension, pas plus que des mathématiques ou de quoi que ce soit d’autres, encore et toujours il a peur de lui-même. Peur de ne pas avoir su avant, peur de ne pas avoir reconnu avant, peur de s’être trompé.

L’homme est un être immensément orgueilleux. Il y a énormément de chercheurs qui sont prêts à admettre cette autre dimension, à admettre cette ouverture, mais qui, pour ne pas se renier totalement, préfèrent continuer et persister dans leur voie traditionnelle de découvertes et de recherches.

Alors vous allez me dire, mais cela n’a pas de sens, puisqu’ils la soupçonnent, ils devraient être tellement heureux de découvrir la vérité, pourquoi ne lâchent-ils pas l’ancienne dimension ?

Ces résistances, qui se situent au niveau intellectuel, sont les résistances les plus dures à enlever. Vous avez plus de pouvoir pour faire cesser un cœur, d’en aimer un autre, que de faire cesser un système cérébral à croire quelque chose.

L’homme immensément cérébral à ses heures, selon sa nature, s’approprie l’univers et se trouve en rapport de forces avec l’univers.

L’homme veut (par instinct de survie plus que par désir de domination) pouvoir contrôler l’univers. Or les scientifiques les plus à plaindre, les plus retardataires et qui mettent en grand mal l’avancée des sciences, sont justement ceux qui n’admettent pas de ne pas pouvoir dominer l’univers, dominer la vie, la comprendre et la diriger.

Pour eux, admettre une quatrième dimension, équivaudrait à lâcher complètement prise et à admettre qu’ils sont dirigés, ou que l’humanité est sous-tendue par des forces venues d’autres constellations, venues d’autres planètes et venues du cœur d’autres êtres. Ils devraient se reconnaître non pas comme centre de l’univers, centre de la terre, centre de leurs sciences, mais comme des élèves qui essayent de comprendre et qui essayent d’évoluer.

Il y a parmi les chercheurs un orgueil plus grand que dans le cœur des autres hommes, c’est celui dont je viens de parler, et c’est un grand péché dans cette science.

Les premiers à en souffrir, ce ne sont pas eux-mêmes. Au contraire, ils édifient leur grandeur, leur prestige intellectuel. Les premiers à en souffrir, ce sont les êtres humains de l’humanité en général. Parce qu’il se trouve qu’à l’heure actuelle et dans votre type précis de civilisation, tout ce qui est admis par la science, devient ensuite une opinion publique et un principe de la culture.

Ce qui fait que, tant que les choses ne seront pas homologuées par la science concrète, rien ne va pouvoir devenir une partie de la culture. Ainsi des principes comme la réincarnation, la survivance de l’esprit, le rayonnement de l’âme, la réalité des chakras, ne feront partie que des dogmes que les individus acceptent de croire et de comprendre que de par leur seule évolution.

Ce qu’il faudrait faire, une bonne fois pour toutes, c’est faire passer toutes ces notions dans une culture générale, de manière à ce que ces vérités fassent partie de votre connaissance de tous les jours. Cela viendra. Il ne faut pas pleurer sur le fait que cela ne soit pas encore. Cela viendra un peu plus tard, il faut simplement prendre le temps de faire sauter tous ces blocages dans les résistances cérébrales des individus.

Les mathématiques, comme je vous l’ai dit, sont une science qui doit devenir expansive au lieu de restrictive : je n’admets que ce que je comprends. Forcément cela paraît logique comme démarche, parce qu’un individu ne peut supposer, ou créer une formule, une théorie, que dans la mesure où il comprend le champ d’investigations dans lequel son système cérébral est en train de s’articuler.

Mais il y a une dimension supérieure en l’homme qui permet à son système cérébral d’être adombré, et le mathématicien ou le physicien qui fait résistance à cette autre dimension, qui ne veut pas du tout en entendre parler, limite son système cérébral à n’être que cérébral. Alors que le système cérébral de l’homme n’a pas du tout été conçu, fabriqué, par les seigneurs de la race, pour être seulement un instrument cérébral.

Cela serait une stupidité de passer des millions d’années à créer une boîte crânienne, pour que l’individu puisse seulement intellectualiser avec cette boîte crânienne.

Les seigneurs de la race ne font jamais rien pour la gloire ou la beauté du geste, il y a une raison profonde et initiatique à chaque chose. Seulement à l’heure actuelle, l’homme dans sa dimension initiatique se trouve être beaucoup plus cérébral, qu’adombré d’un mental supérieur, soit un mental intuitionnel.


Quel est la relation entre un système cérébral et le mental intuitionnel, soit l’intuition pour résumer ?

Qu’elle est leur grande ressemblance et leurs grands rapports ?

Rapport qui doit être créé le plus tôt possible, pour que l’humanité puisse continuer son développement initiatique.

Le rapport est que le cerveau, ou le système cérébral, n’est qu’une mémoire. Ce que vous appelez intellect, ce que vous appelez système cérébral, n’est que l’articulation d’une mémoire. C’est pour cela qu’il vous semble si difficile de vivre sur ce plan-là, et pour tous les êtres qui sont trop cérébraux, il est très difficile de pouvoir vibrer comme un être humain.

Par contre, ils sont chargés de problèmes, ils sont chargés du problème d’être conscients de tous les problèmes passés, présents, à venir. Ce qui ne veut pas dire, que les êtres cérébraux ont plus de problèmes que les êtres beaucoup trop émotionnels.

Quelqu’un de trop cérébral, est quelqu’un qui a une mémoire, une collectivisation des mémoires du cerveau beaucoup trop permanente. Lorsque vous parlez, lorsque vous vous exprimez, vous ne vous exprimez pas parce que vous êtes intelligent, cela est idiot de croire que le cerveau est intelligent. Vous articulez les phrases, vous articulez les mots, parce que votre mémoire les a enregistrés, donc votre cerveau les a enregistrés.

Quelle est la chose, la substance, ou le rayon, qui va permettre à ces enregistrements de s’articuler ensuite en tant que phrase, expression, philosophie ou quoi que ce soit d’autres ?

C’est ce que l’on appelle en l’homme le plan mental supérieur. Or, chez l’individu moyen, ce plan mental n’est pas fortement éveillé, c’est-à-dire la conscience objective de l’homme ne s’est pas épanouie pleinement sur ce plan-là. Donc, lorsqu’il va parler, lorsqu’il va agir, rien d’étonnant à ce qu’il agisse d’après des clichés anciens, tel que : j’ai reçu tel complexe à tel âge, je retrouve une situation semblable aujourd’hui, je vais donc réagir en conséquence et en théorie par rapport au complexe passé.

Parce que l’homme vit essentiellement au niveau de la mémoire, et pas à un niveau intellectuel. Car s’il pouvait seulement utiliser la raison, l’équilibre, la pensée du système intellectuel, il pourrait se débarrasser de tout le lot des complexes et des traumatismes. Or cela ne se peut pas, et ne se fait pas.

Par contre lorsqu’au fur et à mesure des incarnations, lorsqu’au fur et à mesure du développement vibratoire, un individu arrive à devenir objectif et conscient sur son plan mental, il va déclencher la roue de ce que vous appelez l’intelligence.

C’est-à-dire, avoir des paroles fort à propos, être capable de philosopher avec grande abstraction, être capable d’avoir un entendement à propos d’une chose, donc de comprendre la chose, plutôt que de la subir, comme fait l’homme moyen qui n’est régi que par la mémoire de la chose, et non pas d’après une philosophie, une sagesse et une liberté.

Lorsque ce plan mental supérieur, ou ce plan intuitionnel, comme l’on peut dire aussi, lorsqu’il commence à s’épanouir, lorsqu’il commence à se positionner et à s’ouvrir pour se répartir dans toute la manifestation que la personnalité permet, le cerveau physique, tout le système cérébral, devient un instrument semblable à tous les instruments que vous connaissez dans votre vie courante.

Pour bien comprendre la relation qui existe entre le système cérébral et le plan mental supérieur, il faut donner tout simplement l’image que votre civilisation permet à l’heure actuelle, qui est l’image de l’ordinateur et de l’homme pensant qui le manipule.

Pour l’individu qui se situe sur un plan moyen d’évolution, il n’est que l’ordinateur, il va être régi par toutes les données que la vie aura marquées en lui, en forçant sa porte, en forçant ses émotions, en forçant sa compréhension. Ainsi les sciences comme les mathématiques, s’arrêtant à cet échange de données, ne pourront jamais découvrir le grand être, l’énergie, la substance universelle. Mais sitôt que l’utilisateur devient un être pensant, une substance mentale supérieure, tout le système cérébral devient l’ordinateur adombré par l’intelligence.


Qui est intelligent en vous ?

Ce ne sont pas les données du système cérébral, ce n’est pas votre capacité à être cérébral, ou intellectuel, mais tout simplement votre développement initiatique et rien d’autre, qui, en rapport avec la manipulation de votre système cérébral, va pouvoir donner telle ou telle expression, tel ou tel avantage.

L’intelligence n’est pas quelque chose que l’on mesure ou que l’on peut contempler. L’intelligence est un rayonnement du niveau initiatique et du dégagement de lumière acquis, ce n’est rien d’autre que cela.

Lorsque quelqu’un vous semble être intelligent, rappelez-vous des données avec lesquelles vous le jugez.

Est-il intelligent parce qu’il est un grand être de la finance ?

Est-il intelligent parce qu’il est un homme important des mathématiques, ou de la physique, ou de la philosophie ?

Toutes ces données sont des clichés largement répandus pour juger de l’intelligence. Ce qui ne veut pas dire qu’une activité cérébrale n’a rien à voir avec la capacité d’intelligence. Oui, ces choses-là sont liées, mais il ne faut pas confondre.

Qu’est-ce qui permet à un cerveau, donc un assemblage de cellules, d’être une mémoire et de faire alliance avec l’intelligence, pour pouvoir dégager les idées, les pensées ?

Tout simplement parce que la cellule du cerveau est comme magnétisée par un élément primordial, que vous appelez le phosphore.

Pourquoi le phosphore est-il aussi important dans la cellule du cerveau ?

Le phosphore a cette particularité magnétique qui rend la cellule impressionnable, donc elle devient capable d’être imprégnée, d’être marquée. S’il n’y avait aucune trace de phosphore dans les cellules de votre cerveau, votre cerveau ne retiendrait rien, il n’aurait aucune capacité à être impressionné, à être imprégné.

Le souffre le permet aussi, mais pour des raisons biologiques, les maîtres de la race ne pouvaient pas inclure le souffre dans les cellules du cerveau. Dans les échanges qu’ont les cellules entre elles et surtout les échanges du point de vue et de nature plutôt magnétiques, électromagnétiques et électrique, le souffre ne s’y prêtait pas bien et dégageait en quelque sorte des contrechamps vibratoires, ce qui avait pour but d’anéantir la cellule, qui avait été si longuement créée par les seigneurs de la race.

Il faut comprendre que les substances entre elles, si elles s’accordent créent un troisième champ. Deux champs s’accordant, créent un troisième qui peut-être justement l’intelligence.

Si au contraire, de par leurs substances et les échanges biologiques, magnétiques, ou électromagnétiques que ces substances ont entre elles, s’il n’y a pas d’accord, il y a création d’un contrechamp, et ce contrechamp équivaut en fait à l’anéantissement de la molécule. C’est pourquoi il valait mieux créer les molécules avec la nécessité du phosphore.

Ce qui ne veut pas dire que dès demain pour être supérieurement intelligent, vous devez vous gaver de phosphore. Cela n’aura aucune incidence sur votre capacité à être intelligent, car le phosphore n’est là que comme combinaison alchimique, servant de relais entre le code qui vient au cerveau comme une décharge d’électricité et la mémoire qui doit être marquée, imprégnée jusque dans ses gènes.

Le phosphore dans la molécule du cerveau, dans la cellule du cerveau, remplit à peu près le même rôle que le cuivre dans toutes vos installations électriques.

Le phosphore c’est donc le cuivre de la cellule du cerveau.

Des sciences, il faudrait retourner à des choses qui soient beaucoup plus applicables, donc à des choses qui soient beaucoup plus initiatiques, car s’il est vrai qu’il est bon de bien se connaître, de bien se concevoir, il ne sert à rien de bien se concevoir, si, à un moment donné, on ne fait rien pour que cette conception soit rayonnante et une réalité en soi. C’est pourquoi, il ne faut pas vous contenter de connaître et d’amener ici votre tête, votre compréhension, votre attention, il faut avant tout amener votre cœur pour pouvoir expérimenter, pour pouvoir vivre, ce qui est une réalité indestructible.

Si l’on résume toutes ces choses, toutes ces réalités à des formules, à des nombres, à des sciences sacrées, il n’en est pas moins vrai, que même en connaissant la science dans son sens le plus sacré, si vous n’avez pas été ouverts aux différents plans de conscience, vous n’arriverez pas à comprendre le sacré de la science.

Et c’est pour cela que plus l’homme se développe, plus il devient respectueux vis-à-vis de la loi. Alors que sur un plan plutôt physique, plutôt dense, l’homme ne respecte pas la loi, même pas les lois physiques qui ont été découvertes par les physiciens. Parce que le taux de conscience, ne correspond pas à ce qu’il vient de découvrir.

Donc chaque fois que vous avez envie de comprendre quelque chose, essayez d’y mettre autant de plan de conscience que d’effort intellectuel.

Lorsque vous ouvrez un livre, lorsque vous vous accrochez à une définition, essayez en même temps que vous essayez de comprendre intellectuellement, de vous absorber dans la définition de façon méditative. Car si vous n’avez pas pu comprendre intellectuellement, vous pourrez en avoir un entendement par ce moyen-là.

Ce qui fait que, toutes les personnes qui se disent limitées parce que tel livre leur paraît obscur, ou bien trop sévère à lire, trop compliqué etc., l’individu a le recours, en passant par l’intelligence de son âme, de pouvoir tout à fait comprendre l’entendement qui est décrit dans les théories.

Ce qui fait qu’il y a deux voies. Il y a celui qui va pouvoir comprendre et il y a celui qui va pouvoir sentir, et lorsqu’à un moment donné de la vie, du développement, l’un des deux fait défaut, il faut s’en remettre à l’autre.

Lorsque vous ne pouvez pas comprendre, essayez de sentir et lorsque vous comprenez que vous n’arrivez plus à sentir, parce que votre plein de conscience demeure limitatif, essayez de passer par la compréhension. La compréhension peut devenir initiatique, c’est certain, je vous l’affirme.

C’est-à-dire, que des livres, que des sciences, sont absolument initiatiques, lorsque c’est le moment pour vous d’être initié de cette manière-là. Mais il faut toujours joindre la tête et le cœur en quelque sorte.





2.  LES EXTRATERRESTRES




Question :

Pour quels motifs certaines races d’extraterrestres entrent-elles en contact avec des êtres humains de notre planète et leur donnent-elles des messages parfois différents les uns des autres. Ces extraterrestres nous testent-ils ou sont-ils missionnés par des maîtres de l’invisible ?


Ce n’est pas le genre de question, à laquelle il me plaît de répondre.

Non pas parce que la question est idiote ou fantaisiste, ou n’a aucune réalité. Bien sûr qu’il y a une réalité. Mais vous savez très bien que chaque fois qu’à une réalité est alliée d’une fantaisie, ou bien un laisser-aller dans la mentalité des hommes, je combats ce laisser-aller, jusqu’à renier même, s’il le faut, la réalité qui la sous-tend.


Pourquoi est-ce que je ne veux pas parler de la situation extraterrestre ?

Non pas que cette situation n’existe pas, mais je déplore les mouvements de pensées et les mouvements d’idées qui se créent parmi les êtres humains, qui veulent remplacer tout ce qui est ésotérique, tout ce qui est initiatique, par tout ce qui peut être supposé comme étant extraterrestre.

Autrement dit, il y a une joyeuse salade, entre tout ce qui paraît ésotérique et que l’on essaye d’associer aux extraterrestres, et tout ce qui est extraterrestre et que l’on essaye d’associer à l’ésotérisme.

Que faut-il donc entendre une bonne fois pour toutes, par extraterrestre ?

Il est évident que des civilisations ont lieu sur d’autres planètes et d’autres dimensions, parce que l’on imagine toujours d’autres planètes, mais il y a aussi les dimensions. Ce qui fait qu’à l’heure actuelle, exactement dans la salle où vous vous trouvez et qui sert de point d’ancrage, de point physique à une autre dimension, il y a des gens qui sont peut-être en train de faire d’autres activités. Il y a des gens qui sont en train de prier, en train de faire des amusements, vaquer à leurs occupations quotidiennes. Et c’est pour cela, que la vision extraterrestre, est une vision limitative, ramollie, qui n’implique aucun discernement, parce que l’on soustrait complètement tout ce qui est de l’ordre de l’invisible.

L’homme a toujours besoin de croire, d’espérer, d’allumer sa flamme à ce qui vient de plus haut, de plus grand et qui va le sauver, qui va créer un ordre parfait, qui va le soigner, qui va faire en sorte que la guerre n’existe plus. Et ainsi l’homme plein de cet espoir, étant donné que depuis le temps que le monde existe il commence à douter de l’existence de Dieu, vu qu’il n’y a que malheur comme il estime, commence à douter de l’existence des maîtres, vu qu’on ne les aperçoit jamais, qu’ils ne se manifestent selon lui jamais.

Alors pourquoi pas les extraterrestres ?

Et ainsi, il voue à l’extraterrestre tout ce qu’il devrait vouer à ce qui est un principe divin, et surtout, un principe de liberté.

Tous les mouvements qui se sont créés, avec pour base les mouvements ou la révélation extraterrestre, ne sont pas des mouvements de libération, et cela va même à l’encontre des efforts de la hiérarchie. Vous voyez des extraterrestres partout, mais pourquoi ne pas en voir d’abord chez vous, ce serait peut-être l’endroit le plus juste pour les voir.

Vous attendez tous des soucoupes, mais est-ce qu’il n’y a rien d’extraterrestre dans le simple fait de pouvoir donner la vie. L’homme banalise tellement la richesse qu’il détient, qu’il veut toujours aller prendre celle d’un autre. Le coffre du voisin est beaucoup plus beau que le mien. Et il se dit :

« Je suis une âme, mais après tout, je ne la sens pas, alors qu’est-ce que je peux avoir d’extraordinaire, moi ?

Je suis un pauvre terrien, écroulé sous les impôts, sous la maladie, les rhumes, les pressions de ma femme, de mon mari, la désobéissance des enfants.

Ah ! Si seulement je pouvais voir une soucoupe, cela m’apporterait tellement d’espoir. »

Seulement le problème, c’est que les extraterrestres ne daignent pas se mêler à l’évolution des hommes. Alors même, si l’on voit une soucoupe, elle ne fera que passer, la vie de l’homme restera telle qu’elle est, parce que la vie appartient à l’homme, la vie de la terre appartient aux terriens et pas du tout à l’extraterrestre.


Alors qu’en est-il de ces extraterrestres ?

Comme je l’ai dit, il est vrai qu’existent d’autres civilisations, qui appartiennent ou pas à votre taux vibratoire, à votre taux de densification. Les extraterrestres existent.

Que peut-on imaginer comme relation ?

Uniquement et seulement des relations initiatiques et rien d’autre. On imagine toujours que l’extraterrestre vient de l’espace. Ils ne viennent pas de l’espace, ils viennent du temps. Parce que l’espace n’est pas de l’espace, l’espace c’est du temps. Lorsque vous dites, il y a tant de kilomètres entre la terre et la lune, vous vous trompez, il y a un certain nombre de minutes, rien de plus.

Lorsque vous dites qu’il y a tant de kilomètres entre la terre et le soleil, vous vous trompez, il y a un certain nombre de minutes. Et c’est pour cela que tous les scientifiques, qui essayent de détruire la notion de temps, de l’anéantir en disant, le temps n’existe pas, ou il est relatif à, ils se trompent, ils perpétuent encore plus loin l’énigme. Il faut que la notion de temps soit réinvestie dans la science, parce que c’est cela la clef de tout, ce n’est pas l’espace, c’est le temps.

Pourquoi le temps ?

À cause du volume, comme nous en avons parlé tout à l’heure.

Donc,

Qu’est-ce le temps ?

Le temps c’est tout simplement un volume, ou un certain champ que l’on pourrait appeler magnétique, bien que là, il ne le soit pas, mais un certain champ de vibration par le frottement des sphères entre elles, planètes, soleil etc., puis plus loin, constellations etc., ou les sphères invisibles qui composent le cosmos supérieur.

Donc je le répète, il n’est pas question d’espace, il n’est pas question de dimensions, et en ce sens, je détruis tout ce que les scientifiques essayent de découvrir en ce moment, en oubliant la notion de temps au profit de l’espace, Il n’y a que du temps.

Comment comprendre cette notion-là ?

Pour comprendre cette notion, il faut admettre que les choses dans leurs expressions, dans leurs manifestations, ne sont pas sous-tendues par un mouvement qui se déplace dans une certaine périphérie, mais que c’est plutôt une succession de cycles, qui se déplacent à l’intérieur d’une conscience.

Le temps ce n’est pas l’heure que les humains s’entendent à comprendre par rapport à la position du soleil, à la succession des jours et des nuits. Le temps, c’est la succession des cycles, le temps c’est la succession des énergies qui impliquent tel ou tel événement, tel ou tel état des choses.

Lorsque vous me parlez des extraterrestres, ne me demandez pas de quelle planète, de quelle galaxie ils viennent, car les imaginant venant de leur planète, vous seriez déjà très loin dans le temps, par rapport à l’instant où ils auraient pu vous contacter. Ils viennent tous du temps, ils viennent donc de votre futur, ce qui ne veut pas dire qu’ils viennent du futur de votre terre.

Il faut imaginer un peu l’univers comme ayant différentes bandes de cycles. Comme il y a des bandes dans la radio, il y a dans l’univers des bandes de cycles de différentes vibrations. Et plus l’on a affaire à des hautes vibrations, plus on s’oriente vers ce qui est le futur. Le futur n’existant donc plus en tant que potentiel que l’on différencie du passé, du présent, il est plutôt le point d’apothéose de l’univers.

Lorsque je parle du futur, il ne faut pas imaginer que c’est l’heure d’après, ou l’année d’après, pas plus que lorsque je parle du passé, il ne faut pas imaginer que c’est l’heure ou l’année précédente.


Qu’est donc la conscience vis-à-vis de tout cela ?

La conscience lorsqu’elle est née pour la première fois, elle était celle qui contenait tout le passé et tout le futur, ce qui lui permettait d’être présente. Ce qui ne veut pas dire, qu’une conscience n’est présente que dans la mesure où elle connaît son passé et qu’elle va avoir un futur, non. Mais le simple fait de venir d’un passé pour tendre vers un futur, fait que le présent va être de telle espèce.

Lorsque vous avez un chagrin, vous pleurez, mais la loi veut que l’homme devienne parfait. Alors il y a des circonstances qui font que vous rencontrez encore et toujours les mêmes circonstances, pour qu’elles soient exorcisées.

Donc il y a cette mémoire du passé qui dit souffrance, il y a cet événement qui veut vous tendre vers ce futur et qui vous dit libération, et entre ces deux forces, il y a l’homme qui crée dans un instant présent, soit une dépression, soit la libération.

Mais revenons à nos extraterrestres.

Pourquoi est-ce qu’ils voyagent dans le temps ?

Les individus, au fur et à mesure de leur évolution, mènent leur vie et vivent d’après les cycles de vibrations qui s’approchent de l’apothéose. Donc il faut comprendre que l’univers va d’un point d’involution, soit d’inconscience, à un point d’évolution totale, soit de perfection, et que le temps, c’est tout simplement la succession des cycles et des plans de conscience qui séparent ces deux points.

Donc lorsqu’un individu d’une autre planète vient sur votre planète, pour lui il ne s’agit pas de faire un voyage dans l’espace, mais un voyage dans le temps, puisqu’il doit traverser les zones de conscience. C’est pour cela que je veux me battre, pour que change l’idée de l’espace. Vous ne voyagez pas dans de l’espace, vous voyagez dans une substance, dans une conscience.

Ainsi, lorsque vous allez, imaginons de la terre à Jupiter, vous n’allez pas de la terre à Jupiter en faisant X kilomètres, vous allez du plan de conscience qui vous caractérise et qui est en formation sur la terre à ce moment-là, au plan de conscience qui caractérise la civilisation qui vit sur Jupiter à ce moment-là.

Et pour pouvoir voir quelque chose sur Jupiter ou entendre quelque chose sur Jupiter, il ne faudra pas y aller avec la fusée, mais il faudra vous déplacer dans cette substance universelle qu’est la conscience et toutes les échelles de conscience.

C’est pour cela, que les extraterrestres, qui sont entrés en correspondance avec certains terriens, ne l’ont fait que d’une façon très mesurée et très limitative. Pour eux, cela est très difficile, comme il vous serait extrêmement difficile, en tant que grand mathématicien, d’aller expliquer le principe de la bombe atomique à quelqu’un qui en est encore à gratter les deux silex pour obtenir du feu.

Lorsque vous pensez extraterrestre, ne pensez pas à quelqu’un venant d’une autre planète, même si cela est vrai, cela est faux, mais à quelqu’un venant d’un autre temps, le temps que vous-même allez connaître lorsque votre champ de conscience sera l’égal du leur. Parce que dès que le champ de conscience d’une créature monte, automatiquement il découvre toute la civilisation, toutes les lois, toutes les capacités créatrices, qui sont dues à ce champ de conscience.

Ce qui fait que vous n’êtes pas différents des extraterrestres. Eux sont ailleurs, dans la gamme de la conscience et de la vibration que permet cette conscience. Et lorsqu’ils voyagent dans les sphères, ils ne voyagent pas de planète en planète, ils font, comme un individu qui se dédoublerait pour aller voir la sphère de l’enfer, la sphère nommée le paradis, la sphère où demeurent les maîtres, où demeurent les guérisseurs, où demeurent les entités de l’astral. Il ne dit pas « je vais avec et dans ma fusée voir d’autres créatures », il dit : « je change de dimension ». Et il en est de même avec les entités extraterrestres.


Alors que viennent faire les soucoupes là-dedans ?

S’il s’agit de changer d’unité de temps, de plan de conscience et de dimensions, à quoi sert la soucoupe ?

Dans la plupart des cas, ce qui ne veut pas dire que cela soit dans tous les cas, mais dans la plupart des cas, ce que vous appelez soucoupe, n’est qu’une capsule qui sert de transformation vibratoire, c’est donc un instrument d’adaptation à la notion temps, qui est la vôtre sur la terre. Car pour changer de conscience, il faut changer de temps, puisque le temps lui-même est significatif d’un taux vibratoire, d’un taux d’évolution.

Donc une soucoupe n’est pas un engin qui permet d’aller très vite dans l’espace, c’est plutôt une sorte de studio, qui a la propriété de mettre en friction certaines molécules pour contracter le temps. De cette manière, ils peuvent passer d’un temps à un autre, soit d’une gamme de vibrations à une autre. Il ne faut jamais séparer la vibration de l’unité de temps qui la constitue.

Une vibration est toujours soumise ou plutôt contient toujours en elle-même un cycle. De la même manière, lorsque vous descendez dans la gamme vibratoire, que vous rencontrez des vibrations qui ont de plus en plus le souffle court et qui tournent très vite, automatiquement les cycles sont courts, le temps lui-même sera court, répétitif.

Et ainsi, les choses comme la naissance et la mort vont pouvoir avoir lieu, comme je vous l’ai déjà dit. Plus vous remontez les gammes vibratoires et plus les cycles deviennent longs, plus la vie devient longue, jusqu’à ce que tout ce qui peut être un commencement et une fin à la vie soit complètement exclus.

De la même manière, dans ces appareils, qui permettent la contraction du temps, l’individu contracte ses molécules sans pour autant changer son plan de conscience, c’est la grande difficulté de cet exercice.

À l’heure actuelle, si on les faisait voyager sans cette contraction dans le temps, ils ne survivraient pas.

Si l’on prenait un terrien pour le faire voyager à la façon de l’extraterrestre, même initiatiquement, il n’y survivrait pas non plus. Parce que l’homme de la terre est encore trop intimement lié à sa molécule physique. Ce qui fait, que son taux de conscience et son plan de conscience équivalent à peu près au taux des vibrations de sa cellule et à son taux d’expansion. Or il faut pouvoir se dissocier de la matière, et c’est un exercice, un entraînement que les extraterrestres connaissent puisqu’ils doivent au moment où ils contractent le temps, où donc leurs molécules, leurs cellules sont contractées dans l’unité de temps X, ils doivent pouvoir garder leur taux de conscience.

Ainsi, lorsqu’ils se contractent pour venir dans des sphères plus basses comme la terre, ils ne doivent pas pour autant abaisser leur taux de conscience au niveau des terriens, sinon ils ne sauraient même pas comment repartir. Il faut donc qu’ils apprennent à dissocier, leur matière de leur esprit, et cela est possible au niveau où ils se trouvent.

Maintenant quand est-il de ces extraterrestres qui viennent sur la terre plutôt par expérience, que comme voyage au travers des sphères ?

Dans leur civilisation, de la même manière que sur la terre il existe des mages blancs et des mages noirs, et que l’on sait que pour être un mage il faut avoir reçu un niveau initiatique non négligeable, sinon l’individu n’a aucun pouvoir, il existe dans les autres civilisations, dans certaines sphères, la même différence, mais non pas tournée en magie noire, mais en aspect mental.

C’est-à-dire que dans certaines civilisations dites extraterrestres, il y a un peu le choix entre deux voies, comme sur un plan initiatique terrestre le choix entre faire le bien et faire le mal, il existe le choix entre devenir la science sacrée et obtenir la science sacrée, ou continuer à chercher par des moyens complètement physiques, toutes les raisons de la vie et de la création.

C’est un peu comme s’il y avait une voie métaphysique et une voie physique concrète. Il est aussi difficile de comprendre pour vous ce que cela veut dire, que pour eux de comprendre qu’il existe un mage blanc, ou un mage noir sur la terre.

Alors ces entités-là, lorsqu’elles viennent sur une sphère telle que la terre et qu’elles arrivent à se concrétiser sur un plan physique, ces entités abordent la terre comme vos scientifiques abordent une autre planète. Ils cherchent à comprendre comment est née la vie et comment se maintient cette vie.

Mais ces extraterrestres-là ne sont que très très peu nombreux, parce qu’ils ont énormément de mal à créer cette contracture du temps. Étant donné qu’ils sont essentiellement des scientifiques dans un comportement concret, ils ont toutes les peines du monde à maintenir l’énergie et à maintenir la relation qui doit y avoir entre l’esprit et la matière pour contracter le temps. Donc cela représente des difficultés qu’ils ne sont pas capables d’assumer très souvent.

La plupart des extraterrestres qui viennent sur la terre ou qui survolent votre terre, sont avant tout des êtres venus d’une autre dimension comme je viens de l’expliquer, d’un futur, de votre futur. Ce qui ne veut pas dire que dans la soucoupe il y a votre moi supérieur, ou je sais quoi d’autre dans une vision future. Ils sont différents de vous, mais ils sont votre futur. De la même manière que l’enfant représente votre futur.

Ils viennent donc dans la mesure où cela représente pour eux un acquis initiatique de regarder les autres sphères, et ils viennent dans d’autres cas où ils sont appelés. Ces cas-là sont très restreints, parce que la hiérarchie planétaire ne peut pas trop utiliser leur énergie, ni leur taux vibratoire très différent de celui qui est assimilable par les hommes.

L’homme arrive très bien à assimiler, dans la mesure où elles sont transformées, les énergies de son propre système solaire, mais cela lui devient très difficile de prendre et d’intégrer les énergies venant d’autre système solaire ou d’autre constellation. C’est un peu comme si l’on essayait de transfuser du sang d’un certain groupe, dans le corps d’un homme ayant un tout autre groupe. Il se passe le même choc et le même rejet.


Alors pourquoi faisons-nous appel de temps en temps à ces êtres-là ?

Non pas parce que leur énergie est primordiale et nécessaire, mais pour opérer de temps en temps des mutations. Et c’est cela qui intrigue, mais qui intrigue l’être humain: les mutations.

Quelle mutation pouvons-nous opérer lorsque l’on fait rencontrer un taux vibratoire terrestre et un taux vibratoire extraterrestre ?

Tout simplement une amélioration de la race, et c’est ce qui s’est déjà passé comme je l’ai déjà dit, mais c’est ce qui n’aura plus lieu, comme je vous l’ai déjà dit aussi. Parce qu’il y a une accélération du pouvoir qui est en l’homme, mais il n’y a pas une accélération de son taux de conscience, et c’est pour cela que l’alliance ne sera plus du tout faite, plus jamais sous aucun prétexte.

Ce qu’il faudra donc et avant tout viser pour tout le reste de la manifestation, c’est avant tout le développement de la conscience, et non pas le développement du pouvoir.

Si l’alliance comportait des désavantages, elle a donné lieu aussi à certains avantages. Cela a permis la venue de Maîtres de la hiérarchie de Vénus, puisqu’à ce moment-là sur la terre, il n’y avait pas eu d’humanité pour pouvoir dégager des individus capables d’être disciples, initiés, ou maîtres.

Donc il faut comprendre, que les premiers initiateurs de la race humaine ne viennent donc pas d’un cycle terrestre, mais ils viennent d’un cycle que l’on approprie à Vénus. Et ce croisement entre ces deux taux vibratoires, terrestre et extraterrestre, a permis aux Maîtres de la hiérarchie d’accélérer certains processus alchimiques pour développer, un petit plus rapidement que prévu, des disciples pouvant très tôt assumer l’évolution de leur race et devenir eux-mêmes des guides de leur race.

Le but n’était pas de faire guider la race par des extraterrestres, mais de créer des guides, qui viennent de leur propre race, afin de guider leur propre race. Il n’y a jamais meilleur guide que celui qui vient de la race, qui enseigne et qui essaye de la développer.

À cause de toutes les mémoires akashiques, qui sont inscrites non seulement dans l’akasha de la Terre, mais aussi dans les gènes même de la molécule, les gènes de la race. Ainsi celui qui est capable d’être le guide de la race, parce qu’il vient de sa race, aura tout l’acquis de sa race, et ainsi, il saura davantage transporter l’initiation.

Prenez un individu qui vient d’une autre race, d’une autre planète, qui est donc constitué autrement, peut-être pas physiquement mais vibratoirement, il va être un très mauvais transmetteur pour l’initiation, parce que l’individu, l’homme dans tout ce qu’il est, est un transmetteur vibratoire.

Alors s’il vibre d’une certaine façon, parce que constituer d’une certaine manière, il va appeler une énergie qui lui correspond et la distribuer de la façon qui lui correspond. Si les hommes de la terre ne correspondent pas à ce taux vibratoire, ou ce taux d’unité de l’énergie, automatiquement l’initiation ne peut pas avoir lieu.

C’est pour cela qu’il a fallu au début de la création de l’humanité, essayer de créer le plus vite possible des guides et des initiés propres à la race de la terre, pour que toutes les entités venant d’autres sphères, puissent se retirer et permettre ainsi une véritable évolution de la race. Car si des êtres venus d’autres sphères, avaient continué à être vos maîtres, à être vos initiateurs, vous n’auriez pas pu arriver là où vous en êtes, à cause de cette différenciation.

Chaque humanité dans l’univers est différente, pas forcément par l’aspect, pas forcément par le nombre de chakras ou quoi que ce soit d’autre, mais par le type énergétique et les échanges énergétiques que les chakras ont entre eux, que les molécules ont entre elles et que toutes les autres notes vibrations de l’aura échangent avec l’âme. Ce qui fait, qu’une race reste spécifique, qu’un individu est spécifique, et il faut respecter cette spécificité.

De la même manière, lorsque dans une famille il existe plusieurs enfants, forcément, chaque enfant est né de son père et de sa mère, mais il est spécifique, son destin sera particulier même s’il a des ressemblances au niveau de l’âme ou quoi que ce soit, il est différent de son frère, de sa sœur. Il en est de même pour les grandes familles que nous appelons cosmiques et qui sont en fait les raisons mêmes de la différenciation des humanités.

Chaque famille cosmique ou chaque foyer d’âmes est constitué par les rayons de l’univers, mais chacun de ces foyers va réclamer, pour son expression, une humanité spéciale. C’est-à-dire que les gens d’un certain rayon cosmique, vous connaissez les sept rayons, comme il existe les sept pouvoirs, les sept couleurs etc., chacun de ces sept rayons, chacun de ces sept foyers d’âmes, va réclamer un univers spécial.

Ce qui fait que lorsque les hommes croient appartenir à tel rayon ou à tel autre, ils se trompent, ils sont en expérience à l’intérieur d’un aspect de leur rayon majeur, soit le rayon de leur monade, de leur soi supérieur si vous préférez.

Donc, la vérité, c’est que les individus de par leur moi supérieur ou leur monade, sont typés parce qu’étant issus d’un rayon spécial, et qu’ils s’incarnent dans une humanité soit dans une sphère d’évolution qui correspond au développement de ce rayon-là.

Ce qui fait, qu’après des cycles d’évolution et de réincarnation, un homme peut se dire appartenir à tel ou tel rayon différent de sa monade, c’est qu’un rayon contient tous les autres, qu’un rayon ne peut être pleinement assumé que dans la mesure où tous les sous-plans de ce rayon, donc tous les autres rayons ont été aussi maîtrisés.

C’est-à-dire qu’un individu appartenant au troisième rayon, ne pourra être, de par son moi suprême et sa monade, pleinement ce troisième rayon, que dans la mesure où il aura maîtrisé tous les aspects de ce rayon, soit tous les autres rayons. Et ainsi à tort, il va s’identifier au rayon deux, au rayon un, au rayon six, au rayon sept etc.

C’est un peu comme si, appartenant à une couleur spécifique, les individus devaient quand même passer par toutes les autres couleurs pour pouvoir pleinement assumer leur couleur déterminante. C’est ce que nous appelons les familles cosmiques. Et ce sont ces êtres-là qui s’incarnent par des vagues successives, les unes après les autres.


Que sont donc les extraterrestres au milieu de tout cela ?

Les humanités qui vous ont précédés. Ce qui ne veut pas dire que ce sont des gens qui ont terminé leur évolution, mais de par leur évolution, ils ont connu les états que vous connaissez, et ils sont allés plus loin. Ce qui fait que chaque fois, que vous entendez un rapport sur une rencontre extraterrestre, et qu’il n’y a pas la notion :

« Attention, petits enfants, nous aussi nous avons connu cette chose et nous vous mettons en garde. »

S’il n’y a pas ce discours-là, cela veut dire que ce n’est pas réellement un contact extraterrestre et que cela est peut-être même de l’invention. Mais comme je vous l’ai déjà dit, il faut que l’individu ait un rapport juste avec tout ce qu’il découvre.

Il est déplorable de voir que les gens s’accrochent à la théorie extraterrestre comme un mystique s’accroche à son Dieu. Le mystique a tort et l’homme qui s’accroche aux extraterrestres a tort aussi. Car ce qui compte, c’est que l’homme se sente lui-même un individu libre et actif, pouvant régir sa sphère personnelle. Ainsi il pourra aller à la rencontre des autres sphères, des autres entités, sans aucun problème. Il n’y a pas de magie, il n’y a rien d’exceptionnel, c’est tout simplement l’éclosion et le mouvement de la vie.





3.  L’AURA ÉNERGÉTIQUE DE LA TERRE




Questions :

Le réseau énergétique de la planète est-il suffisamment stable et équilibré pour répondre adéquatement aux forces et énergies nouvelles ?

Par exemple, quels sont présentement les résultats de la déchirure du réseau éthérique planétaire provoquée par l’usage de la bombe atomique durant la dernière guerre et actuellement lors de chaque essai nucléaire ?

À propos des armes nucléaires et surtout des déchets nucléaires qui transforment notre terre en une super-poudrière, les scientifiques vont-ils trouver un moyen de neutraliser ce danger, de reconvertir cette énergie ?


Avec toi il faudrait que j’aie trente-six cerveaux et trente-six bouches à la fois, parce que tes questions ont chaque fois plusieurs niveaux. Mais il se trouve que l’unité de temps simplifie la chose et que je ne peux parler que d’une chose à la fois, heureusement pour vos deux oreilles d’ailleurs.

Donc parlons du plan éthérique. Le plan éthérique est-il assez solide, comme on vient de me le demander, pour assumer la transformation initiatique qui est attendue de la part des hommes ?

La question renverse le problème. Ce qu’il faut se demander, c’est si les hommes ont un corps suffisamment solide pour accepter la transformation qui a déjà eu lieu dans le corps éthérique de la terre, afin que cela ait lieu dans le corps éthérique de l’homme.

Mais l’homme ne voit jamais la position du point où il se trouve, il ne peut pas penser que c’est lui-même qui doit changer les choses, il faut qu’il ait toujours d’autres responsables, d’autres issus, ou d’autres supports.

Mais lui-même, quand va-t-il se prendre en charge, quand va-t-il commencer à régir la planète et sa vie et à fusionner avec elle.

L’aura de la terre, celle qui vous fait tant de soucis, n’est pas du tout en mauvaise santé, parce qu’il faut différencier deux auras en fait, c’est pour cela qu’il y a confusion.

Les hommes imaginent l’aura de la terre, comme étant celle qui est composée par toutes les auras humaines, les actions et les pensées humaines. L’aura de la terre, est en fait, l’aura du Dieu planétaire et cela est complètement différent. Car si l’aura de la terre était soumise à l’aura de l’humanité, la terre aurait déjà péri dans les plus grandes et plus chaudes cendres que l’univers n’ai jamais connues.

Donc il y a deux auras, celle de l’humanité et celle du Dieu planétaire. L’aura de l’humanité se développe et tire sa vitalité de l’aura du Dieu planétaire et de sa condensation représentée par la nature. Ce qui fait que lorsque vous attaquez la nature, vous attaquez le Dieu planétaire personnellement, jusque dans son foie, jusque dans ses reins et jusque dans ses yeux. Il faut apprendre à respecter son corps et sa chair.

Lorsque vous voyez des arbres, vous n’avez pas affaire à des arbres, vous avez affaire aux poumons du Dieu planétaire. Que pensez-vous de ce microbe qui vient attaquer vos propres bronches ? Vous êtes en colère, vous êtes malade et vous essayez de combattre le microbe, vous essayez tout pour vous débarrasser du microbe.

Alors imaginez quel est le problème du Logos planétaire, de ce Dieu planétaire, lorsqu’il s’aperçoit que vous vous comportez en microbe. Imaginez toute sa souffrance, lorsqu’il doit prendre la décision :

« Est-ce que je le chasse comme un microbe, ou est-ce que j’endure encore la maladie qu’il me fait supporter. Et si je suis contaminé, étant donné que mon corps astral extériorise l’astral des hommes, un jour il sera lui-même malade. »

Ainsi est vérifiée la loi qui dit que tout ce qui est en bas est comme ce qui est en haut.

Créez le cancer dans la nature et vous l’aurez jusque dans votre ventre, votre cœur, votre cerveau, votre moelle épinière. Naturellement celui qui l’aura créé le premier, ne sera pas le seul à en souffrir, des millions d’innocents souffriront à cause de lui.


Pour revenir au corps éthérique, que se passe-t-il actuellement ?

Il y a une intensification, une sorte d’électrisation du corps éthérique de la terre, pour que l’homme soit capable d’intégrer un taux vibratoire différent, lui donnant accès à un plan de conscience différent. Il n’y a pas capacité, possibilité de changer de plan de conscience, s’il n’y a pas une énergie qui sous-tend ce changement et qui amène ce plan de conscience.

Comme je l’ai déjà dit mille fois, conscience égale énergie et énergie égale conscience. Et lorsque vous vous mettez sur le taux de conscience X, vous avez conséquemment toutes les énergies X de ce taux de conscience.

De la même manière lorsque l’on veut initier des hommes, et à plus forte raison une humanité, il faut lui donner l’énergie pour le faire. Sans l’énergie, l’homme n’arrive pas à découvrir le plan de conscience. Et l’énergie dans ce cas-là n’est pas à être considérée comme un carburant, comme un stimulant, qui le fera monter. Il faut considérer l’énergie comme l’avant-garde du plan de conscience, c’est-à-dire qu’il ne faut pas résumer l’énergie à l’énergie, mais qu’il faut y voir toute la conscience.

Ainsi les Maîtres envoient un plan de conscience. Ce plan de conscience pour devenir une objectivité, un état d’âme dans chacun des êtres humains incarnés, va utiliser le principe dynamique qui la constitue et que vous, vous appelez l’énergie.

Mais en fait il ne faut jamais, jamais dissocier l’énergie de la conscience, sinon vous ne comprendrez rien au principe initiatique et vous serez parmi tous ceux qui se plaignent de ne pas avoir obtenu la vision du maître, de ceci ou de cela, alors que vous méditer, que vous faites du yoga, que vous êtes des ascètes etc.

Énergie et conscience sont une seule et même chose.

Donc, pour faire obtenir un plan de conscience à une humanité de façon générale, il faut d’abord précipiter ce plan de conscience dans l’astral, puis dans le plan éthérique de la planète, pour espérer que les hommes suffisamment évolués et sensibles soient touchés, soient inclus dans ce plan de conscience, et qu’ils le concrétisent dans la matière, jusque dans la molécule, jusque dans l’atome physique, et que cela déclenche tout un processus d’initiation, même si cela se passe inconsciemment au niveau des autres hommes.

Ainsi l’énergie circulant, permet au plan de conscience attendu de circuler lui aussi, et c’est cela qui perturbe l’humanité. Chaque fois qu’il y a un changement de plan de conscience, il y a cette énergie, cette conscience qui circule et qui essaie de trouver les cerveaux, les chakras, les individus, les évolutions appropriées, pour devenir une objectivité, une réalité manifestée.

Les problèmes viennent lorsque l’homme, pas encore suffisamment ouvert, pas encore suffisamment subtil, est suscité par ce plan de conscience. C’est en fait comme un individu enfermé chez lui alors que l’on frappe très fort à sa porte d’entrée :

« Ouvre-moi, je suis plein de soleil, je suis plein de lumière. Si tu ne me permets pas d’entrer, je vais devoir brûler tes murs, parce que mon devoir c’est d’entrer. Comme l’eau d’un torrent je me répands partout et j’imprègne tout. Telle est la nature de mon action. »

Une énergie initiatrice est toujours une énergie que l’on doit considérer comme un solvant, quelque chose qui va dissoudre. Une énergie initiatrice est toujours quelque chose qui va d’une certaine manière, par son acidité, dissoudre les nœuds, les blocages, les idées archaïques, les principes arriérés, les réactions anciennes, pour faire place à une nouvelle dimension, à un nouveau champ de liberté.


Est-ce que le corps éthérique de la planète se porte bien ?

Oui, celui qui constitue votre plan spirituel et qui reçoit l’impact spirituel des Maîtres se porte très bien. Il n’est soumis qu’au rayonnement du Maître et le rayonnement du Dieu planétaire.

Par contre celui de l’humanité ne va pas bien du tout. Parce que cette aura est directement liée aux pensées, aux actions des hommes, et aussi à la nature astrale de toutes les entités, qui ont pu depuis des milliers d’années avoir une relation avec les hommes. D’où la phobie, pour certaines écoles, de se distancer des médiums et même de jeter le médium dans le feu ardent de la purification.

Tant qu’il y aura des points d’ancrage pour les entités du bas astral, il y aura pénétration du bas astral dans l’aura de l’humanité, d’où la contagion possible. Alors que si, comme le dit justement la prière que vous récitez en début des travaux comme ouverture, « que les portes du mal soient scellées », il ne s’agit pas de claquer la porte au diable. Que soit scellée la porte du mal, veut dire, que de façon déterminée, soit close la relation du physique avec le bas astral. Ainsi toute l’origine du mal ou de ce qui assombrit le destin de l’humanité, sera définitivement coupée.


Pourquoi est-il très important de se couper de ce bas astral ?

La plupart des individus, dans la mesure de leurs vibrations, de leurs dépressions, de leurs maladies ou de leur manque d’évolution, sont plus en rapport avec le bas astral, que quoi que ce soit d’autres. Ils sont investis par les vibrations de ce bas astral, voire même les entités de ce bas astral, qui les poussent à produire de plus en plus de rayonnements négatifs, voir à s’abîmer aussi de plus en plus dans leurs débauches, ou dans leurs crimes.

On confond toujours les énergies d’involution avec le bas astral, ce qui fait que l’on ne comprend rien aux histoires du diable et du bon Dieu, et que l’on associe trop vite le diable aux énergies d’involution, et c’est faux.

Les énergies d’involution sont nécessaires à la vie comme les énergies d’évolution, soit le positif le négatif, le blanc le noir, le froid  le chaud, le conscient et l’inconscient en quelque sorte. Les énergies d’involution ne sont pas plus que des énergies qui deviennent de plus en plus inconscientes pouvant par là même créer la matière.

Lorsque l’on regarde l’arbre de la vie qui a sa transparence dans les cieux, forcément toutes les énergies sont positives. Lorsque l’on regarde l’arbre de la vie, qui est projeté dans la matière, il est négatif, mais cela ne veut pas dire qu’il est diabolique, il est involutionnaire.

C’est-à-dire que volontairement, l’énergie de la conscience lui a été retirée pour devenir seulement un potentiel vibratoire, car l’énergie est à différencier de la vibration. La vibration concerne toujours un plan physique, l’énergie toujours un plan subtil.

Où est le diable dans tout cela ?

Le diable, c’est ce que l’on a associé ésotériquement à toute la horde des entités du bas astral.

Que sont les entités du bas astral ?

Elles sont de plusieurs natures. D’une part il y a les entités qui sont là depuis toujours, depuis l’instant de la création, et qui sont en fait les futures âmes de tous les éléments que ce soit de la nature, des minéraux ou de quoi que ce soit de dur, de tangible, de concret, et qui n’ont pas de système d’évolution comme l’homme. Il ne faut pas toucher à ces entités-là. C’est le réservoir de la survie de la matière en tant qu’énergie.

Puis il y a le bas astral créé par l’humanité. Il faut savoir que l’homme, lorsqu’il agit, lorsqu’il pense, lorsqu’il décharge des émotions, il crée une vibration, il crée une forme, ainsi l’homme lui aussi géométrise.

C’est pour cela que dans les auras on peut voir des formes, en plus des couleurs, qu’elles soient géométriques, ou symboliques. L’individu capable de voir ces symboles et ces formes est un clairvoyant qui a donc accès à la vision du corps bouddhique, alors que la plupart du temps, l’individu ne voyant que des couleurs, n’a accès au maximum qu’au corps astral, rarement au corps causal qui lui aussi émet des couleurs.

Donc ces entités qui sont dues à l’évolution de l’homme et à toutes les actions de l’homme, ne sont pas nées de par une loi nécessaire à la création. C’est ce qui est exprimé dans le livre sacré, lorsqu’il est dit : qu’il faudra nettoyer les Cieux, avant que l’homme soit nouveau. C’est ce qui a permis à Jésus de dire que l’homme devait renaître.

Lorsque l’humanité s’approche d’un nouveau plan initiatique, comme l’homme individuel, il vous faut, dans un premier temps, être complètement nettoyés de l’astral, et c’est ce qui se passe à l’heure actuelle. Un homme, en tant qu’individu, peut facilement nettoyer son astral, c’est ce qui va ressortir en tant qu’épreuve ou en tant que Karma, et ainsi, individuellement, il va pouvoir aller prendre son initiation.

Mais lorsqu’il s’agit d’initier toute une humanité, même si l’on essaye de répartir le karma de façon individuelle, il y a un karma de masse, un karma collectif qu’il faut absolument purger, afin que ces entités du bas astral, fabriqués par l’humanité involutionnaire, soient complètement dissoutes.

C’est ce qui crée parfois des furoncles comme la guerre, les crises, comme tous les problèmes que vous connaissez, que ces problèmes soient sociaux, politiques, ou quoi que ce soit d’autre. C’est une façon d’évacuer, de brûler, dans une prise de conscience générale, ces entités-là.

Cet éthérique de la planète vous devez vous en occuper, et c’est ce que je vous ai déjà dit mille fois, et c’est ce que je vous ai même dit de faire en vous proposant des prières collectives. C’est ce dragon que Mickaël doit terrasser, et en le terrassant, il permet au Christ de se révéler.


Qu’en est-il maintenant de toute la recherche nucléaire et plus principalement comme on me l’a demandé des déchets nucléaires, et de l’impact des explosions nucléaires ?

Il ne faut pas tourner au tragique tout ce qui est nucléaire. Certes, il y a là un danger, mais comme tous les dangers sont significatifs de chaque âge, l’individu ou plutôt la masse des hommes a tendance à y voir tout le drame dû à son âge, à son type d’évolution. Ainsi la grande peur à l’heure actuelle est le nucléaire, autrefois c’était autre chose et demain ce sera encore autre chose.


Pourquoi le nucléaire aujourd’hui ?

Parce que tout simplement l’individu qui n’en a pas encore absolument la maîtrise, doit passer de toute façon à des applications et à des expérimentations poussées. Ce qui fait le grand drame entre ceux qui sont pour et ceux qui sont contre le nucléaire, ne se résume qu’à cela, aux expérimentations. Parce que la recherche dans le sens du nucléaire ne doit pas être abandonnée.

Il faut au contraire, comme je vous l’ai déjà dit, poursuivre, parce qu’à la clé il y a une grande découverte. Une découverte d’une immensité que l’homme ne peut imaginer, qui est capital pour son évolution et le développement de son entendement.

Il faut donc que les hommes s’entendent, pour que les expérimentations et les utilisations soient faites de façon raisonnable. Mais il n’y a pas que le nucléaire qui soit un danger, car lorsqu’il s’agit de faire utilisation raisonnable, toutes les énergies sont un danger, qu’elles soient nucléaires, magiques, ou quoi que ce soit d’autre. Vous n’avez pas que le nucléaire pour détruire la planète, il y a bien d’autres armes beaucoup plus dangereuses que le nucléaire.

Par le nucléaire, admettons qu’il y ait une explosion. Cela détruirait l’humanité c’est certain, mais cela ne détruirait pas la planète. Parce que l’énergie étant semblable à l’énergie, le nucléaire étant de l’énergie, il y a destruction d’une certaine créature, mais il n’y a pas destruction de la planète, qui elle-même n’est qu’un agglomérat d’énergie.

C’est un peu comme si l’on essayait de noyer un poisson. On n’y arriverait pas, parce que le poisson vit dans un élément qui est l’eau, donc l’eau ne pourra jamais lui faire de mal.

Le nucléaire ne pourra jamais détruire la vie dans la planète, pas plus que perturber les ondes électromagnétiques d’une planète à une autre, parce que le nucléaire est de l’énergie. Par contre cela risque fortement de détruire à l’humanité, mais ça, c’est différent et il ne faut pas confondre les deux.

Il y a des armes beaucoup plus dangereuses que le nucléaire qui risquent d’effondrer les équilibres et les harmonies qu’il y a dans la nature, et ce sont les armes chimiques et biochimiques. Et puisqu’on en parle moins, puisqu’on en parle peu, l’homme, l’opinion publique, n’en fait pas état et n’en crée surtout pas une source de peur, alors que la peur devrait plutôt se situer là.

S’il y a une explosion nucléaire comme je vous ai dit, il y a destruction des corps, mais au bout d’un X temps du retour des énergies, la vie redevient possible, et cela a déjà été prouvé, car cela s’est déjà passé.

Par contre lorsqu’il y a une contagion, s’il y avait, pouvons-nous l’imaginer, une guerre chimique, une guerre faite à partir de bactéries complètement inventées par les hommes, par la folie de l’homme, il n’y aurait aucun moyen d’anéantir ces créatures, aucun moyen de redécouvrir un équilibre.

Il y aurait mutation et la terre ne redeviendrait qu’un caillou. Un caillou qui serait abandonné à un système d’évolution, dont personne ne voudrait s’occuper, parce qu’il n’y aurait pas d’âmes à investir dans ces créatures.

Cela revient donc à parler des bactéries et du microbe. Si le microbe ou la bactérie que crée l’homme peut perturber l’équilibre de la terre et de l’univers, qu’en est-il donc du microbe et de la bactérie, communément connus par l’homme et que la nature produit.

Quelle est leur réalité ?

Il ne faut pas voir le microbe comme étant un ennemi de l’homme, il ne faut pas voir non plus le virus comme étant l’ennemi de l’homme, pas plus que la bactérie. Il faut comprendre qu’ils sont des corpuscules, des petites créatures qui n’ont pas encore trouvé d’alliance avec l’homme, et c’est là toute la difficulté.

Il faut donc comprendre que tout ce qui est microbe, virus et bactérie, sont un réservoir d’entités, qui vont devenir plus tard des créatures, que ce soit au niveau minéral, végétal ou animal, et qui n’arrivent pas à s’adapter avec le règne dominant, le règne humain. Dans la mesure où le règne dominant humain ne respecte pas lui-même certaines lois de l’équilibre, certaines lois de la nature, ou certaines lois cosmiques, toute cette faune qui est là pour maintenir la vie, pour la renouveler, la redistribuer, la détruire et la recréer, rentre en conflit.

Alors que tant que l’homme se situe dans un parfait axe d’harmonie avec les lois de la nature, le microbe, le virus ou la bactérie, sont dominés par lui et ne peuvent jamais lui apporter de maladie. Mais ceci dans le cadre des bactéries, virus ou microbe, qui sont engendrés par la nature et qui sont donc le manteau régénérateur de la nature. Si l’homme en produit des nouveaux alors ce manteau régénérateur ne peut plus avoir lieu, l’homme étant attaqué, va se voir transformé.

Imaginez qu’un virus X ou Y, inventé par l’homme soit répandu et que les hommes en soient atteints. Naturellement dans un premier effet il y aura la mort. Mais il y aura ensuite persistance du virus, à l’état latent, qui va se reproduire et qui va contaminer les autres générations.

Ce qui fait que, par exemple, si ce virus X concernait plus particulièrement le foie, les autres générations vont se voir être transformées dans cette région-là du corps, vont avoir une atrophie du foie, ou un développement du foie, ou bien, le foie va décider de créer un autre travail que celui que la nature lui a donné. Et ainsi, l’homme risque de se dégrader par mutation et devenir un véritable monstre, parce que le manteau régénérateur de la nature aura été transformé.

Si vous voulez combattre utilement, combattez ces armes-là et laissez tranquille le nucléaire.

Ce qui ne veut pas dire que vous n’avez pas le devoir de conscientiser les hommes responsables du nucléaire. Car, toute chose qui est faite sans responsabilité, toute chose qui est faite sans précaution, peut amener des conséquences dramatiques.

Donc ce qu’il faut absolument développer chez les hommes, c’est avant tout une pleine responsabilité de leurs actes, vis-à-vis des autres êtres humains qui risquent de pâtir de leurs actes. Mais laissez le nucléaire tranquille, et occupez-vous plutôt des armes directes, qu’elles soient chimiques ou simplement à balles, ou quoi que ce soit d’autre, occupez-vous vraiment de l’arme qui tue, au lieu de vous battre pour une potentialité qui n’arrivera de toute manière jamais.

Des accidents, certes, sont inévitables, parce que les accidents reposent sur la responsabilité, la compétence et l’intelligence humaine. Mais une destruction, ne la craignez pas, elle n’aura jamais lieu, jamais, jamais, jamais.

Et j’en donne pour preuve le fait que, même de façon inconsciente, aucun homme n’a décrété l’établissement, soit de centre de recherches, ou de centre de production d’énergies sur les lieux qui vont être touchés par les transformations géologiques de la terre. Aucun de ces lieux-là ne se trouve fourni en centrale nucléaire ou centrale de recherches.

Naturellement vous pouvez dire que certaines sont implantées dans des endroits suspects. Oui, tous les endroits sont suspects, mais ce ne seront pas ceux qui vont être touchés par les transformations géologiques de la terre. N’ayez aucune crainte, battez-vous pour ce qui est concret, battez-vous pour ce qui est réel et pas pour des fantômes dans des placards.





Celui qui dirige la conférence dit :

Nous sommes arrivés au terme de cette longue communication. Nous vous remercions et nous attendons une conclusion si vous désirez en faire une.


Tout ce que je voudrais dire, pour terminer, bien que mon message n’ait jamais de fin, car si je m’arrête d’utiliser cette bouche, je me perpétue à travers tous les esprits de bonne volonté et à travers tous ceux qui, par leur force et leur communion permettent à la vibration, ou à leur Maître, de perpétuer un service et un acte de bonté.

Pour terminer la séance, je dirais tout simplement et comme d’habitude, ayez l’espoir. Si je vous parle, tel que je vous parle, depuis mon ciel, ce n’est pas parce que je suis quelqu’un de différent de vous. Je suis simplement quelqu’un qui a pu dire je suis, quelqu’un qui a pu comprendre qui il était, quelqu’un qui a pu admettre tout ce que les lois cosmiques développent en évidence tout autour de la planète, et à chaque instant de la vie. J’ai eu les yeux pour voir et l’oreille pour entendre.

Tout ce que je dis, n’est pas quelque chose à laquelle vous devez croire, tout ce que je vous dis, n’est pas des concepts auxquels vous devez vous attacher et ne vivre que pour cela et ne penser que pour cela.

À quiconque qui prendrait ce chemin, je lui retirerais la foi qu’il a en moi, et ainsi de mon ami, il deviendra mon ennemi. Je retire la foi, afin que l’homme pense de par lui-même et non pas de par moi, parce que j’ai parlé et qu’il aime. Cela, je ne le veux pas. Je préfère qu’il devienne ennemi de ceux qui ont le service vis-à-vis de moi, plutôt qu’il reste mon serviteur, car je ne veux aucun serviteur.

Je ne veux pas, m’ayant écouté, que vous vous disiez en vous-mêmes ou dans l’espoir que je vous entende, je suis ton serviteur grand frère, ou Maître prend moi sous ton aile, adombre-moi, afin que j’exécute un service. Cela, je ne le veux pas, je retire mon oreille, mon œil, mon aile et je m’en vais très loin dans le fond du cosmos, en me promettant de ne plus jamais revenir parmi les hommes.

Je ne suis pas seul lorsque je viens vous voir. Il y a au contraire tout un frémissement d’ailes, nous sommes plusieurs présences. C’est pour cela que nous pouvons et que nous admettons des chapitres différents d’expressions, donc diverses questions. Chacun ayant son dossier, sa capacité à parler dans tel ou tel aspect de la science concrète, ou de la science métaphysique.


Quel est donc notre effort ?

Notre effort n’est pas de développer en l’homme ou sur la terre une nouvelle religion, pas plus que de lui apporter un nouvel espoir. L’espoir n’est pas bon pour l’homme, lorsqu’il espère en un Dieu, en un extraterrestre, ou en un initié. Il n’est plus un homme, il est un animal, et je veux que vous compreniez cette chose.

L’homme qui espère en un Dieu, l’homme qui espère en un guide, en un messie, ou en un extraterrestre, est un animal, parce que l’animal se comporte de la sorte. Il observe le chef du troupeau et il obéit au chef du troupeau, ou il observe son maître et il obéit au maître.

Mais Dieu n’a pas créé ses fils pour pouvoir être le maître-chien de la horde de ses créatures. Comme je vous l’ai dit mille fois, les lois, puisque tel est le mot que vous utilisez, ne sont pas des lois auxquelles vous devez obéir. Les lois sont des principes, d’équilibre, d’harmonie, que l’homme doit découvrir, et s’il n’en était pas ainsi l’homme n’aurait jamais existé, car dès le premier instant où il aurait bafoué la loi, il aurait été détruit et toute sa descendance n’aurait pas eu lieu.

Donc n’essayez jamais d’obéir à un Maître, n’essayez jamais d’obéir même à un Dieu. Essayez simplement d’être vous-mêmes, et par là même, vous comprendrez quel est le sens véritable de l’obéissance. Certes, l’obéissance est nécessaire, mais quelle obéissance ?

Non pas l’obéissance qui dit que, tu dois faire parce que cela est exigé, ou parce que je l’ai dit. L’obéissance, qui est attendue de l’homme, est la connaissance qu’il obtient en lui-même, lorsqu’il s’aperçoit de ce qui est juste, de ce qui est nécessaire.

Ainsi, lorsqu’un initié se manifeste sur la terre, et qu’on lui dit : tu devras mourir, tu devras souffrir, tu es sacrifié. Cet initié ne va pas obéir au Maître et lamentablement traîner sa croix. S’il est capable de prendre sa croix, de la porter, donc d’obéir à la loi de sacrifice que le cycle a déterminé et que les Maîtres lui ont donné, c’est parce qu’avant tout il obéit non pas aux Dieux, mais aux hommes, donc à la nécessité.

Lorsqu’un Christ meurt, ce n’est pas pour obéir à sa propre loi, ou à la loi des Maîtres, ni même à Dieu qui est au-dessus de lui, c’est pour obéir à vous.

En fait qui sont les vrais maîtres, les maîtres des Maîtres ?

Ce sont les hommes, les hommes inconscients, les hommes ignorants, les hommes débauchés, non initiés, profanes et profanateurs. Parce que c’est cette masse d’hommes qui va déterminer le nombre de nécessité, auxquels vont devoir répondre les guides, les initiés, les Maîtres et les Dieux. Et ainsi le Maître tout aussi grand soit-il, s’abîme et s’abaisse à répondre à la nécessité des hommes profanes et profanateurs.

Donc qui est le maître de l’autre ?

Toi qui es disciple et qui crois devoir obéir à un Maître, réfléchis à cette chose et comprends bien qu’à l’instant où tu veux obéir à ton Maître, tu obliges ton Maître à t’obéir. Parce que tu te trouves dans un état non initié, pas encore développé, pas encore assez subtil, et que le Maître va devoir tout programmer, tout sacrifier, pour développer tout ce qui en toi n’est pas développé.

Naturellement il va exiger de toi certaines choses, et tu croiras que tu devras obéir. Tu ne devras pas y obéir parce qu’il te l’aura dit, tu devras y obéir parce que tu sais, de conviction intime et intérieure, que cela est juste, que cela est bon et que cela est la loi de l’univers, la vie même de l’univers et que tu te tuerais, tu te renierais en ne le faisant pas.

Je veux que vous réfléchissiez sur cette notion d’obéissance et de liberté, parce que tant que l’homme n’aura pas compris exactement ce qu’est la liberté, il n’aura pas compris non plus ce qu’est l’obéissance et que faire avec. La seule obéissance que doit le disciple, c’est donc vis-à-vis du plan, et pas vis-à-vis de son Maître, ni vis-à-vis de Dieu. Il doit obéissance au plan, mais qui dit plan, dit les hommes, donc la nécessité pour les hommes.

Le plan c’est cela, le plan ce n’est pas un idéal que les Maîtres ont créé. Le plan c’est la somme des nécessités qui, en provenance d’une certaine civilisation, va faire appel à un certain nombre de réponses, qui vont être apportées par les Maîtres, les guides, les initiés.

Lorsque vous imaginez le Maître, ne le cherchez pas comme s’il était votre lanterne, votre initiateur, votre idole, celui qui vous manque, celui à qui vous devez obéir. Sachez qu’il est une réalité, qu’il est tangible, qu’il peut venir à chaque instant, parce que tel est son amour et telle est aussi la loi qui le régit, c’est la présence.

Sachez qu’il est un principe, un principe qui tient le monde comme il tient aussi l’évolution des individus. Et essayez d’être utile au Maître au lieu de pleurer, de crier, de faire des pieds et des mains, de taper le sol, de réclamer, et je ne sais quoi d’autre d’enfantin. Au lieu de réclamer votre Maître, soyez plutôt quelqu’un qui est utile au Maître, et immanquablement vous le trouverez.

C’est comme l’individu qui veut absolument transporter de l’eau et qui pense d’abord trouver la source.

Erreur.

Trouve ta marmite et lorsque tu iras à la source tu auras de quoi transporter de l’eau pour tes frères. Mais si tu vas à la source simplement avec tes mains, certes tu la trouveras, mais tu ne pourras rien ramener.

De la même façon, les êtres qui cherchent leur Maître parce que telle est l’impulsion humaine, ne peuvent rien ramener. Certes, eux, ils auront bu, certes ils se seront développés, ils auront acquis, mais ils ne pourront rien ramener.

Ce qu’il faut donc avant tout et spécialement à l’heure actuelle, c’est entrer dans le service et devenir des disciples actifs, et pas des disciples contemplatifs. Il faut tourner un instant vos yeux vers le ciel et l’autre instant vers la terre, vous servir dans le ciel et distribuer aux hommes.

Si tout cet hiver, vous avez encore et encore envie de trouver votre Maître, ne le cherchez pas ailleurs que dans l’humanité, ne le cherchez pas ailleurs qu’auprès des pauvres, des miséreux, des besogneux, des perdus et répondez à leur appel. Et beaucoup plus sûrement, de cette façon-là, vous rencontrerez le Maître. Parce que vous deviendrez une roue qui tourne appelant de l’énergie, et que l’énergie n’est pas amenée par autre chose que celui qui est dépositaire de l’énergie, le Maître.

Alors ne cherchez rien, parce qu’il y a autour de vous tous les moyens de trouver. Mettez-vous simplement au travail, et j’y compte, non pas parce que je compte sur vous, je n’ai pas cette folie. Mais parce que je sais, que j’affirme et que je suis certain, que si l’homme et les Dieux marchent ensemble main dans la main, quel que soit le nombre des hommes qui sont perdus, malades et profanateurs, quel que soit le nombre de leur masse, tout peut changer, tout peut avoir lieu. Mais il faut que les hommes et les Dieux marchent main dans la main.

Comment l’homme peut-il marcher main dans la main avec Dieu, s’il se contente d’avoir une attitude prostrée ?

« Grand Dieu, qui êtes dans les cieux, je te vénère, je t’obéis. »

Non, ce n’est pas du tout opérationnel, ce n’est pas actif, ce n’est pas fonctionnel, ce n’est pas efficace, ce n’est pas compétent. Or il faut être tout cela, efficace, compétent, concret, créatif, actif, opérationnel, un disciple c’est tout cela.

Alors veillez à entrer dans le service et tout ce que vous réclamez maintenant vous viendra en plus, la relation avec les Maîtres, la relation avec le pouvoir, la vision de l’au-delà, la vision de l’univers, la vision du Nouvel Âge et aussi la présence dans le Nouvel Âge.

Faites le travail qui est nécessaire ici et maintenant, et tout ce qui est secret ici et maintenant deviendra pour vous au contraire un livre ouvert.

Chaque fois qu’il y a des secrets, ne cherchez pas à obtenir la réponse, passez à l’action afin que le livre s’ouvre. Si vous essayez de forcer le livre, vous n’arriverez pas à lire, car il n’y a pas d’écriture.

La plupart des ésotéristes ou des occultistes ont un certain nombre de livres, mais lorsqu’ils veulent ouvrir le livre, qu’ils forcent, lorsqu’ils l’ont finalement ouvert, il n’y a rien d’écrit et ils deviennent fous. Parce que ce livre-là, ne s’écrit pas de la main et de ce qui peut être intelligencé, mais il révèle son essence.

De la même manière que Salomé a montré sa nudité au fur à mesure qu’elle enlevait ses voiles. Ainsi en est-il de la splendeur de l’âme et de la science sacrée et de toutes les énigmes.

Travaillez sur vous et travaillez pour les autres. Et de cette manière à coup sûr, le Maître sera en vous, il n’y aura pas d’autre place plus digne pour lui à ce moment-là.



Je vous salue.