(27.09.92)
Thèmes :
- les maladies ne sont pas des châtiments de Dieu
- l’histoire occulte de la vie
- le commencement de la réincarnation
- explication de comment Jésus a pu marcher sur l’eau
- méthode des extraterrestres pour voyager dans l’univers
- la nature des microbes et des virus est à découvrir
- les microorganismes qui sont aujourd’hui vos ennemis,
dans l’avenir seront vos grands alliés
- l’homme doit apprendre aussi l’hygiène énergétique et
vibratoire
- pourquoi certaines maladies touchent surtout les
enfants ?
- la sagesse des anciens guérisseurs
- dans l’avenir l’usage du troisième œil reviendra
- les entités astrales créées par les humains
- les causes occultes du cancer
- l’origine occulte du sida
- l’importance de la santé physique
- le cercle magique pour se protéger des entités astrales
- les produits chimiques génèrent le cancer
- Les crises sociales qui se produiront dans l’avenir.
- L’ange ne peut pas descendre plus loin que le plan
éthérique.
- Le mal est un problème créé par les hommes, non par l’Univers.
- Méthode pour se protéger des entités nocives astrales.
- Comment s’emploiera la pensée créative dans l’avenir ?
- Conseil pour faciliter devenir riche.
- Comment faire pour accélérer notre évolution ?
- Méthode pour éviter mourir.
- Le retour des Atlantes.
- Explication des coups créateurs dans le rituel
ésotériste
- Signification du mantra So-Ham
- Comment recevoir énergie à travers les chakras ?
- Les automatismes du corps sont gérés par un élémental
- La méditation sert à quoi ?
- Que faire quand on a peur ?
- Comment se contacter avec les énergies des autres
planètes
- Qu’est-ce que c’est la spiritualité ?
- Le fanatisme sclérose les énergies et engendre des
êtres abâtardis
- Le karma collectif
- L’ego existe pour allumer les feux du mental
- Comment différencier le vrai du faux ?
- L’énergie bleue intense de la hiérarchie des maîtres
Première question : quelle est la
signification du sida, au niveau de l’humanité, de la société et de
l’individu ? Quelle attitude
doit-on avoir en tant que malade, et comment peut-on aider ceux-ci ?
Deuxième question : dans la période que
connaît l’homme actuellement, le rôle des guérisseurs spirituels est très
important. Quel est le message que l’on peut attendre du plan, quant à la
manière de diriger notre travail et l’ouverture de la conscience ?
Bonsoir,
Les sujets que l’on me propose ce soir sont, non
seulement sérieux, mais extrêmement douloureux, puisque cela commence avec
cette nouvelle maladie, qui en fait n’est pas si nouvelle que cela, mais ça on
en parlera. Mais avant que j’aille plus précisément dans le discours, je voudrais
vous accueillir, et comme d’habitude, vous formuler mes quelques conseils pour
une meilleure relation durant tout ce discours.
Comme je le dis à chaque fois, mais il faut que je le
précise tout le temps, car la conviction a tendance à s’évanouir donc, il faut
que je la réanime. C’est pour cela que je le répète.
Lorsque vous venez, que ce soit vers moi, ou vers un
autre guide, ou lorsque vous avez une démarche vis-à-vis d’un livre que vous
considérez comme sacré, et d’autres provenances. Vous devez autant que
possible, non pas avec un respect qui petit à petit va anéantir votre libre
arbitre à propos de ce livre ou de ce guide. Vous devez au contraire, un peu
comme animé par une certaine violence, au fur et à mesure des mots
énoncés : peser et comparer. Et non pas comparer face à la culture d’un
autre livre ou d’un autre individu, mais face à votre propre acquis et à votre
propre expérience.
Ce qui veut dire que vous ne pouvez pas vous servir, soit
de ce que je vais vous dire, soit de ce qui va se trouver dans un livre, tant
que vous ne l’aurez pas confronté à vous-même. Et ceci, non pas pour douter,
soit de ce que je vous dis, soit de ce vous lissez, car ce n’est pas le doute
que je vous propose et d’une analyse intellectuelle.
Mais au contraire !
Tout au contraire, je vous demande de suffisamment
ressentir et percevoir en vous, l’effet de ces mots, l’effet d’une idée qui est
déployée, pour voir si, non seulement elle correspond à quelque chose que vous
avez enfui et un jour refusé, parce que cela vous aurait demandé un sacrifice,
ou parce que cela vous aurait demandé un changement de vos attitudes et de vos
manières. Soit encore, et en ce sens je dis qu’il y a du bon dans la
confrontation. Cela détruit ce qui en vous, ferait que même si en deux minutes
vous me croyez, vous n’allez pas exécuter ce que je vous demande, soit parce
qu’il y a en vous une grande léthargie, soit parce que quand vous vous
retrouvez tout seul, vous avez un point de vue très fort, qui fait que quelque
chose qui vous a impressionné, vous la déployez quelques minutes, mais en fait,
vous ne la sentez pas tout à fait.
Donc, quand vous êtes face à moi, vous devez faires ces
échanges de pensées, vous devez passer au discours contradictoire. Bien sûr, je
ne peux pas vous accorder la parole, parce que les moyens techniques ne le
permettent pas et je ne peux pas vous entendre comme il faut. Mais aussi, parce
que cela prendrait trop de temps et il faudrait passer des journées à cela. Par
contre, para la pensée, là je peux vous entendre complètement et je vous reçois
cinq sur cinq.
Donc, au fur et à mesure que je déploie mes arguments.
Pensez ! Ressentez-en l’écho !
Pesez face à votre expérience, mais face
aussi à votre intuition et aux convictions que vous avez. Et envoyez-moi votre
point de vue. Et au fur et à mesure d’un dialogue qui va se trouver enrichi,
vous verrez comme nous irons un petit peu plus loin, car comme je l’ai déjà dit
si souvent, cela ne me plaît pas du tout de discuter tout seul, pendant des si
longs moments. En fait je n’aime pas l’aspect magistral qu’a un discours, et je
préfère un échange de points de vue, de façon à venir vous toucher à l’endroit
exact où vous demeurez, soit trop recroquevillé, soit blessé, soit limité.
Alors, osons discuter, l’un et l’autre.
J’espère que c’est une chose entendue.
Maintenant, nous allons aborder la première question qui
m’est posée.
Bien sûr, lorsque l’on aborde un tel sujet, il va sans
dire qu’il faut vous parler, sans trop perturber l’émotionnel qui se trouve à
l’intérieur de vous-même, parce que je ne peux pas parler directement à votre
être intérieur. Il va me falloir donc d’abord parler à votre personnalité. Et
lorsqu’au fur et à mesure, je vous aurais rassuré sur notre bonne volonté, alors
je vais pouvoir parler à votre être et vous dire exactement ce qu’est ce
problème.
Chaque maladie est vécue par l’homme comme une
catastrophe, parce qu’elle est douloureuse, parce qu’elle est une limite, et
parce qu’elle amène à la mort. Et c’est peut-être à cause de cela, que toutes
les maladies graves sont imaginées comme autant des pestes, et que l’on implore
si souvent, à cause d’elles, la main secourable des maîtres ou du Seigneur. Et
il n’y a jamais eu autant des malentendus entre les hommes et les guides, les maîtres
et le bon Dieu (comme vous dîtes), qu’au moment où l’homme est malade.
Car en fait, si je suis malade, et si les maîtres
existent, ils devraient pouvoir faire quelque chose, pour soulager à l’humanité.
Non seulement, parce que très souvent, les enfants sont accablés et qu’ils
n’ont aucun moyen de se défendre, mais aussi parce qu’on connaît le caractère
épidémique de certaines maladies. Et que donc, on ne peut pas soupçonner qu’il
y a là, l’effet d’un karma privé et personnel.
À partir de ces deux premiers éléments, la maladie face à
Dieu, devient un malentendu. C’est comme si Dieu avait abandonné l’homme, Dieu
l’avait abandonné à ses misères et à sa mort, sans bouger le petit doigt. Pas
plus que les maîtres, pas plus que les guides. Or pour que la foi persiste avec
de telles impressions, avec de telles idées, il faut avoir, soit une foi
rêveuse, rempli d’illusions, alimentée plus par une forme de fanatisme que para
l’amour, soit une foi qui n’a pas peur de la mort. Et je ne vous dirais pas
quelle foi est la meilleure, car je ne juge pas, je fais simplement le constat,
car en général dans l’humanité, c’est ainsi.
Ce dont nous allons nous occuper à travers ce thème,
c’est surtout de la maladie, de sa nature. Je ne vais pas dire son pourquoi. Ce
qui ne veut pas dire qu’il n’en existe pas un. Mais il faudrait qu’au moment où
j’explique son pourquoi, vous ne le voyez pas comme une fin en soi ou une
limite. Je dirais plutôt que c’est une création, que c’est un événement. On
n’est pas malade parce que… Parce que ceci ou parce que cela, ou parce que
c’est la volonté de Dieu, ou à cause du microbe. Et alors on se demanderait
pourquoi le microbe ?
Car en fait, il est très facile d’éliminer la plupart des
grandes maladies, si on arrive à éliminer ceux qui en sont les créateurs et les
porteurs, c’est-à-dire les virus, les microbes, les bactéries, etc.
Donc on peut demander à Dieu et à toute sa création et à
son plan soi-disant si magnifique. Mais qu’est-ce qui t’a pris ?
Est-ce que tu t’es endormi à ce moment-là ?
Pourquoi est-ce que tu as laissé les microbes et les virus ?
Et qu’est-ce qui t’empêcherait depuis ta si forte pensée, de les détruire
tous d’un seul coup ?
Ça et la guerre, ce sont sans doute les deux sujets qui
créent le plus de conflit à l’intérieur du disciple et s’est ce qui risque de
le distancier de Dieu. Et s’est ce qui fait que quelques fois il retourne dans
le monde concret pour trouver des solutions par lui-même. Et étrangement, il
retrouve Dieu et sa substance, beaucoup plus sûrement au moment où il retourne
au concret, plutôt que quand il était en méditation et il ne pensait pas, ni
aux virus, ni aux microbes, ni au pourquoi ?
Alors, dans la mesure où vous ne cherchez pas un
pourquoi ? Avec un concept très
limité, ressemblant à la fatalité et au châtiment de Dieu. Nous allons
peut-être en commencer l’explication. Mais n’oubliez pas que JAMAIS vous devez
identifier la maladie au châtiment.
Regardons ce qui se passe :
Nous voyons bien que la terre est entourée d’une
atmosphère et que dans cette atmosphère se développe toutes sortes de
créatures.
La vie n’a pas de limite.
Que ce soit la vie que vous pouvez percevoir, ou que ce
soit celle plus invisible, ou même celle qui vous échappe, parce qu’elle est
beaucoup plus grande que vous (la vie des Êtres cosmiques : planètes, étoiles,
etc.) donc elle devient invisible par ce même phénomène.
La vie est infinie.
Les règnes s’interpénètrent les uns avec les autres. Et
vivent aux dépens des uns et des autres.
Au fur et à mesure qu’une vie biologique s’animait sur la
planète. Et alors que l’esprit collectif de l’humanité descendait au fur et à
mesure dans la matière, à fin de lui donner des formes, à fin de prédestiner
ces formes à devenir humaines, à être capables de tel ou tel talent. Chaque
individu construisait un peu comme un orfèvre ou un ficeleur, construisait
minutieusement, les différents corps subtils, sans les mettre pout autant
encore en activité. Puisque certains de vos corps subtils aujourd’hui, ne
fonctionnent pas encore. Cependant ils ont été moulés. C’est comme un code qui
leur aura été donné, de façon à ce que le jour où vous vous en servez, vous
puissiez en faire quelque chose.
Donc, voilà que la terre se façonne elle-même, animée en
cela par l’idée maîtresse de celui que l’on va appeler « le Roi du
Monde » ou « le Roi de la Planète » peu importe. C’est celui qui
maintient le plan divin sur la planète. Et pour cela il émet une idée, une
pensée, qui n’est pas articulée en mots, mais qui est une image.
Cette image, par sa géométrie, dégage des sons et des
couleurs. Ces sons, ses couleurs et ses formes entrent en fusion avec la
substance qui n’était pas encore mentale de l’humanité, mais qui était déjà une
certaine pensée. Ainsi l’humanité a reçu ce plan, et ainsi elle savait ce
qu’elle devait créer pour elle-même.
Tandis que les parties de la planète que l’humanité
n’avait pas à préfabriquer, les parties de ce plan, étaient tout simplement repris
para la nature et façonnées par la nature du mieux qu’elle le pouvait. Et au
fur et à mesure des millénaires qui passaient, l’humanité façonnait les
différentes races, façonnait les différents aspects de la planète. Au même
temps, la nature elle-même, façonnait ce qu’elle avait à façonner. Et un jour
le monde est arrivé au seuil du plan physique tangible et matériel.
Au fur et à mesure que la vie s’approchait du plan
physique, elle se démultipliait. Notamment, les différents règnes commençaient
à se préciser : le règne végétal, le règne animal, eux très différenciés
du règne humain. On ne pouvait plus voir cette seule et unique grande vie
initiale, prise un peu comme une seule main fermée, mais on commençait à
discerner chaque doigt de la main. Et là, chaque règne de la création,
commençait à se séparer.
Mais il y a eu toute une période où l’humanité même,
commençant son aventure physique, demeurerait extrêmement éthérique et astrale.
Et les humains ne faisaient que passer à l’intérieur de leurs corps sans pour
autant y demeurer suffisamment longtemps, pour avoir une réelle expérience
humaine. Et cela est difficile à expliquer. Je vous demande simplement de
l’admettre quelques instants pour pouvoir suivre tout simplement mon
argumentation.
Alors voilà des coques physiques qui sont suffisamment
sensibles pour recevoir ces esprits humains, mais voilà que ces esprits humains
ne sont pas encore suffisamment attirés para la force de la gravité de la
terre. Aucune gravité d’ailleurs ne pouvait avoir de pouvoir sur ces
entités-là. Tout simplement parce que la descente n’était pas suffisamment
effectuée, et toute l’humanité comme un seul être, dépendaient des rayons du
soleil, puisque c’est de là que toute l’humanité a été éjectée.
Eh oui, on vient du soleil. Exactement comme un rayon
semble sortir, semble être émis par le soleil. De la même façon, il y a des
groupes d’humanités qui de la même manière sont projetés à l’intérieur de ce
grand ventre qui est le cosmos (c’est-à-dire le système solaire en
l’occurrence). Et suivant l’histoire du système solaire, suivant son plan, son
devoir, suivant la jeunesse ou l’ancienneté des âmes qui sont émises. C’est une
des planètes du système solaire qui précisément va être choisi pour recevoir
une vie à caractère physique.
Alors voilà cette humanité qui dépendant encore trop du
soleil, n’arrive pas à être attirée par la terre. Et autant qu’aujourd’hui il
vous semble difficile de vous échapper de la terre. Eh bien, autant autres
fois, il vous a fallu de la volonté pour descendre sur la terre et trouver les
moyens d’ancrage. Alors, comme la nature a toute une panoplie de lois à vous
offrir, vous les avez acceptées et vous avez sciemment et volontairement inclus
dans votre système spirituel, dans votre corps astral, dans votre corps
éthérique : des lois qui ne sont propres qu’à la nature, comme par exemple
la gravité.
Grâce à cette loi, une fois que l’homme l’a acceptée, il
a eu le pouvoir de descendre et de rester dans son corps, jusqu’au jour d’une
certaine mort où il décidait de partir. À ce moment-là, la nature n’exerce plus
de loi attractive sur lui, et c’est ainsi que votre esprit au moment de la mort,
peut se dégager et repartir vers les plans beaucoup plus subtils.
Si la nature continuait à exercer son attraction sur
vous, vous ne pourriez pas repartir, vous seriez là, à côté de votre corps,
comme le font ceux qui sont trop attachés. Et vous seriez comme des âmes en
peine, en pleine errance. El il n’aurait pas plus les moyens de se réincarner
pour autant, car en fait on ne peut se réincarner correctement que si on
provient d’un plan subtil élevé. Ce qui veut dire que toute âme qui est en
train d’errer dans le plan astral, doit se dégager de ce plan, doit s’y
épuiser, retrouver sa légèreté pour partir dans un plan subtil plus élevé, à
fin que depuis ce plan, se relancer dans la matière.
C’est le système du plongeoir, du plongeon et du
plongeur. Si je veux plonger dans la piscine, je dois trouver un plongeoir, si
petit soit-il, car ce n’est que depuis là que je vais pouvoir m’élancer dans
l’eau et faire un plongeon. Je ne peux pas retourner dans l’eau d’une autre
manière (imaginons que la piscine est entourée d’une clôture). Pour la
réincarnation, c’est la même histoire, c’est le même processus.
Donc, la nature vous a offert, par sa loi naturelle, le
pouvoir de vous incarner, et c’est bien d’ailleurs celui-là que vous lui
reprochez. Vous lui reprochez à cette pesanteur d’être justement trop pesante.
Vous lui reprochez à cette pesanteur d’être trop accaparante. Et vous voudriez
être comme des oiseaux de temps en temps. Bien sûr, l’exercice de cette force
est ennuyeux jusque sur l’esprit lui-même, puisque l’activité de l’esprit, elle
aussi est attirée de ce fait, comme par un aimant, à contempler de plus en plus
des choses concrètes. Mais si cela a lieu de la sorte, c’est parce qu’il y a un
but précieux et précis. Et vous ne pouvez pas, sous des prétextes de lourdeur
psychologique, de lourdeur physique, lourdeur d’une planète, lourdeur d’un
système, vous ne pouvez pas envoyer tout cela promener très loin pour y
échapper.
Ce n’est pas dans le refus d’accomplir qu’il y a une
issue pour vous. Mais au contraire, c’est dans le fait, non seulement
d’assumer, mais à l’intérieur de cette prise de responsabilité, de découvrir
l’énergie qui elle seule, va vous permettre à ce moment-là d’annuler les lois
de la nature.
À partir de ce moment-là, vous ne subissez plus l’attraction
terrestre, et la lévitation de certains grands personnages s’explique par ce
phénomène-là. Par leur prière ou leur méditation, ils entrent dans un état tel
qu’ils ne subissent plus l’attraction terrestre. Ils sont comme désaccouplés
des lois de la nature et ils redeviennent un élément solaire comme tout homme
l’a été à l’origine. Et à ce moment-là, ils se trouvent plus en relation avec
le soleil qu’avec une quelconque planète. Donc, les voici légers.
Donc au fur et à mesure que vous allez évoluer, que vous
allez comprendre, que vous allez accepter l’accomplissement dans la matière,
par l’intermédiaire des lois de la nature qui vous sont proposées, vous allez
recréer cet état d’apesanteur en vous et jusque dans votre corps physique. Ce
qui fait que comme Jésus, vous pouvez après marcher sur l’eau.
Comment est-ce qu’il a pu accomplir cet exploit ?
Bien sûr, on lui accorde une multitude de pouvoirs. Donc,
ce n’est pas étonnant de la part de Jésus, mais essayons de nous expliquer la
nature de ce pouvoir.
Pourquoi est-ce que Jésus marche sur l’eau ?
Non pas parce qu’il a le pouvoir de maîtriser
l’attraction terrestre, ou le pouvoir de transformer son corps en quelque chose
de très léger.
Non
Simplement il positionne son esprit à une altitude, à un
endroit du cosmos, où il rentre en relation avec le soleil, et non plus avec la
nature de la terre.
Tout pouvoir en fait, issu de ces grands êtres, n’est pas
le fait d’une force exercée à l’encontre de la nature, pour la façonner comme
on le désire. Ils le peuvent, mais ce n’est pas exactement le pouvoir divin
cela, mais c’est plus un pouvoir magique. Par contre, le pouvoir des grands
êtres ne fait pas violence à des lois installées pour le maintien d’un système.
Simplement d’un seul coup, ils se mettent à vibrer en correspondance avec un
autre système qui d’un seul coup va les régir et qui donc va paraître bien
différent.
C’est un peu cette même loi d’ailleurs qui permet
certains voyages interplanétaires. Ce qui permet à certaines humanités plus
avancées et dites extraterrestres, de venir vous visiter.
Pas toutes ces humanités extraterrestres ont découvert
cette loi dont je vous parle. Non, certaines utilisent bien particulièrement
une énergie fabriquée et conçue, comme vous, vous avez fabriqué et domestiqué
le pétrole, et vous en ferez bien d’autres. Par contre certaines se sont
suffisamment développés pour connaître, soit les métaux, soit les formes, soit
les sons, soit les couleurs, qui émanent d’elles-mêmes et par leur mise en
action, les lois d’un principe supérieur aux lois de la nature, qui notamment
exercent leur attraction. Donc après, on peut voyager sans aucun problème. On a
même l’impression de ne pas tenir compte du temps, car ce qui reste une
interrogation dans les voyages interplanétaires, c’est la notion du temps.
Certains peuvent bien s’imaginer qu’une énergie non encore découverte, peut
faire ce miracle, mais la notion du temps ?
Certains de ces voyages resteraient impossibles à cause
du nombre d’années nécessaires pour les faire. Eh bien, de nouveau, lorsqu’on
se met à raisonner avec les lois fondamentales d’un autre plan de vie, c’est la
notion du temps de ce plan qui se met à prédominer, au détriment de la notion
du temps du plan dans lequel physiquement on se déplace.
Ce n’est pas si abstrait ce que je vous raconte, et ce
sera pour chacun une culture tout à fait quotidienne, presque scolaire d’ici à
quelques générations, car au fur et à mesure, tout ce qui est ésotérique, va se
mettre à appartenir à vos écoles, à vos professeurs, à vos livres de culture.
Donc, en fait je n’apporte rien qui puisse faire de ce
monde, un monde différent. Mais je dirais que pour que ce futur temps ait lieu,
pour que ce futur moment puisse être accueilli d’une manière massive, il faut y
préparer certains esprits.
Donc, voilà une humanité qui au fur et à mesure descend
dans la matière, sans même pouvoir y séjourner suffisamment longtemps pour
avoir une expérience.
Pendant ce temps, la nature continue à façonner des vies
qu’elle pensait être acceptables et respectables pour exister sur la terre. Puis
lorsque les humains ont définitivement pris corps, ils ont jugé les formes
(parce qu’ils en avaient le pouvoir) qui avaient été faites par les forces de
la nature, donc par tous ces petits esprits de la nature que l’on appelle les
élémentaires. Qui eux-mêmes dépendent de leur chef, qui à leur tour dépend d’un
chef supérieur, etc. Mais comme dans toutes les hiérarchies, il y a toujours
quelques initiatives un peu sauvages.
L’humanité à ce moment-là, a jugé les formes qui ne lui
convenaient pas, tout en gardant certaines formes. Il a eu un grand tri, et
vous ne pouvez pas vous imaginer le nombre de moules physiques qui étaient
proposés à l’humanité, et que l’humanité a refusés. Vous ne pouvez pas vous
imaginer le nombre de moules physiques pour certains animaux qui ont été
présentés et que l’humanité a refusés.
Ce qui fait que tous les animaux qui ont existé ou qui
existent aujourd’hui, ont été acceptés à la majorité, par l’humanité. Même
l’existence de quelque chose d’aussi répugnant, comme on le juge aujourd’hui que
sont les serpents. Ils ont été aussi acceptés.
Bien sûr, tout cela vous ne vous en souvenez pas, tout
cela vous ne pouvez pas aller le chercher dans votre mémoire. Et pourtant c’est
un instant qui a existé, et vous avez été juges, et vous avez accordé
l’expérience sous telle et telle forme, à telle et telle vibration, à telle et
telle entité. Et cela n’a pas été juste un jugement dû à l’esthétique, ou au
service que pouvait rendre l’animal ou la forme humaine qui était considérée. Mais
l’humanité a aussi choisi (tout en pesant le plan et le karma) la part
d’expérience qui était à allouer aux autres. La liberté d’exister qui était
donc à allouer aux autres et pas simplement à soi-même. Et au fur et à mesure
de ces créations, de ces jugements, l’humanité avait tout le loisir de refuser
et de ne pas inventer les virus et les microbes.
Attention !
Quand je dis cela, je ne veux pas prétendre que vous êtes
responsables des virus et des microbes. Ce n’est pas mon propos. Je vous
explique simplement l’historique d’une certaine création.
Si donc, en tant que juges connaisseurs, à cette époque-là,
vous avez admis l’existence des microbes et des virus, c’est parce que vous y avez
trouvé une fonction, car tout ce qui aurait été inutile et inutilement
dangereux, vous l’auriez refusé. Et si vous n’aviez pas été capable de ce
jugement, vos ainés, ceux qui vous ont amené à l’incarnation, à cette aventure,
vous auraient prévenus et vous auraient fait peser le pour et le contre, vous
laissant de toute façon le choix, mais vous aurez été informés du problème.
Ce qui veut dire donc que les microbes et les virus
doivent être estimés d’une autre manière, car sa nature est à découvrir.
Vous devez vous interroger :
Est-ce que je suis infecté par un microbe ?
ou
Est-ce que je ne sais pas cohabiter avec cette forme de vie très
particulière qui peut à un moment donné me nuire ?
Mais comme n’importe qui peut me nuire ! Mon voisin peut devenir mon assassin, mon
époux peut me frapper, ou bien mon épouse me dire des choses tellement
horribles sur moi que cela ôte toute sécurité, toute confiance en moi-même. Et
je suis après un époux qui, soit pour se venger, soit pour retrouver un peu de
confiance en soi, va auprès des prostituées, parce qu’il n’ose plus se confier
à sa femme ou toucher sa femme.
Donc, l’attitude agressive de cet être minuscule qu’est
un microbe ou un virus. Cela n’appartient pas qu’aux microbes et aux virus.
L’assassin, cela peut être aussi votre ami le plus proche, le jour où il se met
à penser de manière incorrecte, pris de délire. Vous devez donc comprendre que
toute la vie est une sorte de découverte, pour cohabiter.
Je dois apprendre à cohabiter avec moi-même, cohabiter
avec les autres, et aussi cohabité avec la nature. Et je m’aperçois que si je
ne sais pas le faire, eh bien, cela crée des désagréments : il y a la
pollution, les maladies, etc. Je dois pour autant aussi apprendre à cohabiter
avec les microbes et les virus, car c’est aussi une forme de vie. Bien sûr elle
peut aboutir à des catastrophes cette forme de vie, mais l’assassin du quartier
peut aussi aboutir à une catastrophe.
Ceci je voulais vous le clarifier pour que vous enleviez
le côté malédiction que l’on ajoute à l’existence des microbes et des virus. Comme
si, après Dieu, Satan était passé pour démolir sa création, et ajouter tout ce
qu’il faut pour s’assurer de sa destruction.
Hmm.
Vous allez peut-être me dire que c’était une cohabitation
trop dangereuse et que l’on aurait mieux fait de s’en passer. Mais bien que je
ne puisse pas vous le démontrer, car à l’heure actuelle vos moyens techniques
ne permettent pas de confirmer mon propos.
Cependant je vous le dis (et si vous ne me croyez pas tan
pis, je ne vais pas vous juger pour cela) :
-
les microbes qui sont
vos ennemis d’aujourd’hui, seront vos alliés de demain.
Je sais que cela paraît difficile à croire, presque
impossible, et pourtant c’est la vérité. C’est une profonde vérité. Alors au
lieu d’avoir peur, il faudrait enclencher une recherche. Être capable de cette
fondamentale recherche. Mais lorsqu’il y a maladie, on essaye de comprendre la
nature du microbe ou du virus, pour pouvoir le détruire. Au lieu d’essayer de
suffisamment l’analyser (même si cela demande des générations) pour apprendre à
le connaître, et découvrir ainsi l’usage qu’on pourrait en faire de lui.
Et je parle d’un usage tout à fait matériel, physique et
concret. Je ne parle pas d’un usage spirituel ou d’abstraction intellectuelle.
Que par exemple : grâce à une maladie vous devenez spirituels. Je ne parle
pas de cet usage-là. Par contre, sur la terre il y a un manteau de microbes et
des bactéries qui sont en fait, tout autant des générateurs. Si vous savez
suffisamment les attrouper, suffisamment les comprendre, ils vont créer ce dont
vous avez besoin. Non seulement ils peuvent refaire le manteau de la terre,
alors que vous avez laissé (parce que vous permettez se faire trop de
déboisement) vous avez laissé s’épuiser le fin manteau de terre. Donc la terre
peut vous manquer d’ici à quelques générations dans certaines régions pour
pouvoir continuer les cultures. Eh bien, certaines bactéries, certains microbes
peuvent vous aider à recréer ce manteau-là, parce que s’est ce à quoi ils
s’emploient depuis de tant des millénaires.
Bien sûr, c’est un travail qui s’étale sur plusieurs
générations. Ce n’est pas quelque chose que l’on peut faire industriellement et
en voir les bénéfices tout de suite. Mais si l’on comprend le processus, on
peut ainsi préserver la fertilité de la terre pour les générations futures.
Quant à l’aspect agressif de certains microbes, de
certaines bactéries, de certains virus, je regrette et je déplore, et j’en ai
été victime moi-même pendant toute mon aventure terrestre. J’ai dû lutter moi
aussi, parce que j’étais plus accablé par mon ignorance que par les microbes
eux-mêmes, car je ne savais pas cohabiter avec eux.
Je déplore donc que des effets aussi dévastateurs aient lieu.
Bien sûr je les déplore, bien sûr j’entends bien que vous
voudriez que nous venions pour vous aider à rétablir tout cela. Et ce n’est pas
que nous ne le voulons pas, ce n’est pas que nous ne le pouvons pas. Simplement
nous ne pouvons pas rayer comme cela, alors que nous les savons utiles. Nous ne
pouvons pas rayer tout un règne de vie pour que l’humain puisse être sur la
terre et dans l’aventure humaine, sans aucun danger de cohabitation.
Bien sûr vous allez trouver que c’est un argument qui ne
semble pas considérer à l’humanité, mais je vous demande de me suivre sans me
juger. Vous me jugerez à la fin du discours.
Nous ne pouvons pas comme cela rayer tout un règne. C’est
impossible. Et de toute façon et par voie de conséquence, vous seriez atteint,
automatiquement.
Ce n’est pas donc que nous faisons un choix :
« Tiens, pour que l’humanité se maintienne, il faut des
différents règnes, y compris les microbes. Et en conséquence nous ne pouvons
rien faire contre les microbes. Et ainsi ils emporteront une certaine part de
l’humanité au fur et à mesure de son développement. »
Non
Nous ne sommes pas comme cela en train de faire des poids
et des mesures, comme des êtres corrompus qui laissent à une certaine mafia le
droit d’exercer leurs actes.
Pas du tout
Et au fur et à mesure que l’humanité se développera, la
notion du microbe va changer. D’abord les humains comprendront comme ils
doivent cohabiter. Et pour une grande partie des microbes maintenant connus,
l’homme sait déjà comment cohabiter. Par exemple :
-
l’homme sait qu’il ne
faut pas vivre à coté des égouts,
-
l’homme sait qu’il ne
faut pas vivre à coté des animaux,
-
l’homme sait qu’il ne
faut pas vivre dans une maison très sale, insalubre, mal airée, mal éclairée,
-
l’homme sait qu’il faut passer
aux toilettes régulièrement, et qu’il faut laver régulièrement ses propres
vêtements,
-
l’homme sait qu’il ne
faut pas manger en ayant les mains sales et en utilisant des couverts sales.
L’homme a appris la salubrité et cela a suffi pour
éliminer une grande part des problèmes dus à certains microbes.
Face à certaines grandes maladies qui vous accablent
aujourd’hui, la même adaptation doit se faire. Et c’est là qu’au fur et à
mesure que l’on se développe, l’on s’aperçoit que l’on doit apprendre à
cohabiter, non plus simplement, en étudiant l’hygiène, mais aussi que de plus
en plus, il faut aussi apprendre une façon de penser et une façon d’aimer. Car
si bactéries, microbes et virus, semblent être des éléments tout à fait
physiques, il n’en est rien.
Pour tous ceux qui peuvent vous atteindre directement à
cause des erreurs et des manques de cohabitation physique, en réglant le
physique, c’est-à-dire la propreté, l’hygiène. Vous allez solutionner le
problème. Par contre, il y a certaines bactéries, certains virus, certains
microbes, qui eux ne sont qu’une toute petite chose physiquement, alors que l’entité
invisible qui les anime, soit depuis le plan astral, soit un peu plus loin, compose
l’essentiel de cette forme de vie. Et ces entités vont pouvoir vous piéger et
vous dévorer, depuis ce plan astral ou depuis ce plan concret de la pensée et
de l’intellect.
C’est pour cela que, malgré l’hygiène, dans certains cas,
on se demande pourquoi une telle maladie est encore possible. Je sais que c’est
difficile à démontrer, parce qu’encore une fois je n’ai pas les preuves
scientifiques. Il vous faudrait être clairvoyant pour pouvoir me suivre, pour
accepter totalement ce que je vous dis.
Ainsi par exemple, certaines maladies de l’enfant, ne
sont pas dues à un manque de cohabitation physique, à un manque de
compréhension ou de mise en garde physique. Mais c’est réellement dû à une
pollution astrale, parce que l’entité qui s’incarne par ce microbe ou ce virus
dans la vie planétaire, peut vous joindre uniquement sur le plan astral et pas
un autre. Et c’est pour cela que la plupart de ces maladies touchent l’enfant
et rien que lui, et plus après, parce que lorsque l’enfant a fini ses
révolutions affectives. Même s’il a d’autres problèmes affectifs, il n’a plus
cela même qui permet à ces entités de déclencher leur maladie.
C’est pour cela qu’autres fois, les guérisseurs,
utilisaient tout autant les invocations pour appeler des bons esprits à fin de
chasser les mauvais, qu’ils utilisaient des herbes, qu’ils utilisaient des sons
ou l’imposition des mains pour guérir quelqu’un. Ne sachant pas tout ce que je
viens de vous expliquer, mais colportant quand même la tradition, ils opéraient
sur les trois plans, et ainsi ils pouvaient opérer une guérison, qui avait lieu
à chaque fois.
Dans le cas où le microbe possédait une vie plutôt
astrale et créait donc plutôt une maladie astrale que physique (même s’il avait
des répercussions physiques évidentes sur l’individu). Le guérisseur en faisant
les incantations, il arrivait à se débarrasser de l’entité. C’est quelque chose
qui aujourd’hui n’est plus tenu en compte, parce que l’humanité a perdu l’usage
de son troisième œil. Petit à petit, cet usage reviendra, lorsque l’humanité
aura fait preuve de certaines bonnes intentions.
Ce qui fait qu’au fur et à mesure le troisième œil s’est
atrophié, c’est non pas seulement et simplement à cause de la descente dans la
matière, mais surtout à cause d’un mauvais usage de l’énergie, car au fur et à
mesure de la cristallisation de l’ego, l’homme s’est mis à rayonner un égoïsme catastrophique, où
l’envie prédominait sur toute autre forme de raison. Ainsi, grâce à son
troisième œil qui était encore ouvert, l’humain pouvait discerner quelles
énergies existaient et étaient en mouvance, quelles énergies pouvaient être
dirigées, puisqu’il pensait une chose, et il voyait une énergie se développer
et aller vers telle personne ou tel endroit. C’est donc d’une simplicité
infantile que de s’apercevoir que par une pensée ou un désir dirigé, on pouvait
modeler l’individu, modeler ses réactions et préméditer tout ce qu’il aurait dû
vouloir faire s’il était en état de libre arbitre.
Donc, au fur et à mesure de cette descente dans la
matière, l’homme a atrophié lui-même sa possibilité de disposer du troisième
œil, car sitôt que je fais un mauvais usage de quelque chose. Étant donné que
cette faculté est créée pour le plan divin, pour une évolution cosmique, pour
les buts de l’âme et de toute une humanité. Si je l’emploie à autre chose, des
choses contraires, cette capacité s’atrophie. De la même manière physiquement,
si vous passiez plusieurs générations à ne pas vous servir de vos doigts ou de
votre parole, cela s’atrophierait automatiquement. Et au fur et à mesure que
l’humanité repassera la barrière de l’égoïsme, et je dirais d’un mauvais
égoïsme, de celui qui est tout empreint de désirs très personnels, capable de
nuire aux autres pour obtenir ce qu’il veut. Donc, lorsque la plupart des êtres
humains auront décidé d’éliminer cela, le troisième œil sera offert comme
appartenant à toute une nouvelle race, alors qu’aujourd’hui le troisième œil
n’est offert qu’à certaines personnes de manière individuelle.
Mais revenons aux maladies créées par des entités
astrales.
Ce qui fait qu’il y a une grande part de maladies
aujourd’hui connues, qui en fait ne devraient être soignées que par des
énergies et des invocations, car quand je parle des énergies dans le cas des
soins, il faut aussi penser à l’invocation, car il ne suffit pas simplement
d’irradier avec les mains, ou avec le chakra du cœur, comme si l’on canalisait
l’énergie d’une hiérarchie pour l’envoyer sur le malade. Il faut aussi penser à
invoquer les hiérarchies qu’elles-mêmes peuvent annuler l’entité astrale qui
anime cette maladie.
Pourquoi est-ce qu’une entité astrale devient comme cela, le créateur et
l’animateur d’une maladie ?
C’est là où il faut encore pendant un petit moment,
admettre ce que je vais vous dire, même si je ne peux pas vous le démontrer
comme vous voudriez.
Ces entités astrales ont commencé d’exister au fur et à
mesure que l’humanité descendait dans la corruption. Au fur et à mesure que
l’égoïsme, noir, très personnel, très envieux, se mettait à exercer ses ravages.
Alors certains éléments de l’astral, certaines petites entités, ou certaines
des formes pensées, tout simplement créées par des groupes humains, toutes ces
créatures ont commencé à vivre une vie tout à fait indépendante, puisque
disposant de suffisamment d’énergie sans cesse renouvelée par l’exercice du
défaut des hommes en question. Ce qui fait qu’au fur et à mesure que ces
entités devenaient de plus en plus fortes, de plus en plus nombreuses, elles
sont rentrées (comme toutes les entités) dans un regroupement et pour survivre,
elles ont décidé d’un moyen d’action.
Exactement comme dans votre société, les bandits petit à
petit se regroupent entre eux et forment des mafias qui décident d’un moyen
d’action pour survivre : ils cambriolent une banque ou dévalisent une
maison, etc. Eh bien, de la même manière ces entités créées par les hommes avec
les mauvaises énergies qu’ils projettent, ont décidé progressivement un
certain, je dirais mode d’emploi des énergies, un certain plan d’action pour
pouvoir continuer à exister.
Et bien sûr cette vie se crée à vos dépens.
Mais comment empêcher que vos propres créations reviennent vers vous ?
Hmm.
Bien sûr, et c’est-ce que vous allez me demander. Vous
allez me dire :
« Mais si tu étais gentil, si tu étais bon, tu nous pardonnerais et tu
effacerais toutes ces larves et toutes ces créations et on n’aurait plus des
problèmes. »
Bien sûr moi aussi j’y ai pensé à ses solutions, moi
aussi je veux ces choses, moi aussi je les ai revendiqué auprès de mes
supérieurs. Et j’ai même encore la folie de les penser quelques fois. Cependant,
cela ne se fait pas comme ça.
Je ne peux pas détruire votre création !
Non
Car dix minutes après vous la refaites !
Voilà pourquoi je ne peux pas la détruire, parce qu’elle
est indestructible tant que l’homme n’est pas disposé à changer.
Alors, voilà que l’on serait comme des femmes de ménage,
sans arrêt en train de balayer, de balayer et balayer, sans que pour autant
cela fasse diminuer d’un iota le mal sur la surface de la terre.
Je ne peux pas le démontrer ce que je vous dis et c’est dommage.
Vous êtes obligé de l’admettre.
Le mal ne diminuerait pas d’un iota !
Difficile à croire, et pourtant c’est la vérité.
Pour résoudre ce fléau, vous devez vous-même, diminuer
l’égoïsme et sa rapacité. Diminuer la mesquinerie et sa rapacité. Ce qui fait
qu’au fur et à mesure que nous, nous balayons, nous purifions les Cieux (comme
ils disent). Eh bien, la lumière peut s’installer et perdurer. Et au fur et à
mesure vous, vous vous préservez contre d’autres créations. Les créations
d’autres groupes d’humains qui n’ont pas encore su abolir la noirceur de leur égoïsme
et de leurs envies.
Ce qui veut dire qu’indéniablement, à partir d’un certain
développement spirituel, il y a toute une gamme de maladies que vous ne pouvez
plus contracter. Tandis que vous restez encore susceptible à un certain tipe de
maladies, parce que trouvant leur racine et leur reproduction, dans un plan que
vous n’avez pas encore maîtrisé, comme celui de la pensée, et surtout la pensée
créatrice.
Les causes occultes du cancer
On se pose énormément des questions, non seulement sur le
sida et je vais y revenir, mais aussi sur le cancer.
Bien sûr, il y a une multitude d’éléments qui peuvent
affaiblir les individus, et qui ainsi, vont prédisposer à développer cette
maladie appelée le cancer. Mais même si l’on ne considère pas cet effet que je
nombrerais « l’effet cocktail » c’est-à-dire : mauvaise
alimentation, pollution, stress, chocs psychologiques, traumatismes, etc.
Même si on prenait un individu qui ne serait pas dans ce
terrain-là, le cancer reste un événement possible, s’il ne prend pas garde à la
création de ses pensées. De la même manière quelqu’un qui est très faible
mentalement, qui n’est pas capable d’une création par la pensée, cependant peut
développer un cancer à cause du cocktail précédent que je viens de citer :
mauvaise alimentation, pollution, traumatisme, etc. Mais ce n’est pas toujours
le cas pour tout le monde, et il y a toute une multitude de cancers qui sont dus
à la pensée créatrice de l’individu.
Alors, comment cela se passe ?
D’abord une pensée qui serait par trop, que j’identifierais,
voyons que mot employer. Qui serait « directe » dans le sens où elle
ne tient pas suffisamment de place dans la liberté des autres. Donc, cela fait
apparaître l’individu comme étant une personne de forte personnalité, comme
étant un être qui peut se diriger lui-même. Mais qui du fait qu’il ne tient pas
compte de la liberté et de l’espace des autres, il va en fait dégager des
vibrations de violence mentale, qui au fur et à mesure vont se retourner contre
lui.
Cette violence n’est pas un problème en soi. Je veux dire
par là qu’il n’est pas puni pour sa violence. Je voudrais que l’on enlève la
caractéristique de la malédiction que l’on pense à propos de la maladie. Ce
n’est pas une malédiction, mais une création, c’est un événement.
Cette violence qu’il projette, existe donc aussi dans son
intérieur. Il va la rayonner vers l’extérieur, mais il la rayonne à propos et
avant tout en lui, comme lorsque vous allumez la lumière dans votre maison. La
lumière se montre à l’extérieur, éclaire un peu la terrasse et le jardin, mais
vous éclairez avant tout l’intérieur. Et bien avec vos pensées, c’est
exactement la même chose. Si vous pensez d’une manière violente et stricte,
vous posez cette énergie avant tout en vous-même, et pas simplement dans votre
environnement et sur les autres. Donc, vous vous nuisez à vous aussi et
surtout.
Le problème c’est que vous allez voir directement les
effets de votre pensée et de votre comportement chez les autres (puisqu’ils
vont manifester quelque chose) mais vous n’allez pas voir tout de suite les
effets de votre comportement sur vous-même, puisque cela se passe au niveau vibratoire.
Et donc, c’est tout à fait gaiment et sans aucun souci que vous creusez petit à
petit, jour après jour, votre tombe.
Et on a beau pour cela vous dire :
« Écoute, la puissance de la pensée dégage ceci et cela. »
On a beau vouloir vous instruire en vous disant :
« Attention, la puissance des émotions dégage ceci et cela. »
Comme pour toi, tout cela signifie un monde spirituel, un
langage spirituel, une discipline spirituelle. Alors tu ne veux pas t’en
charger. Et tu ignores que lorsque l’on te parle de spiritualité, on te parle
aussi de santé.
Mais santé non pas comme :
« Mon corps est suffisamment fort pour résister contre tout. »
Santé parce que je suis dépositaire d’une harmonie telle,
qu’aucune vibration de destruction ne peut m’entamer. Et si je vais vers la
mort, c’est parce que je l’ai choisi. Je me l’administre moi-même. Je veux
partir de l’autre côté. Je n’ai plus rien à faire ici. Ce n’est pas la fatalité
qui d’un seul coup se jette sur moi.
Donc voilà que par ces créations (soit émotionnelles,
soit mentales) que l’humanité ha fabriquée toute une horde d’entités qui la persécutent
jusqu'à présent, parce que tout simplement cette horde est alimentée sans
cesse.
Et c’est parce qu’il y a sur la terre encore suffisamment
d’individus pour être méchants, guerriers, violents, et la violence sous toutes
ses formes, y compris la violence mentale. On fait surtout cas de la violence
physique, de la violence verbale, et on méconnaît la violence mentale. Pourtant
elle existe aussi et elle fait tout autant de mal, parce que cela entretient
l’aspect agressif de ces formes de vie : virus et microbes.
Le cancer est donc quelque chose qui s’est développé par
un effet de création. Au moment où l’humanité commençait à cristalliser suffisamment
son ego pour devenir véritablement un être humain capable du libre arbitre, car
l’ego et son étroit passage, n’a été prévu, imaginé, mis en place, que pour
cela. Pour permettre à l’humain de découvrir et d’employer le libre arbitre. Ce
libre arbitre qui lui seul permet l’éveil du mental. Parce que sans le livre
arbitre : il n’y a pas de mental !
Et là je peux vous le démontrer, et je prends pour preuve
le comportement des masses.
Prenez toute une zone du peuple qui n’est pas suffisamment
développée et ne s’occupe par exemple, que de chercher sa nourriture, s’en repaître,
dormir et jouir de quelques plaisirs. Cela existe, ce n’est pas une critique, c’est
un constat. Eh bien, ces individus-là, vont pouvoir subir tous les
pouvoirs : le pouvoir politique, le pouvoir financier, le pouvoir d’un
chef, le pouvoir d’un directeur de conscience, etc. Et ils ne vont pas pouvoir,
ni juger la personne qui exerce ce pouvoir, ni intervenir, parce que leur
propre mental n’est pas encore assez éveillé.
Donc ils ne vont pas pouvoir avoir la liberté même du
choix. Ils vont être convaincus par la faille de leur ignorance et de leur faiblesse.
Mais au fur et à mesure que la pensée se développe, le libre arbitre aussi se développe.
Et au fur et à mesure que le libre arbitre a lieu, sous des formes de crises (à
cause de la souffrance que ces abus provoquent) le mental se développe lui
aussi chaque jour un peu plus. Et c’est ainsi que l’on aboutit enfin à une âme
dite éveillée, initiée, qui va ainsi pouvoir rapatrier ses feux solaires et les
ramener vivants auprès de l’Être solaire (comme je vous l’ai expliqué si
souvent). Et ainsi, cette âme éveillée va être consacrée comme une âme vive et éternelle.
Donc, même si cela paraît comme un passage douloureux et étroit,
le phénomène qui est l’ego est d’une absolue nécessité. Par contre, en faire avec
l’ego quelque chose chaque jour de plus en plus nuisible et obscur, cela n’est
pas nécessaire. Et c’est parce que à cette époque-là les humains (dont la
plupart des individus d’aujourd’hui faisaient partie d’ailleurs) ont été animés
par des sentiments si forts, qu’ils ont créé une entité. Et que cette entité de
désordre poursuit l’humanité jusqu’à aujourd’hui.
Comment est-ce que l’on pourrait caractériser l’entité qui préside à cette
maladie qui est le cancer ?
C’est la révolte.
La révolte absolue.
L’Atlante, puisqu’il s’agit de cette humanité-là qui a conçu
cette maladie-là. L’Atlante était un être à la fois, tenté par la matière,
compromis par elle. Déjà un petit peu corrompu. Et en même temps en révolte
contre elle, puisqu’il avait encore le souvenir de ce que pourrait être la vie,
lorsqu’elle reste sur les plans subtils. Donc, grande attraction, grand
compromis avec le plan physique, et puis soudain : révolte, divorce,
refus, tentative même par le suicide ou tout autre chose, des fois mêmes plus
magiques, de sortir du plan physique pour pouvoir comme s’éterniser sur le plan
astral et ainsi ne pas y mourir.
Cette notion de révolte, s’est ce qui a commencé à créer
la base, le centre. Et autour de ce centre, petit à petit, tels comme les pétales
autour du centre d’une fleur, d’autres énergies sont venus se loger pour au fur
et à mesure créer le cancer. Le cancer est donc une vibration typiquement émotionnelle,
même si elle dépend pour cela quelques fois d’éléments très physiques comme je
l’ai dit tout à l’heure : mauvaise alimentation, pollution, etc. Et si
l’on veut le combattre, il faut (et je viens de vous en donner le symbole)
avoir recours d’avantage au monde floral, qu’au monde des médicaments, au monde
des rayons, ou je ne sais quoi d’autre.
Eh oui, car par la distillation des fleurs, l’extrait de
leur sève, de leur substance, de leur principe actif, et par une judicieuse
application, propre au cas de chaque individu, c’est-à-dire à la nature de ces
vibrations, la fleur s’est ce qui permettrait, puisqu’elle est avant tout un élément
solaire et un élément du monde astral qui vit dans un état de paix absolue, puisque
sans arrêt tournée vers le soleil et s’enrichissant de lui. La fleur s’est ce
qui permettrait de rétablir une paix dans le corps astral du malade. Et ainsi
au fur et à mesure, on ne guérirait pas le cancer, ce n’est pas cela le propos.
Par contre, on ferait cesser la guerre dans le corps astral de l’individu. Et
ainsi, il n’y aurait plus le moyen que des cellules saines, deviennent cette colère
et cette révolte ravageuse qui en fait, elle est comme un acte suicidaire. Le
corps se suicidant lui-même. Laissez-moi vous expliquer la raison.
Si aujourd’hui le cancer est devenu quelque chose de typiquement
physique, autrefois c’était quelque chose de créé par l’individu :
« Je refuse cette matière, je la rejette, je la tue, je ne la veux
pas, elle me fait honte. »
Chez le malade d’aujourd’hui il n’y a généralement plus ce
refus et ce rejet de la matière. Bien au contraire. Cependant, il y a une
multitude de révoltes cachées, de conflits cachés, de colères intempestives inavouées,
et qui font que le corps astral se met à vibrer de la même manière que l’Atlante,
et voilà à ce moment-là que cette vieille entité, cette vieille maladie, peut
venir vous dévorer et ainsi perpétuer sa propre existence. Parce que si elle
savait se perpétuer par d’autres moyens, cette entité ne viendrait pas vous dévorer.
Et la maladie du cancer n’existerait pas sur la terre. Mais comme cette entité
a été crée sur la base de la colère, elle ne sait se perpétuer qu’en maintenance
avec cette énergie destructive vibrant chez les humains, ce qui finit par
détruire leurs corps.
Donc, quand vous développez une maladie de ce genre, ou
si vous connaissez quelqu’un qui en développe une. Si vous pouvez parler à
cette personne, ayez le réflexe de passer en revue toutes ces colères et de lui
faire parler de toutes ces révoltes qu’elle maintient gardées dans son
intérieur. Et surtout essayez de lui faire comprendre qu’elle n’est pas malade à
cause d’une fatalité de la création. Mais qu’elle est par ses problèmes
conflictuels, en train de nourrir à une entité nocive, qui perpétue sa propre existence
au détriment de la sienne.
Maintenait essayons d’aborder le sujet douloureux, parce
qu’étant nouveau et faisant peur, le sujet du sida.
On se demande d’où cela vient ?
Pourquoi est-ce que cela vient ?
On regarde les cieux on se demandant si ce n’est pas le
châtiment de Dieu, n’est pas ?
Et puis en se demande aussi si cela ne proviendrait pas
d’un laboratoire quelconque qui aurait fait des mauvaises manipulations et ainsi
créé un enfer sur la terre.
Il faut regarder droit devant soi. Parmi cet épais brouillard,
sans arrêt il faut regarder dans ce brouillard, car c’est de lui que tout
vient : je parle du plan astral. Et aussi de celui qui lui est directement
connecté et qui n’est pas tout à fait dégagé : c’est-à-dire la pensée inférieure.
La pensée inférieure n’est pas tout à fait une pensée en
soi, car elle est plutôt dirigée par le monde émotionnel.
Le sida est justement ce type d’entité, plus tout à fait
sur le plan astral (et typiquement émotionnelle) et déjà un peu plus sur le
plan de la pensée concrète.
Le sida est si puissant aujourd’hui, non pas parce qu’il
a une puissance particulière. Le virus en lui-même est peu de chose. Il peut être
détruit par les simples rayons du soleil. Mais voilà qu’il a trouvé, puisque
cette entité est particulièrement rusée, puisqu’elle dispose déjà d’une certaine
forme de pensée que vous lui avez prêtée. Elle a bien mijoté son affaire et
elle sait qu’en ce mettant à l’intérieur de vous-même, elle ne risque rien. Et
c’est donc en se logeant dans le plus profond de votre être (comme vous, vous
logez vos pensées et vos sentiments dans le plus profond de l’inconscient) que
cette entité a décidé de trouver-là, asile et protection, jusqu'à ce qu’elle
vous ait complètement dévoré.
Cette entité est l’ouvrage absolu et intégral de la magie
noire. Or je ne veux pas vous faire peur en vous disant de ces mots-là, mais je
ne veux pas non plus vous traiter comme des enfants et ne pas vous le dire.
Êtes-vous conscient du nombre de messes noires qui s’effectuent nuit et
jour sur cette terre?
Êtes-vous conscient du nombre des rituels à caractère satanique qui ont
lieu sans arrêt sur cette terre ?
Êtes-vous conscient du nombre de décharges énergétiques
qu’envoient les individus, par la force de leur pensée, liées à leurs émotions,
pour pouvoir nuire à un tel concurrent, ou même lui envoyer la peste à fin
qu’il soit définitivement enlevé du milieu.
Non, vous ne le savez pas.
Vous ne le savez pas, parce qu’on ne laisse pas de comptes-rendus
là-dessus. Et pourtant c’est ce qui a lieu sans arrêt, sans arrêt, sans arrêt.
Les magiciens noirs sont beaucoup plus nombreux de ce que
l’on imagine, et au travers des incarnations, plus ou moins, chaque être humain
a été, à quelque degré que ce soit, un magicien noir. Tout simplement parce
qu’un beau jour il a désiré quelque chose très fortement. Il s’est dit :
il faut que je mette toutes les chances de mon côté. Or il croit un peu aux
vibrations, ou il croit au charme de certaines invocations, ou au pouvoir de la
voisine qui est un peu sorcière. Et voilà comment cela commence. Tout doucement,
pour attirer la chance pour soi, puis pour écarter un ennemi, puis pour
s’attirer un amour, puis pour s’attirer une victoire, etc.
Bien sûr, cette magie-là ne paraît pas criminelle, mais
il y en a qui vont plus loin et ayant pris goût et devenant de plus en plus égoïstes,
d’une manière obscure, ils n’ont pas peur de demander la vie des gens pour exercer
leur pouvoir. Et lorsqu’autant d’incantations, autant des messes noires, qui
sont faites avec un but précis, et pas simplement « tiens parce que nous,
nous avons une église différente ». C’est fait avec un but précis, de par exemple,
de maintenir à un tel dans le pouvoir d’une certaine classe politique, dans un
tel pays, ou de faire descendre et détruire à un tel pouvoir, ou une telle
famille financière.
Au fur et à mesure, puisque tout ceci a une direction précise,
une entité se met à exister. Et qui prend de plus en plus d’envergure, et qui
d’un seul coup cherche tous les moyens pour pouvoir s’assurer un plan de vie
comme vous, vous cherchez tous les moyens pour vous assurer de votre futur. Alors,
vous cotissez à la sécurité sociale, une assurance-vie, une assurance-chômage. Si
pour vous sur terre il s’agit de cotiser et de donner de l’argent. Eh bien,
pour ces entités de l’autre côté, il s’agit de trouver les moyens de venir happer
la force vitale de l’individu. Jusqu'à ce que maladie et mort soient amenées.
Peu importe. Ces entités ne reculent devant rien.
Je ne veux pas dématérialiser la maladie. En vous disant
cela, je ne veux pas que vous croyiez que toute maladie est de provenance
astrale, ou de provenance magique ou psychique. Il y a aussi des moyens
physiques de combattre la maladie. Si par exemple, quelqu’un qui aurait le
terrain pour développer un cancer, à cause de tous ses conflits, de toutes ses colères,
rentrées. Si cependant, même s’il ne veut pas travailler sur ses conflits et ses
problèmes. Si cependant il veut se garantir une bonne résistance physique, une
bonne luminosité physique qui lui permet d’éradiquer tout le mal. Alors il doit
prendre soin spécialement de vivre dans un endroit sain et de manger une bonne
nourriture, de se reposer suffisamment, de ne pas nuire à sa santé par le tabac
ou l’alcool, etc.
À ce moment-là, il peut effectivement, même s’il ne prend
pas soin de sa caractéristique astrale, il peut effectivement rester sain et ne
jamais développer le cancer. Donc je ne veux pas dématérialiser la maladie, car
on peut effectivement par le plan physique, se rendre suffisamment résistant
pour ne pas avoir des problèmes, même si on construit sans arrêt ces entités nuisibles.
Il faut que vous preniez soin de chaque plan de la
vie : de votre plan physique, de votre plan astral, de votre plan mental.
Et étant conscient que ces entités existent et qu’elles essayent par tous les
moyens de vous nuire, pour vous accabler et vous dévorer. Comme je le dis si
souvent et j’insiste à chaque fois : il faut absolument purifier votre environnement,
purifier votre aura et tracer le cercle magique.
Attention !
L’attitude que vous devez avoir en faisant ces choses, ne
doit pas être guidée par la superstition et pensant :
« Puisque je fais le cercle magique, je n’aurais pas de maladie, je n’aurais
pas de cancer, je n’aurais pas le sida. »
Le cercle magique c’est ce qui vous permettra d’être plus
protégé contre l’entité. Par contre il ne faut pas laisser des failles pour
toutes les entrées physiques que cette entité pourrait trouver. Donc, il vous
faut aussi prendre soin de votre corps, une hygiène alimentaire, une hygiène
morale, une hygiène affective.
Et au fur et à mesure on verra que non seulement les Cieux
de la terre (c’est-à-dire l’astral) vont se purifier, puisque ces entités ne
pourront plus s’accaparer de vous. Et qu’au fur et à mesure, et par voie de conséquence,
les maladies s’amenuiseront et disparaîtront de la surface de la terre.
Il est très difficile lorsque l’on a été le créateur de
quelque chose, de faire face à sa création. Et le magicien comprend très bien
ce que je veux dire, car il connaît l’histoire du gardien du seuil. Je suis
toujours face à ma création, quelle qu’elle soit. Soit parce que je crois que
je suis beau, ou parce que je crois que je suis laid. Si je crois que je suis
laid, je vais être impliqué dans un comportement renfrogné, introverti, timide,
coupable. Et puisque je ne vais pas être bien présent et sûr de moi, je vais
rater la plupart des choses que je pourrais réussir, si j’arrivais face à la
chose dans un état de présence et de calme. Ce qui fait que toute ma vie va me démontrer
ces échecs et je vais conclure que je suis un échec. Alors que je construis moi-même
mes échecs, parce que j’arrive sur le lieu de l’événement à moitié décentralisé.
Je ne suis pas une présence. Je ne suis pas un calme. Je ne suis pas une
profondeur. Donc, quand arrive l’événement, ma puissance mentale et émotionnelle
sont complément défaites. J’aurais eu en fait l’idée juste, mais voilà qu’elle
ne me vient qu’un quart d’heure après.
Comment est-ce que cela ce fait que je marche et fonctionne rétrospectivement ?
Un ami me dit telle chose et je n’ai pas de réaction sur
l’instant. Et ce n’est que, soit une demi-heure ou un jour après que je me dis :
« Mais voyons, j’aurais pu lui répondre ceci et cela, et ça aurait ainsi
réglé le problème, ou j’aurais pu ainsi me défendre, ainsi faire du net et du
clair. »
Mais si je n’ai pas eu d’esprit d’à-propos, c’est parce
que je ne suis pas suffisamment présent. Et je ne suis pas suffisamment
présent, parce que toute ma conscience est employée à contempler mes problèmes.
Je contemple en grand nombrilisme : ma culpabilité, ma timidité, mon infériorité,
ou bien ma supériorité, mon grand talent, ma beauté, mes dernières robes, mes
derniers pantalons, ma victoire dans un rallye, ou je ne sais pas quoi d’autre.
Et étant donné que je suis en train d’utiliser toute l’énergie
à cette contemplation. Eh bien, je ne l’ai pas au moment de l’action, au moment
d’un choix, au moment d’une réaction qui me serait profitable d’avoir. Tandis
que si je n’ai pas de comportement nombriliste, je ne suis pas entrain de me ressasser
sans arrêt, d’une manière grincheuse : je suis inférieur, je suis
petit, ou je suis grand, je suis très beau, etc. Je deviens alors un
pouvoir d’action. Je suis enfin une existence. Je ne suis plus un tourne-disque,
hum. Et je deviens un pouvoir d’action. Je suis face à l’événement, face aux
personnes, d’une manière intègre. Et il me semble alors que d’un seul coup je
suis plus grand, plus fort. Et c’est d’une manière rapide que l’idée vient, que
j’ose l’exprimer et qu’elle effectue sa merveille.
Ainsi, plus je cultive l’existence d’état de présence, et
au même temps, plus je suis conscient de mes créations, et plus je suis tenté
de ne créer que ce qui est bon, profitable et constructeur. Donc, plus je
m’achemine aussi au même temps vers un état de santé. Vers un état d’immunité
contre des graves maladies. Mais il ne faudrait pas que, considérant tout ce
que je viens de vous dire, vous jugiez les grandes maladies comme étant des
accidents, produits par le manque de maîtrise des individus, car il y a des
grands êtres qui colportent des graves maladies. Et c’est à ce moment-là où
l’on comprend qu’il ne faut jamais conclure à des généralités. Et que pour
identifier correctement une situation, il faut connaître énormément la nature
des vibrations, la nature des purifications demandées.
Quelquefois, un grand être peut se charger, peut choisir
de vivre une maladie : comme un moyen de purification, et non pas
simplement parce qu’il aura été contaminé bêtement par sa propre création ou
celle des autres hommes. Voilà qu’un événement et une situation sont là : il
existe le cancer, il existe toutes les autres maladies. Je ne vais pas en faire
la description. Et un être peut décider de se servir d’une de ces maladies pour
pouvoir se purifier, pour pouvoir éliminer un karma, pour pouvoir dilater un
corps subtil plus précisément.
Pourquoi est-ce qu’un tel être fait un tel choix ?
Mon Dieu ! De
nouveau je ne vais pas pouvoir vous le démontrer, il vous faudra l’admettre.
Un être est capable d’un tel choix, alors que cela
implique tant de souffrance (et pas seulement pour soi-même, mais aussi pour
l’entourage) simplement parce que la notion de souffrance n’est pas évaluée de
la même manière, lorsque l’être, l’homme incarné est encore son âme. Et lorsque
l’être incarné n’est plus que sa personnalité.
La souffrance pour l’âme est considérée comme un labeur,
un travail, une alchimie. C’est un évènement parmi tant d’autres qui permet,
soit une création, soit une ouverture, soit une élévation. Pour la personnalité
qui elle va endurer ce travail, endurer cette alchimie, il ne s’agit que de
souffrance, et elle veut s’en débarrasser. Or bien sûr, on retrouve là le grand
malentendu entre les aspirations de l’âme et les résistances de la personnalité.
L’idéal c’est quand la personnalité commence suffisamment à se dissoudre, pour
que le « je » objectif ne soit plus tout aussi conscient de la
personnalité, mais devienne beaucoup plus conscient de l’âme. Et ainsi c’est l’âme
qui endure la maladie qu’elle a prévue. Ce n’est plus simplement un corps et
une personne qui soufrent. Mais il faut pour cela que le moi objectif soit
beaucoup moins attaché à la personnalité ou à son réseau, et soit davantage
attaché au réseau de l’âme.
Donc, et pour revenir au sida et je terminerais là-dessus.
Au fur et à mesure qu’au travers des millénaires, les messes noires avaient
lieu et que l’énergie était dirigée pour être utilisée d’une manière négative à
l’effondrement ou à la construction de certains pouvoirs, une entité de plus en
plus puissante s’est construite.
Nous l’avons gardée. C’est le pouvoir qu’a une hiérarchie.
C’est le pouvoir qu’a le roi d’une planète, le régent d’un système. Dès qu’il
voit les créations humaines, il juge s’il les laisse entre les mains des
hommes, et laisse ainsi aux hommes le pouvoir de détruire et d’arrêter cette
construction, ou alors la hiérarchie prend cette entité et la tient en prison,
comme un criminel, pendant un certain temps. Et lorsque l’humanité se trouve,
soit trop corrompue ou soit suffisamment mûre, cette entité est relâchée et
l’humanité y fait face.
Ce qui fait que le sida se déferle aujourd’hui et pas à
une autre époque, c’est uniquement parce que l’humanité est à la fois trop
corrompue, tandis qu’une certaine partie est à la fois suffisamment mûre pour
gravir les dernières marches philosophiques, intellectuelles et scientifiques
que permettra cette maladie.
Donc, toute la masse corrompue et je m’expliquerais sur
ce terme, car il ne faut pas en faire un mauvais usage. Toute la masse
corrompue qui a attiré de nouveau cette entité et qui lui a servi de point d’ancrage,
sert de purification (puisqu’elle retrouve l’entité qu’au fur et à mesure
d’autres siècles et d’autres vies, elle a créée). Donc, puisqu’en endurant cette
chose elle sert d’aboutissement à la purification de l’humanité de ce karma
qu’elle s’est générée.
Mais aussi la partie de l’humanité qui elle, est le suffisamment
mûre, par sa recherche pour confronter ce problème, va découvrir et étudier
certains plans de la vie, certains plans de l’univers, de la conscience. Et
ainsi va s’élever.
Exactement comme le cancer a élevé la société, en faisant
l’évidence qu’il faut d’une alimentation saine et équilibrée. Et cela a déclenché
à la suite toute une révolution sociale. Et la révolution n’est pas encore
terminée d’ailleurs. Elle va encore prendre plusieurs générations, car des
pouvoirs sont en place et ils ne veulent pas céder.
Le grand problème de la révolution morale et mentale qu’a
amenée le cancer, c’est l’utilisation des produits chimiques. Mais
l’utilisation et la création des produits chimiques sont entre les mains
d’individus qui se créaient une richesse colossale avec cela. Ces richesses
colossales servent au même temps à la maintenance des sociétés, grâce à l’impôt
qui est payé et grâce à la supériorité économique que cela donne au pays.
Ce qui fait qu’un gouvernement ne peut pas d’un seul
coup, ordonner à toute une chaîne industrielle chimique, d’arrêter de produire
ceci et cela que vous retrouvez jusqu'à l’intérieur de votre pain, de votre
soupe, de votre boîte de conserve, de votre croissant même du dimanche matin,
que l’on voudrait prendre en paix. Mais non, mais non. Il y a la petite graine
du producteur chimique, la petite graine du producteur astral. Et ainsi, ce
n’est plus un croissant ce que vous mangez le dimanche matin, juste avant la
messe, mais c’est de la dynamite, c’est de la mort en barre.
Je ne veux pas vous gâcher vos matinées du dimanche
matin, pas du tout. Mais au fur et à mesure que la conversation va se développer,
je voudrais vous rendre conscients que vous êtes l’endroit où une multitude d’entités
prennent de l’énergie, et une multitude d’hommes prennent leurs richesses. Et
que donc, absolument et définitivement il faut, soit se regrouper pour faire
face et dire non et imposer un nouveau style de vie, soit se créer son propre
univers et se retirer dans un endroit, plutôt campagnard que citadin, et
refaire son monde. Main on ne peut pas lorsque l’on devient conscient du phénomène,
continuer à être corrompu.
Donc, voila que cette entité qui est le cancer, elle a
tout lieu de perdurer pendant encore pas mal des générations, parce que même socialement,
les gouvernements, les hommes politiques, mais aussi les citoyens ne veulent
pas faire le choix qui existe et qui est d’éliminer les traces chimiques de
tous les aliments. D’éliminer les traces chimiques du sol. D’éliminer les
traces chimiques de l’atmosphère. Pour que l’on puisse prétendre face au
cancer, au moins disposer d’un corps sain. Et ainsi, même si l’on a un problème
astral, ne pas petit à petit fabriquer cette maladie.
Mais qui est capable d’un tel refus ?
Il est très difficile, d’abord pour un homme politique, parce
que cela veut dire, non seulement d’attaquer à tout un groupe d’industriels,
mais cela veut dire aussi d’appauvrir la société, car des hommes vivent de ces
industries, puisqu’ils sont des employés.
Et comment compenser cette perte d’emploi?
Où les mettre ?
Comment les nourrir ?
C’est un véritable casse-tête.
Ce pour cela que l’évolution, la progression, s’installe
au fur et à mesure. Et que l’on ne peut pas prendre des décisions nettes et
claires.
À part la décision que peut prendre un peuple.
Lorsque je suis un dirigeant, je ne peux pas trancher
d’une manière absolue. Par contre mon peuple peut trancher pour moi.
De quelle manière ?
Refusez d’acheter des boîtes de conserve. Refusez
d’acheter des aliments où il y a des colorants et des additifs. Et écrivez à
celui qui fabrique cela :
« Je n’achète plus ta saucisse, parce qu’il y a des
colorants. Quand c’était ma grande mère qui la faisait, je la mangeais et je n’avais
pas peur de grossir, mais la tienne je ne la veux plus. »
Et soyez comme cela des centaines, des milliers, des
millions. Et vous verrez que l’industriel sera obligé de changer. Et que cela
se transformera sans qu’il ait ces grandes catastrophes de chômage. Parce que
l’industriel va tout simplement chercher une autre zone pour ces activités, et donc
il va de nouveau créer des emplois.
Le pouvoir, la gérance de la vie d’un pays, d’un avenir,
c’est quelque chose qui se trouve à moitié entre les mains des hommes
politiques et à moitié entre les mains du peuple.
Il y a une
multitude des décisions que votre président, vos ministres, vos industriels,
vos hommes de la finance, vos banquiers ne peuvent pas prendre. Parce que cela crée
trop des déséquilibres et des destructions. Par contre si vous, vous changez.
Si de vous-même, sans cassure ni rupture, vous vous repolarisez ailleurs.
Alors, les hommes politiques peuvent vous suivre.
Les crises sociales qui se produiront dans l’avenir
Ce que craint le plus un homme politique, face à
l’avenir, face à l’histoire, face à son peuple, et face aussi à sa
responsabilité : c’est la destruction de la société. Et Dieu sait que la
société est facile à préserver et facile à détruire.
L’homme politique sait donc, car il a la vision exacte à
cause de son intuition, à cause de son talent politique, et aussi à cause de la
maîtrise qu’il a de cette activité. Il sait ce qu’il faut éviter pour préserver
l’état d’une société. Pour autant, l’homme politique ne pourra pas prendre des
décisions qui seront bonnes pour la santé du peuple, si cela risque de créer du
chômage. Tout simplement.
C’est aussi simple et bête que cela.
Car une masse qui se trouve sans emploi, est une masse
désespérée, une masse qui s’affole, une masse qui a des problèmes, une masse
qui est coupée de ces moyens de créativité. Et c’est une société qui se
désagrège au fur et à mesure. Non pas seulement à cause des risquer de révolte.
Mais parce qu’effectivement, par une sorte de perte de créativité, l’homme
s’abaisse de plus en plus à des choses inférieures. Et dans les livres d’histoire,
le politicien a bien su lire entre les lignes. Et il a bien vu que ce qui a
fait la décadence de telle et telle grande civilisation. Cela n’a pas été simplement l’état de guerre dans lequel
la nation vivait sans arrêt. Mais c’est aussi et surtout le manque de
créativité d’un peuple. Son manque de productivité.
Donc, l’étape actuelle que le monde occidental connaît,
puisque l’on parle énormément du chômage, est une étape délicate. Oh, je vous
assure, ce n’est pas un risque d’anéantissement social, ni de rupture. Pas du
tout. Cependant il faut savoir que, à la suite de cela, des enfants vont être
engendrés, qui vont disposer d’une vibration physique, astrale et
intellectuelle, beaucoup plus basse, car cet effet est immanquable. Ce qui veut
dire que cela va attirer des âmes encore plus jeunes, plus rustres, qui
apporteront davantage de problèmes.
Si l’on est suffisamment nombreux pour les encadrer, pour
les éduquer, pour les tenir. Cela peut être des problèmes limités. Mais comme l’on
va vers de moins en moins d’altruisme et de plus en plus d’égoïsme. Donc on
s’en occupera de moins en moins de la jeunesse, donc on s’approche d’un état de
crise qui est immanquable. Et les vingt-cinq prochaines années seront une sorte
de crise morale qui sera issue du social. Pas tellement de la philosophie ou de
l’ésotérisme ou du Nouvel Âge. Ce sera une crise morale, une identité qui va
demander à être redimensionnée.
Car le citoyen ne sait plus quoi penser à propos de sa
citoyenneté. Il y avait avant des choses qui étaient bien en place et qui
rassuraient : Dieu était dans son église, le président à son poste et le
citoyen dans sa maison. Le citoyen va travailler, le citoyen va prier et le
monde tourne en rond. Mais voilà que ce n’est plus le président qui semble faire
la pluie et le beau temps sur la société, parce qu’il est dépassé par des plus
grandes forces que lui, c’est-à-dire les forces industrielles, les forces
économiques, les forces financières, les cartels. Bref, les différentes mafias
qui existent.
Donc on ne sait plus à que titre l’on est citoyen et qu’est-ce que cela
veut dire ?
Et si après tout, il y a un président qui n’a plus de
véritables pouvoirs (et ceci est bon pour tous les présidents de la Terre).
Alors, est-ce que ce n’est pas moi en tant que citoyen qui devrait avoir le
pouvoir d’administrer ma cité, ma nation, ma planète ?
Et les vingt-cinq prochaines années vont être très
délicates pour cela. Et c’est à cause de cela qu’il aura des zones de révolte,
des révolutions, que je ne peux pas qualifier de sanglantes, parce que ce ne
sera pas le désir de ces gens-là, car ils ne seront pas animés par le désir de
s’entre-tuer, mais il aura quand même du sang versé. Tout simplement parce que
dans une foule qui bouge et qui est en colère. Il y a toujours des accidents,
toujours des personnes qui vont s’agresser plus vite que les autres et qui vont
se battre. Mais ce n’est pas la guerre civile. C’est un état de crise :
l’homme face à la notion du pouvoir (le pouvoir politique, le pouvoir
industriel, le pouvoir des mafias).
Et progressivement l’homme aura envie de se débarrasser
de tout cela, pour créer une sorte de pouvoir du peuple. Un peu comme on
l’imaginait dans le pouvoir communiste, bien qu’il ne voudra pas penser au
pouvoir communiste, ni le ranimer de ces cendres. Pas du tout. Mais on se
dira : tiens cela y ressemble un peu. Et au fur et à mesure que société
par société, nation par nation, cette crise aura été vécue, le véritable
président, avec sa fonction naturelle, pourra voir le jour. Car le peuple par
sa révolte, va permettre de démettre certains pouvoirs de leur emplacement,
certains pouvoirs industriels, certains pouvoirs parallèles, comme celui des
différentes mafias.
La mafia est très forte sur la terre, et ce n’est pas
simplement une mafia de petits bandits ou de gros bandits, C’est aussi une
mafia intellectuelle qui ne se corrompe pas forcément en utilisant le crime,
mais qui commet un crime moral qui lui est tout égale : cela s’exerce par
la corruption, cela s’exerce aussi par la spéculation abusive.
La mafia est dissimulée sous trente-six voiles, trente-six
visages, trente-six sortes d’actions. Et on ne peut rien faire contre cela, parce
que la personne ne se commet pas dans quelque chose qui soit considéré
actuellement comme un acte criminel, ou alors il faudrait inventer une loi qui
puisse déterminer à partir de quand un industriel ou un patron ou un
responsable financier, deviennent un criminel, lorsqu’ils prennent telle ou
telle décision.
Mais existe-t-il des lois pareilles ?
Non
Tout simplement parce que l’on veut conserver la liberté
du commerce, la liberté de création, la liberté de décision. Et tout cela est
bon en soi. On ne pourrait pas dès demain imaginer que l’on va diriger, décider
et contrôler absolument tout chez les industrielles, chez les patrons, chez les
créateurs. C’est impossible.
Cela, oui, ruinerait irrémédiablement une société.
Alors il faut attendre, attendre que les hommes évoluent,
que les hommes se réveillent. À fin qu’ils démettent certains pouvoirs, sans
les détruire, mais qu’ils échangent simplement la formule. Mais cela prend
beaucoup de temps et au milieu, certaines souffrances. Je le reconnais. Mais
les véritables créateurs sur la terre :
- ce sont les
hommes !
Ce sont eux qui ont un contact direct avec leur matière,
avec leur système. Ils en sont même les pions de leur système. Donc qui mieux
que l’homme, peut créer, transformer et régénérer ?
Pourquoi demander alors à l’ange qui lui ne peut pas
descendre plus loin que le plan éthérique ?
Qui n’a jamais travaillé, jamais pointé, et qui ne sait
pas ce que c’est d’ouvrir une boîte de sardines ?
(Rires)
Ce n’est pas son univers !
Lui, bien sûr, en tant qu’ange, il pourra inspirer une
idée plus élevée, un système plus élevé. C’est d’ailleurs ce qu’il va vous
proposer à chaque fois, mais quant à l’action, au pouvoir d’action, cela dépend
encore de l’homme. De l’homme et de sa maturité, de l’homme et de son courage.
De l’homme et de l’amour dont il est capable pour les siens : soit simplement
pour sa famille, soit pour l’humanité et sa planète.
Le pouvoir d’un peuple est magnifique. Je ne voudrais pas
d’un peuple qui d’un seul coup se soulève, cri dans les rues, renverse tout,
renverse les hommes politiques et renverse les industries.
Non
Ce ne serait pas la solution. Par contre je voudrais encourager à un peuple
qui sait dire silencieusement, mais obstinément : NON
« Tu me proposes là une boîte de conserve où il y a
plus de produits chimiques que des légumes à manger : je dis non et je te
le dis.
Je t’écris, toi l’industrielle, toi le fabriquant :
mange ta boîte de cancer. »
(Rires)
Et au fur et à mesure que vous prendriez ainsi position
et que vous manifesteriez votre position. Eh bien, les autres changeraient d’attitude.
« Bon, cela ne leur plaît plus mes petits pois au cyanure.
Alors, je vais leur faire des petits pois qui soient vraiment des petits
pois. »
Vous n’aurez violenté personne, vous n’aurez cassé aucun réverbère
dans les rues, et voilà qu’un beau jour vous mangez quelque chose de sain et
dans un parfait état d’harmonie.
Bien sûr dans ces sortes de transformations, on ne peut
pas forcément éviter la casse, car il y aura toujours certains individus plus
en colère, plus obstinés, qui vont vouloir se manifester haut et fort, et aller
casser tout ce qui aura dans les rues. Et aller même s’en prendre aux hommes
politiques. S’est ce qui se passera.
Car de plus en plus les hommes politiques, voyant qu’ils
perdent, non pas de leur autorité, mais des moyens de communication avec le
peuple. Voyant qu’ils ne peuvent plus convaincre les individus, ils vont
essayer d’aller de plus en plus à votre rencontre. On connaît aujourd’hui les congrès,
les meetings, mais cela va devenir quelque chose d’encore plus intime : des
passages dans les rues, des passages dans les foyers, des passages dans les entreprises.
Et de plus en plus les hommes politiques vont se faire agresser, et il ne sera
pas rare qu’un employé aille attraper un politicien ou un financier qui passe
par là et il le rosse des coups.
Donc au fur et à mesure qu’un état de crise va s’installer,
un état de crise qui va faire que ceux qui restaient encore endormis, vont
commencer à éveiller leur colère. Or la masse des gens en colère qui descendra
dans la rue est une chose délicate à manipuler.
Si vous, vous sentez cette colère monter, vivez-la comme vous
avez envie de la vivre. Je ne vais ni vous diriger ni vous juger. Mais si vous
ne sentez pas cette colère, alors ne vous joignez pas aux autres. Mais ne dédaignez
pas l’action pour autant !
Ne restez pas dans votre calme. Manifestez-vous à votre
manière. Démontrez que vous êtes peut-être la majorité silencieuse, mais aussi la
majorité obstinée, qui ne plie pas. Et qui comme un étendard fait face au vent,
sans importer quelle que soit la puissance que peuvent souffler les hommes
politiques, les industries et les financiers.
Mais pour arriver à cela il faut avoir confiance en soi. Il
faut être adulte. Il ne faut plus penser :
« Mais ils auraient dû faire ceci, ils auraient dû faire cela, ils devraient
faire ceci, ils devraient me donner cela. »
Il faut une bonne fois pour toutes se rendre compte que
lorsque l’on est sur terre, il a forcément des hommes égoïstes qui aboutissent même
à être mauvais, il y a aussi beaucoup des hommes léthargiques et paresseux, et
des hommes qui doivent essayer par souci d’harmonie, de faire progresser le
tout.
Lorsque vous admettez, non pas que le mal cosmique existe,
mais que l’homme mauvais existe. Alors, vous vous sentez au même temps beaucoup
plus fort pour prendre des décisions.
Car tant que vous imaginez que la mal cosmique existe,
vous ne voyez pas la tromperie dans les hommes. Vous arrivez tout naïvement
face à l’autre et vous l’accueillez. Vous ne regardez que la belle couleur de
ses yeux bleus, que la belle couleur de ses souliers vernis. Vous lui faites confiance,
vous lui admettez tout et d’un seul coup vous êtes trahis, parce qu’en fait,
cet homme qui est en face de vous est un égoïste qui va vous nuire pour tout
vous prendre.
Tandis que si vous ne pensez plus au « mal
cosmique » donc Dieu devrait prendre soin de moi. Mais au contraire vous comprenez
que l’homme est mauvais, parce qu’il le devient au fur et à mesure de ses choix,
au fur et à mesure de ses échecs, mais aussi au fur et à mesure de ses
malheurs. Alors à ce moment-là, non seulement vous n’appelez plus Dieu à votre
secours, mais vous êtes dans un état plus éveillé pour faire face à l’autre.
Car c’est l’homme qui échoue, c’est l’homme qui aboutit à
être mauvais et méchant. C’est donc une histoire qui se passe d’homme à homme, et
non pas une histoire d’homme à Dieu.
Et l’homme se dit :
« Tiens Dieu, pourquoi tu ne m’as pas protégé de ce
bandit qui est venu dévaliser ma maison, qui m’a tout pris et qui a même pris
les jouets des enfants ?
Pourquoi est-ce qu’il s’est attaqué aux enfants ?
Est-ce que tu ne peux même pas protéger les enfants ! »
Non, ce n’est pas ainsi qu’il faut penser, car ce n’est pas le problème de
Dieu, ou de la force divine, ou des hiérarchies divines, ou des maîtres.
Le mal est un problème d’homme à homme.
Par contre ce que font les hiérarchies, ce que fait l’énergie
divine, c’est de vous proposer sans arrêt, que ce soit sous forme des
vibrations ou sous forme d’enseignement : tous les moyens possibles pour
devenir un être humain alerte, éveillé et conscient !
Et à ce moment-là, vous pouvez identifier le mal et le rompre.
Et beaucoup plus sûrement que si vous faites appel à la protection divine.
Et y compris dans les pollutions psychiques, pour éviter
la migration de ces entités astrales, comme celles qui engendrent le cancer et
le sida.
Lorsque l’on connaît la perméabilité des différents plans
et l’influence néfaste de ces entités. De la même manière qu’un magicien noir
sait faire de la magie noire en appelant des énergies basses. Eh bien, sachez
faire de la magie blanche et protégez-vous pour que ces oiseaux de malheur
aillent ailleurs et ne restent pas comme cela à vous dévorer.
Alors voilà ce qu’il vous faut faire chaque matin ou
chaque fois que vous vous sentez attaqué par une remarque. Chaque fois donc
qu’une certaine confiance en vous, une certaine intégrité va être attaquée, à
cause d’un événement, d’une circonstance, ou simplement d’un mauvais mot. Et cela
ne veut pas dire que chaque mot, chaque parole, aura comme l’effet d’un sort jeté
sur vous. Non. Par contre, c’est votre capacité de rayonnement qui est diminué
par l’effet d’une parole ou la force d’un événement. Donc, que ce soit dès le
matin, mais aussi que ce soit dès que vous êtes accablé et diminué.
Faites ce cercle magique !
Et vous verrez que vous allez vous renforcer. Vous verrez que vous allez
disposer de plus d’intelligence, de plus d’à-propos, de plus de persévérance.
Parce qu’il y a des entités amenant toutes ces grandes
maladies, mais il y aussi toute une faune d’autres entités qui elles ne sont
pas suffisamment puissantes pour créer des maladies, mais qui créent des
parasitages qui sont très difficiles à vivre : qui vous fatiguent, qui vous
diminuent le rythme cardiaque, ou vous pressent la respiration. Qui vous font
croire à des vertiges, qui vous font croire à des cauchemars, qui vous font
croire à la dépression, qui vous font croire que la vie de famille n’est pas
bonne. Parce que vous êtes enfoncé dans ce brouillard, ce brouillard, ce
brouillard…
Énormément d’individus ne sont pas totalement eux-mêmes,
non pas parce qu’ils soient possédés, car je ne parle pas de possession. Mais
tout simplement parce que tous les règnes s’interpénètrent. Donc, inévitablement
une créature a une influence sur une autre. Et généralement plutôt de manière négative
qu’autre chose.
Ainsi par exemple, votre mère a eu une influence sur
vous, par les mots et l’éducation qu’elle vous a donnée. Eh bien, de la même
manière, une entité astrale a une influence sur vous, par sa vibration ou par sa
trop proche proximité.
Comment est-ce que l’on attire ce genre d’entités ?
Surtout parce que l’on manque de rayonnement. Et l’on manque
de rayonnement surtout parce que physiquement on est atteint, car on ne dispose
pas d’une assez bonne santé, ou parce que l’on est diminué par une vie que l’on
mène trop désorganisée : manque de sommeil, abus de tabac, abus d’alcool,
abus de graisses, etc.
Avec, ajoutez à cela, les problèmes d’évolution
typiques : problèmes émotionnels et problèmes de maîtrise de la pensée.
Donc, immanquablement, je vais devenir comme une sorte de
poire et de pomme, offerte littéralement à ces entités qui se demandent quel
homme elles vont pouvoir croquer comme sandwiche pour leur quatre-heures ?
(Rires)
Cela n’est pas plus compliqué que cette histoire-là. Cela se passe ainsi. Il
ne s’agit donc pas d’entités diaboliques comme certains pensent.
Non
Tiens-je vais essayer de vous amuser un peu, puisque vous avez cette
recette sur la terre : pour ces entités vous êtes des croque-messieurs
tout simplement
Ces entités se disent :
« C’est mon quatre-heures. Voyons qui je vais pouvoir croquer aujourd’hui ? »
(Rires)
D’ailleurs l’endroit favori pour ces entités c’est, non
pas les compagnes comme on pourrait y croire, mais les grands ateliers, les
grandes entreprises et les grandes firmes.
Pourquoi ?
Parce que là, il y a une multitude de secrétaires et
d’employés qui n’ont pas du tout envie d’aller au travail. Qui sont dépressifs,
parce qu’ils ont à travailler huit heures par jour, parce qu’ils doivent faire
quelque chose qui n’a aucun sens, qui leur déplaît et qui leur ronge. Et en
plus dans une atmosphère de compétition et d’agressivité qu’ils ne supportent
pas.
Alors là il y a du bifteck à mordre !
(Rires)
Imaginez tout un établissement où la moitié des secrétaires
sont rongées par ce phénomène. Ajoutez à cela, parmi les cadres supérieurs, des
hommes qui sont rongés par leurs ambitions. Qui mijotent même des petits plans
pour nuire à un tel collègue, à fin de s’assurer pour soi le prochain poste,
qui est une élévation.
Et voilà un endroit rêvé pour se régaler !
Alors que dans les campagnes, il n’y a plus personne, plus aucun paysan à se
mettre sous la dent.
Pourquoi ?
Parce que malgré tous ses problèmes, malgré toutes ses difficultés.
Un paysan a un bon sens naturel, un équilibre. Il sait endurer les situations,
parce qu’il aime la nature, même si parfois elle est dure à cultiver. Même si
elle ne produit pas toujours le fruit attendu. Même s’il ne peut pas par
moments vendre son fruit. Le paysan aime la nature et il ne lui en veut pas.
Malgré tout cela, au contraire il est prêt à tous les combats, il est prêt à toutes
les épreuves, à tous les sacrifices, parce qu’avant tout la nature et lui, sa
moisson et lui, c’est une histoire d’amour.
Tandis qu’une secrétaire ou un employé face à son patron,
ce n’est pas toujours une histoire d’amour…
(Rires)
Alors le bon sens ne peut pas régner et les gens génèrent
même de plus en plus de corruption pour pouvoir arriver plus vite à ceci et
plus vite à cela.
Alors, pour éviter toutes ces choses. Pensez à la protection.
Comment vous allez la faire ?
Eh bien, dès demain, quand vous vous levez, mettez-vous
au bord de votre lit, juste quelques minutes. Et imaginez un grand cercle de lumière,
comme tracé au lasser. Ça vous pouvez le visualiser facilement, car vous avez suffisamment
d’images dans vos cinémas pour pouvoir voir cette lumière lasser.
Vous tracez ce cercle, en spirale, de façon à y être entièrement
posé à l’intérieur. Et confiez à ce cercle, par votre pensée le pouvoir de
protection. Pas d’isolation, mais le pouvoir de protection, d’élévation et de
purification de toute énergie, de toute entité, qui voudrait vous approcher.
Ainsi vous n’êtes pas coupé des autres. Coupé de l’environnement
que permettent les vibrations de la nature. Vous êtes simplement en train de
faire écran aux entités et aux vibrations qui ne seraient pas assez élevées. Et
chaque fois que vous sentez une petite baisse dans vos énergies. Faites cette spirale.
Même si c’est dix fois par jour, peu importe. Et au fur et à mesure que vous
allez vous y entrainer, vous allez pouvoir construire cette spirale n’importe où.
Même en discutant avec quelqu’un. Même en étant au travail. Même en étant au
volant de votre voiture en train de conduire. Cela va venir d’une manière très
facile.
Et au même temps, ce qui est intéressant dans cet
exercice, c’est que vous vous entrainez à créer mentalement. C’est pour autant un
exercice qui est important non seulement pour vous, mais aussi pour la race
future. Et ainsi, petit à petit, même si vous n’en bénéficierez pas tout de
suite, vous construisez une fonction qui sera alors naturelle, pour les futures
générations, car le pouvoir de construction (grâce à l’application mesurée et
dirigée de la pensée) est quelque chose qui devra occuper l’esprit et l’intérêt
des futures générations.
La visualisation créative
Le pouvoir de construction grâce à l’application mesurée
et dirigée de la pensée, est quelque chose qui devra occuper l’esprit et
l’intérêt des futures générations. Et en vous disant cela, je ne me réfère pas
de créer parce que je désire ceci ou je veux cela.
Je parle d’une création qui, en s’inspirant d’une force
intérieure, et en étant dans un parfait équilibre émotionnel, va savoir
administrer la vie de la planète, la nature, la relation avec les autres, et la
relation avec la hiérarchie divinité, grâce à la création mentale.
Je ne parle pas donc d’un homme qui désire dès demain une
voiture et qu’il va l’obtenir parce qu’il va mentalement créer la situation qui
lui amènera cette voiture à sa vie.
Non
Je parle d’un point d’équilibre plus profond, par lequel
l’homme va non pas penser : je veux une telle voiture, parce qu’elle est
très sportive et elle me permettra de me sentir beau, grand et fort. Mais au
contraire, il va penser : puisque j’ai besoin d’une voiture pour me
déplacer, il faudrait que je mette en résonance certaines lois qui m’emmèneront
à l’événement capable de m’octroyer cette voiture. Soit parce que je vais
rencontrer mon employeur et je vais dire la phrase juste, ou je vais avoir une
initiative qui va me faire monter d’un cran dans la société, ce qui va
m’apporter une augmentation de salaire et que je pourrais donc m’endetter pour
acheter cette voiture. Ou bien je gagne à une loterie, ou bien je rends un service
de bon cœur à quelqu’un, sans penser à un quelconque intérêt, or il résulte que
la personne est riche et elle me gratifie d’un véhicule.
Peu importe les allures que cela prendra. Mais qu’il soit
spécifié que cette création mentale, ne vise pas le confort personnel, que s’il
est partagé par toute une société, car il est très difficile à un seul homme,
par la simple pensée, de se construire une richesse personnelle. Si cette
richesse n’a pas un but social, c’est-à-dire un but de partage.
Ce qui ne veut pas dire que si je veux être riche et
employer pour cela ma force et mon pouvoir créateur de la pensée, je vais
devoir imaginer repartir toute ma richesse avec l’humanité. Mais du fait que je
deviens par exemple riche, je peux m’assurer d’une certaine sécurité, qui fait que
je peux alors travailler pour divers groupes sociaux, pour divers groupes
humanistes. Et ainsi ma fortune reste à moi. Elle n’a pas été distribuée aux
autres, mais c’est un élément moteur pour que je puisse appliquer mon
intelligence, mon énergie et si je le veux, une partie de mon argent, à une
œuvre qui fait progresser l’humanité.
Et chaque fois que l’on travaille dans ce sens-là, on a
d’autant plus de chances de réussir.
Et cela fonctionne de la même manière si je suis un
guérisseur, si je suis un canal, si je suis une voyante, ou si je suis un
méditant, mais que je veux vivre ma méditation comme un moment de canalisation
d’énergie pour donner l’énergie au monde.
Je peux penser que je vais devoir progresser par mes
propres efforts, et c’est vrai. Car il y a une multitude d’acquis que je ne
pourrais obtenir que par mes propres dépassements, que par ma propre maturité, que
par mes propres positionnements acquis. Mais à partir du moment où j’ai
démontré la régularité dans mon travail, la fidélité de ma nature profondément
positive, bonne et progressiste. À ce moment-là, je peux demander que par
exemple mon pouvoir guérisseur soit agrandit, que ce soit par un deva, que ce
soit par une hiérarchie ou que ce soit par le bon vouloir de Dieu.
Et de la même manière :
- Je peux demander
que mon pouvoir de méditation soit agrandi.
- Je peux demander
que mon pouvoir de voyant (ou de voyante) soit agrandi.
Et cela m’est accordé !
Bien sûr, à la base, il est certain, il faut que j’aille
un comportement logique et adéquat. Je ne vais pas pour autant pouvoir demander
que mon pouvoir de guérison soit agrandi. Et puis, ne pas arriver d’une manière
propre comme un guérisseur, en aimant par exemple mes patients, ou en ouvrant
mon cœur, en irradiant sur eux, mais en sachant être ferme comme même, en prenant
le temps d’écouter ses propos, etc.
Je ne peux pas penser que d’un seul coup, tiens, puisque
j’ai eu la bonne intention, l’énergie va venir et me faire grandir. Non. Cela
ne se passe pas comme cela. Mais c’est une fusion et une complémentarité
incessante : Dieu envoie, la divinité envoie, mais dans la mesure où
l’humain reçoit purement et dignement.
Et ceci non pas parce que la spiritualité est toujours
l’endroit où l’on est pur, où l’on est digne, comme s’il s’agissait d’être plus
blanc que blanc, en se comportant d’une manière religieuse.
Non
Qu’est-ce que l’on doit penser donc, lorsque l’on pense au mot « pureté » ?
Qu’est-ce que l’on peut mettre dans ce concept ?
Eh bien, l’on s’aperçoit que lorsque les gens pensent sur
le mot pureté, ils ne pensent pas vraiment à la pureté : ils ont peur du sale, ils
ont peur du corrompu, ils ont peur de l’enfer et de ce qui est infernal.
En fait, ils ne pensent pas à la pureté du tout !
Ils pensent à tout son contraire !
Et en ayant bien peur de son contraire, alors ils
s’imaginent que cette crainte équivaut à aspirer à la pureté et à la connaître.
Mais non
L’homme est sans arrêt piégé par ce comportement
contradictoire. Ainsi par exemple : il n’aspire pas à l’éternité, mais il
a peur de la mort.
Ce qui n’est pas la même chose !
Je peux régler ton problème tout de suite, vois-tu. Et tu
ne seras pas pour autant éternel. Je peux te donner les moyens de ne pas
mourir.
Mais oui. C’est une chose très simple !
Et qu’est-ce que tu en feras ?
Puisque ce n’est pas l’éternité spirituelle dont-il est
question à ce moment-là. Mais d’une perpétuité astrale.
Tu peux, oui, par certains exercices te coincer littéralement
dans le plan astral, sans ne plus jamais avoir, ni à te réincarner physiquement
ni donc à mourir dans ce plan-là. Mais tu deviens alors comme ces autres entités
qui se sont coincées dans l’astral. Tu deviens dépendant après des énergies
qu’il faut vampiriser à droit et à gauche.
Cela existe. Des humains qui ont fait l’effort de se maintenir
sur ce plan-là. Et ils y sont
encore ! Et ils y mènent leur vie,
et ils essayent de vous corrompre dans toutes sortes de gestes, de pensées et
de réactions.
Leur perpétuité est garantie tant que le plan astral
existe. Par contre, sitôt que la planète commencerait par sa progression spirituelle
à s’éthériser, ses entités-là sont de toute façon amenées à mourir. Mais elles
ne le savent pas, parce que lorsqu’un individu fait ce qu’il faut pour se loger
et se coincer dans le plan astral, c’est parce qu’il n’a pas pris suffisamment
le temps pour s’instruire et pour savoir que l’astral, c’est aussi un endroit
de mort.
Et ces entités appartiennent à un continent maintenant disparu,
à une époque où les étapes vers la sagesse, étaient encore plus mesurées que
maintenant.
Aujourd’hui, l’ésotérisme (pour ses grandes bases, mais
aussi pas mal de ses détails) est offert à tout le monde. Et c’est une bonne
chose, bien que cela puisse être aussi un petit peu dérangeant. Mais cela
permet d’éviter certaines erreurs fondamentales. Par contre du temps de l’Atlantide,
l’ésotérisme n’était pas conçu comme de cette manière-là, comme il est maintenant.
Et à l’époque de l’Atlantide, l’initiation à la pensée était un phénomène
progressif. Donc, on ne décrivait pas les grandes lois cosmiques, qu’au fur et
à mesure, et qu’aux individus qui arrivaient à passer ces classes-là. Alors
qu’aujourd’hui, même un homme qui n’est pas prêt, peut trouver dans la bibliothèque
du coin un livre d’ésotérisme pour le lire. Et même s’il peut ne pas le comprendre
et par conséquent le refuser, il peut quand même rencontrer cet enseignement
qui avant était maintenu très occulte.
Donc, à cette époque-là, ignorant de cet inconvénient, une
multitude de magiciens se sont volontairement logés sur le plan astral et ils y
demeurent encore. Ils sont d’ailleurs très intéressés à tourner autour des
humains qui ressemblent plus à des momies qu’à des humains, parce que leur état
d’éveil, leur état de conscience, n’est pas encore suffisamment développé.
Et c’est pour cela que l’on parle du retour des Atlantes.
Bien sûr, à chaque époque de l’histoire, il y a eu une multitude
d’individus qui ont eu des incarnations et des expériences au moment de l’Atlantide
et qui se retrouvent à nouveau sur terre, mais qui se sont retrouvés aussi
avant et qui se retrouveront aussi après. Mais le grand retour des Atlantes, ça
c’est une autre chose.
Cela se réfère au retour particulier de ces entités-là,
de ces anciens Atlantes s’étant logés sur le plan astral, et aux humains qui
ont eu une série d’incarnations très précises et importantes avec des choix décisifs,
au moment de l’apothéose de la civilisation atlante.
Puis pour des raisons que je ne vais pas expliquer
aujourd’hui, car cela prendrait trop de temps, une certaine page a été tournée
pour n’étudier que certains axes précis. Voilà donc que se suivent un certain
nombre d’incarnations qui ne sont pas directement reliées au phénomène de l’Atlantide.
Mais aujourd’hui, grâce à la technologie, grâce à l’environnement culturel, et grâce
à la civilisation telle qu’elle est, les problèmes atlantes peuvent être à
nouveau plus directement débattus. Donc, c’est un karma dont les âmes concernées
peuvent plus spécialement se charger maintenant et ne le pouvaient pas à des époques
plus reculées.
Donc, voilà que des individus arrivent avec dans leurs
bagages, un problème atlante à résoudre (bon ou mauvais). Pas toujours mauvais
d’ailleurs. Même quelquefois c’est un prolongement des qualités découvertes durant
l’incarnation en Atlantide et qu’il faut aujourd’hui prolonger, grâce à des
maturités éveillées entre-temps, par d’autres incarnations.
Mais voilà que, puisque c’est le moment où l’on fait
comme un retour dans les annales atlantéenes, pour soit en purifier le mauvais,
soit développer encore plus le bon qu’il avait. Voilà que tous ces mages dont
je parle qui se sont logés sur ce plan astral, en profitent aussi pour trouver
des moyens d’ancrage, puisque la vibration est réveillée et se trouve de
nouveau être la même dans l’humanité.
C’est pour cela donc, et j’y reviens, qu’il ne vous faut
non pas avoir peur du monde psychique, non pas avoir peur des entités astrales,
non pas avoir peur de tous ces parasitages, mais il vous faut tout simplement
savoir que cela existe. Mais aussi savoir qu’il existe des moyens pour se protéger.
Pour donner une analogie. De la même manière vous vivez parmi les autres hommes
et vous savez qu’il y a dans le peuple : des criminels, des assassins, des
violeurs, des voleurs, mais aussi d’autres personnes très braves et très gentilles.
Vous le savez.
Votre réaction c’est donc, d’abord dans le regard, de deviner
qui est le bandit et qui est le bienfaiteur. Psychiquement, on ne peut pas reconnaître
puisque vous ne voyez plus dans le subtil. Alors, on va se protéger par cette
spirale dont j’ai parlé. Et au fur et à mesure, la création mentale va devenir
comme une fleur ajoutée à votre vie. Mais c’est là que vous vous apercevrez que
vous ne pouvez pas créer n’importe quoi.
Vous allez au début vous amuser à essayer d’attirer ceci
ou d’attirer cela. Pour changer votre vie, pour changer votre allure, pour
changer votre environnement humain, etc. Et souvent vous allez rencontrer des échecs,
les uns derrière les autres.
Pourquoi ?
Parce que le pouvoir de création de la pensée a ses
racines avant tout dans l’âme, et je ne veux pas sans arrêt tout spiritualiser,
mais pourtant il le faut dans une certaine mesure.
Le pouvoir de la création de la pensée demeure dans le
fait que l’âme accepte de participer à cette création. Et si elle trouve
l’usage que vous voulez faire inadéquat, alors on ne peut pas avoir recours à l’énergie
de l’âme. On devra alors avoir recours au désir et à la volonté personnelle. Il
va falloir alors persécuter le cosmos, persécuter la matrice astrale, par un
bombardement de volonté et de désir. Et effectivement cela va aussi créer
quelque chose, mais après vous serez face à ce que vous avez créée et ne venez
pas me demander de vous aider. Il n’en est pas question !
Et c’est comme cela d’ailleurs que l’on aboutit à des
vies catastrophiques, car on est face à ses monstres que l’on a fabriqués. Par exemple,
et il y a quelque chose d’assez amusant, mais de tragique au même temps. Pendant
une vie particulière, voici un garçon, un homme, qui veut absolument épouser
une très belle femme. Et il peint dans sa tête le portrait de la femme idéale
qu’il souhaite : les jambes, les formes, le visage, les cheveux, les yeux.
Tous ses détails !
Il est comme obsédé par cette beauté, obsédé par cette quête.
Et en plus, puisqu’il est obsédé par cette quête, il va avoir un certain air dédaigneux
vis-à-vis des femmes qu’il rencontre mais qu’au bout d’un certain moment ne le
comblent plus. Qu’il va donc critiquer, qu’il va rabaisser, qu’il va peut-être même
détruire moralement en leur disant :
« Mais tu n’es pas belle. Tu n’es pas intelligente. Ton nez a grossi,
tes jambes se sont enflées. Tes poils sont plus noirs »
Et ainsi, il lie directement un karma personnel vis-à-vis
d’un certain nombre de femmes qu’il a maltraité, avec sa création qu’est
la quête de la femme idéale qu’il désire.
Et tout cela l’occupe toute sa vie. Et on croit que c’est
une vie tout à fait normale, et c’est vrai, car elle est typique d’un Terrien. Cependant
voilà qu’un beau jour, tout cela lui revient face.
D’une part les femmes qu’il aura abaissées, presque détruites,
le karma va leur permettre à ces femmes de retrouver, soit leur vengeance, soit
un équivalent de positif pour être soignées. Et surtout cette femme idéale, qui
d’un seul coup, puisqu’il l’a tant créé, il a tant pensé à elle, il l’a tant
voulu, va finalement arriver physiquement dans sa vie. Mais puisqu’il a été
odieux avec les autres femmes (soit dans celle-ci ou soit dans d’autres incarnations)
et puisque c’est sa création imaginaire qui l’empêchait d’être amour avec ces
femmes bien physiques et amoureuses. Alors il n’aura pas le droit de vivre le
grand amour avec cette femme qui enfin est devenue présente dans sa vie et qui
est très belle et qui correspond à sa folie. Ce sera comme un mirage, ce sera par
exemple la femme de son meilleur ami, qui ne pourra jamais toucher, qui
l’aimera secrètement et qui le fera souffrir toute sa vie. Tandis qu’il sera
effectivement remarié à la femme, à l’amie, ou à la maîtresse qu’il a eue autrefois,
et qu’il a rabaissée par ses airs dédaigneux et ces mauvaises réflexions.
C’est ainsi que donc qu’une vie est absolument la matrice
d’une autre. Et il y a comme cela des vies où je crée complètement les conséquences
d’une série de plusieurs vies. Et à l’intérieur de ces vies-là, qui ont été très
fortement prédéterminées par une vie antérieure, je ne peux plus rien faire,
car je n’ai quasiment plus de liberté, parce que je suis face à mes créations,
face à mes monstres, face à mes désirs, à mes aspirations, lesquelles sont
devenues complètement concrètes. Et là je ne peux plus rien faire pour les éviter,
je dois assumer.
Mais non pas assumer comme si je devais supporter leur
passage, comme un rouleau compresseur qui me passerait dessus. Je dois les
supporter tant que cette illusion se perpétue en même temps en moi.
Donc faites attention, au fur et à mesure que vous
pensez, au fur et à mesure que vous vous obsédez pour quelque chose. Faites
attention que ce ne soit jamais au détriment de quelqu’un d’autre, car votre création
existera un beau jour, soit dans cette vie-ci, soit dans une future vie. Mais
si c’est fait au détriment de quelqu’un, vous n’en pourrez jamais en jouir. Ce
sera toujours une quête impossible. Par contre, les choses, les aspirations,
les désirs, les volontés qui ont été bien conçues, bien contenues, sans jamais
nuire à qui que ce soit, elles finissent toujours pour aboutir. Et je prends
pour exemple le phénomène des mannequins. Ces très belles femmes qui font les premières
pages de vos revues. Les voilà très jeunes, les voilà très belles, les voilà même
inconscientes de ce qu’elles peuvent faire avec leur beauté. Elles n’ont pas d’ailleurs
forcément voulu être mannequins et avoir la gloire. Quelquefois elles sont comme
remarquées et puis le destin les emporte. Tout leur apparaît donc facile :
elles sont belles, jeunes, on les remarques, on les emporte, elles n’ont pas à
lutter.
Comment cela se fait ?
Eh bien, la quête de la beauté pour certaines personnes est
une quête primordiale. Certaines personnes (hommes ou femmes d’ailleurs) pendant
très longtemps, par exemple pendant une, deux ou trois incarnations, aspirent à
une grande beauté physique. Ils aiment la beauté physique. Sans pour autant
reprocher l’existence de la laideur. Sans pour autant se moquer d’une amie
laide ou d’un ami laid. C’est au contraire avec tout autant d’amour que s’ils
étaient beaux et belles, que ces personnes sont reçues. Et comme cet individu
s’imprègne de cette aspiration, il veut être beau et il fait tout pour
s’embellir. Et il aboutit forcément à créer un jour ce moule qui fait qu’il
devient un mannequin magnifique (homme ou femme).
De la même manière on peut comme cela, pré-créer et se prédestiner
spirituellement. Prenez un frère dans un monastère ou une bonne-sœur dans un
couvent. À cette incarnation-là précise, le frère et la sœur font ce qu’ils
peuvent pour être fidèles à Dieu. Mais ils aspirent à un idéal spirituel et ils
ont une image de ce qui pourrait être cet idéal spirituel : en tant que
pureté, en tant que liberté, en tant que sainteté.
Et ils construisent cette image très fortement, parce
qu’ils l’entretiennent chaque jour, et parce qu’en plus ils la confient à Dieu.
Et ainsi ils aboutissent donc un jour à se réincarner en tant que frère ou en
tant que none, avec des facilités incroyables, avec une beauté intérieure accessible
à tous les autres, qui se voit, et avec une aisance dans le sacrifice à faire
pour développer toujours plus de sainteté.
Et on se demande, mais d’où leur vient cette aisance ?
On pense à une grande évolution. Et puis, si l’on est un
bon clairvoyant, on s’aperçoit que non, qu’il n’y a pas eu finalement autant
d’incarnations que cela pour développer un tel discernement, qui lui seul est
capable d’inspirer de tels choix et de tels sacrifices.
Alors, c’est quoi ?
Eh bien, c’est une création antérieure : j’ai aspiré
à être ce sain personnage, j’ai eu un comportement logique à cette aspiration,
et j’aboutis un jour à ce que l’univers m’offre les facilités pour le devenir.
C’est un peu comme cette phrase de Jésus (qu’il
recommandait de ne pas oublier d’ailleurs) :
« FRAPPE ET L’ON T’OUVRIRA »
Qu’est-ce que cela veut dire, humm ?
« FRAPPE ET L’ON T’OUVRIRA »
Comment comprendre cela ?
L’homme ordinaire s’imagine que c’est par l’usage de la télépathie
ou par l’usage de la prière répété que finalement on se fera entendre, comme
autant de coups à l’oreille du Seigneur, et qu’enfin il répondra.
Taper, qu’est-ce que cela veut dire ?
Si ce n’est pas répéter, parler, discuter, se faire
entendre, hurler…
Alors, qu’est-ce que cela veut dire ?
Quel symbole magique, ésotérique, cabalistique, se trouve là-dedans ?
Pour comprendre cette phrase, il faut s’intéresser au
rituel, et savoir qu’au moment où le grand maître (de quelque ordre qu’il soit)
tape rituellement les coups, soit sur sa pierre, soit directement sur son
bureau derrière lequel il se tient. Les coups signifient :
- « que la création a lieu. »
C’est un peu comme si par les coups physiques, le grand prêtre
ou le grand maître, ordonnait à la matière de s’aligner d’après le plan prévu,
par les coups administrés subtilement. Et si à ce moment, l’on regarde uniquement
la danse des atomes qui s’effectue, on s’aperçoit que d’un seul coup les atomes
vont être comme magnétisés et copiés absolument dans la forme, la pensée qu’entretenait
dans son esprit le régent de la planète (qui est symbolisé dans les rituels par
le grand maître tout simplement).
Donc, ces fameux coups de marteau, existent non seulement
physiquement et ils opèrent, car c’est à ce moment-là que les énergies sont scellées
et qu’elles viennent pour opérer le rituel. Mais c’est aussi par ces mêmes
coups que dans un degré mayeur, un monde est créé. Bien sûr à ce moment-là ce
ne sont plus des coups sonores. Ce sont comme des décharges d’électricité.
C’est un mur du son qui est franchi par l’énergie et qui déclenche une
vibration que certaines créatures peuvent percevoir comme un tonnerre.
Je vous explique comme cela marche :
Une vibration descend, qui peut être la pensée d’un régent
planétaire, ou la pensée d’un régent solaire, ou la pensée divine, peu importe.
La pensée est émise. Cette pensée est avant tout une énergie, et cette énergie
va franchir les différents plans de la conscience du monde, or le monde est aussi
le corps du régent, donc les différents plans de la conscience du régent et du
monde au même temps.
Et au fur et à mesure que cela approche la destination
physique, des « murs du son » sont franchis. Je veux dire par là que
chaque substance de chaque plan propose une sorte de résistance. Ainsi par
exemple, comme l’eau est une sorte de résistance lorsque j’envoie un objet
depuis un pont qui est très haut, ou lorsque je plonge moi-même depuis un
tremplin qui est très haut. Je m’aperçois alors que l’eau peut ressembler à un
mur. Donc, la substance des différents plans fonctionne de la même manière, et
il y a à chaque fois une conflagration.
Cette conflagration elle est très utile, car cela démultiplie
le nombre d’atomes. D’un seul coup, il y a une gerbe d’atomes qui sont multipliés
par des millions, des millions, des milliards et des milliards !
Et ils imprègnent toute la substance du plan en question.
Où là, de nouveau la pensée semence va servir de point d’aimantation à ces
atomes qui vont continuer leur descente, rencontrer une autre substance, de
nouveau conflagration, démultiplication, et la pensée semence qui réorganise
tout cela. Et ainsi se répète le processus.
Et chaque fois on aboutit à ces sept coups de
marteau : « les sept big-bangs » ou « les sept murs du
son ». Qui en fait sont les sept démultiplications majeures, car il ne
faut pas oublier que lorsque l’on fait appel à cette énumération, il s’agit non
pas des plans existants comme tels, mais il s’agit d’énumérations majeures, d’énumérations
générales.
À l’intérieur de ces sept grands plans, il y a des sous-plans
qui font que l’on peut aussi bien parler de dix et de douce, ou même d’encore
plus. Mais restons-en à des choses plus simples que l’on peut observer même
dans la nature.
Prenez la fleur, observez sa composition, et vous verrez
qu’elle est le reflet absolu de ces sept murs du son, ou de ces sept big-bangs,
de ces sept démultiplications. La structure même de sa racine le démontre. La façon
dont les différentes ramifications des racines explosent pour pouvoir
s’enfoncer un peu plus loin, s’accrocher un peu plus loin, démontrent ce phénomène.
De la même manière, si l’on fait une coupe transversale
de la tige, on verra alors que le nombre de couches, ainsi que le type de
circulation de la sève, rappellent exactement le plan de la création du
cosmos : les sept plans, plus cette électricité qui sans arrêt va d’un
plan à un autre, sans se dénaturer, sans se transformer et sans s’amenuiser.
Cette énergie qui vient directement de la pensée de Dieu et touche l’homme au
plus profond de son âme. Et c’est d’ailleurs cela qui le maintient en vie, car
sans cette projection incessante, son âme se dénaturerait. Rien qu’au contact
de la personnalité, si difficile à gérer et à vivre, l’âme serait complètement dénaturé.
Et l’on ne pourrait pas faire des plans pour une évolution, car tout serait
mort en quelques générations.
Cette électricité dont je parle qui vient directement de
la pensée divine, est comme un mantra. Et c’est un mantra que vous connaissez
bien, en tout cas pour certains. Ce n’est pas un mot secret, magique, puissant
servant à faire des miracles. Non. Le seul miracle qu’il accomplit, c’est le
miracle de la présence, c’est-à-dire de la perpétuité de l’âme. Cela devient
même le seul mot que répète l’âme, tant qu’elle n’est pas pleinement éveillée à
elle-même. Pendant ce temps, elle est alimentée par la répétition de ce mot,
qu’elle ne répète pas consciemment, mais qui est répété par le grand Répétiteur,
qu’est la pensée de Dieu parce qu’il envoie cette vibration sans arrêt.
Les hindous l’ont interprété par ces deux syllabes.
« SO-HAM »
Mais l’on peut aussi l’imaginer en français par :
« JE SUIS CELA »
Le fait que la pensée divine émette ce souvenir
incessant, cette répétition incessante (Je suis cela) entretien dans l’âme une
énergie comme une sorte de circuit fermé. Elle se rappelle à elle-même qu’elle
est l’âme. Tandis que l’entité divine qui répète ce « Je suis cela »
ne le répète pas pour elle-même, mais elle l’envoie comme semence pour les
âmes, pour que les âmes restent elles-mêmes et ne soient pas complètement
dévorées par les personnalités et assujetties uniquement à la personnalité. Non.
L’âme persiste et répète :
« Je suis cela, je suis cela… »
Ou bien, si vous êtes plus sensible à une vibration
indienne et sanskrite :
« So ham, so ham… »
Et aussi souvent que vous le pourrez. Si vous acceptez ma
proposition, rappelez-vous ce chant :
« So-ham, So-ham »
Ou bien en français :
« Je suis cela, je suis cela »
En pensant : je suis l’âme, je suis l’âme, l’âme
est.
Et si vous, vous accomplissez cette répétition dans le
recueillement et de façon à ce que cela devienne une conviction profonde. Alors,
vous allez sentir tout un pétillement avoir lieu autour de vous, comme si vous
étiez plongé dans une eau gazeuse. Et ça c’est l’énergie de So-ham. Et comme
son énergie est intègre et inchangée depuis l’Esprit de la divinité. Eh bien,
vous recevez son énergie : So-ham, So-ham…
Il y a aussi une autre faculté qui se génère pour répéter
ce mantra, celle-ci purement physiologique. Lorsque vous répétez ce son. Le
« ham » résonne particulièrement dans la gorge. Et sitôt que je
trouve le moyen de faire résonner ce chakra-là. Plus sa correspondance physique
(c’est-à-dire la gorge) alors j’harmonise l’aura et je rétablis certaines énergies
qui étaient, soit mal alignées soit manquantes.
Il faut savoir qu’il y a un grand pouvoir d’harmonisation
à découvrir, non seulement par la maîtrise de ce chakra, mais aussi tout
simplement par l’excitation de la gorge elle-même, laquelle à son tour génère
l’excitation de ce chakra. Et c’est parce qu’il y a certains sons et certaines
musiques, qui font particulièrement vibrer une partie du corps, et cette partie
du corps en vibrant fait vibrer le chakra correspondant. Faisant qu’à son tour le
chakra aspire une énergie (comme un magicien convoque une énergie) et ainsi je
me retrouve régénéré.
Dans la médiation on verra toujours ces trois
plans :
Je suscite certains endroits de mon corps, soit parce que
j’utilise mon corps comme le fait par exemple la discipline du hatha-yoga, soit
parce que je répète certains sons, soit parce que je pense certains sons, ou
certaines phrases, ou certaines couleurs, ou je les visualise. Et après,
j’utilise l’énergie ainsi dégagée physiquement pour le chakra (ça je ne sais
pas le faire consciemment simplement cela a lieu) et ce chakra ensuite devenant
une immense main ouverte, l’énergie arrive.
En fait, l’homme ne devrait jamais manquer d’énergie. À
part s’il vient directement de l’utiliser à un travail ou à une création, mais
cela ne prend pas plus que quelques heures ou une seule nuit de sommeil pour se
récupérer. L’homme ne devrait donc jamais manquer d’énergie, parce que
l’énergie est partout !
Et non seulement l’énergie de la planète, mais aussi l’énergie
du groupe humain, l’énergie de la pensée semence des maîtres, et l’énergie de
la pensée semence de la divinité solaire.
Alors comment manquer d’énergie ?
Je vous le demande !
On ne peut à ce moment-là manquer d’énergie que si l’on
est complètement recroquevillé sur soi-même, emplâtré, avec une aura tellement
repliée que même les rayons du soleil ne passeraient plus.
Donc apprenons à OUVRIR l’aura.
D’abord apprenez à respirer, sachez respirer.
Qui respire, humm ?
En fait vous ne respirez pas, vous confiez simplement à
l’élémental qui gère votre corps et qui est assis dans votre corps au même
temps que vous-même (je sais que c’est très désagréable écouter cela, mais
c’est pourtant la vérité). Vous laissez simplement votre élémental s’occuper de
la respiration. Mais cet élémental ne sait pas respirer comme une divinité
respirerait. Cet élémental ne sait respirer que comme le corps sait le faire, et
plus précisément comme un corps qui serait plongé dans un état de léthargie,
parce que cet élémental est lui-même en état de léthargie et qu’il ne sait
faire fonctionner qu’un corps qui dort, et pas un corps qui agit, qui bouge,
qui crée, qui reçoit une âme, qui prend des décisions, qui veut transformer sa
matière, l’alchimiser, méditer pour y retrouver la lumière et la divinité.
Donc, au fur et à mesure, il faut savoir occuper son
corps de par soi-même et ne pas laisser faire le travail à cet élémental.
Bien sûr cet élémental est fort pratique, puisque c’est
lui qui va s’occuper de gérer les automatismes. Je peux ainsi par exemple,
m’endormir sans risquer de m’étouffer, car le corps continue de respirer, parce
que l’élémental fait le travail.
Cependant quand le jour revient et que j’ai des
transformations, des ouvrages, des dépassements à opérer. Ce n’est plus
l’élémental qui doit diriger mon corps. Pour lui, c’est sa nuit. Il doit aller
dormir. Et moi, je prends possession complète de mes activités et je les
dirige. Mais pour cela, il faut que je sois un individu présent et conscient.
Or il se trouve que la plupart des individus vivent d’une manière non seulement
automatique, mais aussi endormie.
Donc, comment pourraient-ils penser et se rappeler qu’ils
doivent respirer parce qu’ils le veulent et parce qu’ils le font ?
Impossible !
Comment-vous devez donc respirer dès demain ?
Eh bien, d’une manière simple. Cela ne doit pas être un
acte prémédité et réfléchi à chaque respiration, sinon vous n’allez même plus
pouvoir conduire votre voiture, ni faire votre travail.
SOYEZ UNE PRÉSENCE, UNE CONSCIENCE PRÉSENTE, ICI ET MAINTENANT
Et à ce moment-là l’occupation des locaux, l’occupation
de votre corps sera effectué par la science et la sagesse de votre conscience.
Ce n’est pas le moi objectif qui devra se dire :
« Tiens-je dois respirer comme ceci ou comme cela… »
Car le moi objectif ne peut faire qu’une seule chose à la
fois. Par contre si vous êtes une présence complète et totale. Alors, à ce
moment-là, la conscience va pouvoir assumer par son omniprésence et son omnipotence,
plusieurs facultés au même temps.
Comment-être donc cette présence ?
Comment-on y accède ?
Il y a une voie rapide et une voie lente.
La voie plus longue n’est pas critiquable. Il y a
simplement deux voies.
Je veux que vous cessiez systématiquement d’utiliser les
termes de : supérieur, inférieur, de meilleur, de moins bon…
Il y a deux voies, je choisis et j’assume mon choix,
c’est tout :
1) La voie rapide, c’est la méditation.
2) La voie lente, c’est au fur et à mesure de mes
expériences, au fur et à mesure de ma vie et de mes compréhensions, que je
deviens une âme présente, comme me l’aurait accordé des heures et des séries de
méditations
Comment-on médite ?
Voilà une question qui relancerait la conversation
pendant encore plusieurs heures. Mais j’ai conscience que je dois vous laisser
partir d’ici peu de temps. Donc, je serais bref.
Comment est-ce que l’on médite ?
Et qu’est-ce que c’est que la méditation ?
Qu’est-ce la méditation dans mon quotidien ?
Qu’est-ce que c’est vivre et méditer ?
La méditation quelle que soit la technique que j’emploie,
ou si je suis dépourvu de technique, quelle que soit la bonne volonté que
j’emploie et qui m’anime (grâce au calme intérieur que je sais faire).
La méditation a pour but d’accélérer les énergies dans le
corps physique, dans le corps astral, dans le corps énergétique, dans le
mental, jusqu’aboutir à une hyper sensibilité et une hyper efficacité de ces
instruments, à fin que l’âme descende complètement par le phénomène
initiatique.
Ce qui va me permettre d’accélérer les vibrations, c’est
ma capacité à savoir faire un tel calme, à savoir faire une telle introversion,
que d’un seul coup, puisque mon regard n’est plus attiré par des choses extérieures.
Tous mes sens se réunissent en un seul, pour aller capturer et fixer ma vie
intérieure. Et d’un seul coup, je ne suis plus qu’à l’écoute, je deviens alors
un témoin, et je me rends compte de ce qui est le monde de l’âme. Tandis que tant
que mes sens sont attirés par le phénomène extérieur, soit parce que dans ma
méditation je les entends, je les écoute et cela me perturbe, soit parce que par
jeunesse d’âme, je ne peux pas imaginer que je puisse m’assoir cinq minutes
tranquilles, ou je préfère aller à un spectacle plutôt que de méditer, ou je
pense sans arrêt au gâteau au chocolat que je mangerais sitôt après et dont
j’ai déjà très fortement envie
Toutes ces choses ne sont pas des problèmes en soi, mais ce
sont des diversions de l’énergie. Et si tous mes sens sont attirés comme cela,
soit par un élément dérageant, soit par la jeunesse de mon esprit qui s’attache
à toutes ces choses que sont les plaisirs, les spectacles, etc. Alors, je diversifie
l’énergie de ma vie, l’énergie de ma conscience. Je la dilue, à fin qu’elle
anime ses différents organes de perception, et puis, qu’elle rentre en contact
avec les objets désirés ou dont je n’arrive pas à me détacher.
Tandis que si j’arrive, par un pouvoir d’intériorisation,
ou par une belle volonté, ou par un acte de foi, ou un acte d’amour (imaginez
tout ce que vous voulez). Si j’arrive au contraire à ramener cette énergie, à rassembler
tous me sens, toutes mes perceptions, en une seule perception. À ce moment-là,
j’arrive à sentir la paix. Puis la paix de l’âme. Puis l’âme elle-même. Et je
la deviens.
Tout l’acte de la méditation est en fait un acte
d’introversion. Et lorsque finalement j’ai réussi à être une âme dans le monde.
Je peux après cela faire tout ce que je veux.
Dans le monde, je serais dans un état de méditation,
parce que quelque chose en moi dans mon intérieur est suffisamment éveillé.
Quelque chose en moi est suffisamment centralisé pour contempler sans arrêt
cette première vérité, et ensuite aller agir dans le monde et accomplir un
service, accomplir une mission, accomplir une recherche scientifique, accomplir
je ne sais pas : une composition littéraire qui soit très inspirée, très révélatrice,
ou être un docteur, être une infirmière, être une assistante sociale. Il n’y a pas
de limites !
Je suis là, et je rayonne sur l’extérieur et j’accomplis.
Tandis que, toute la difficulté de l’homme d’aujourd’hui,
est qu’il n’est pas suffisamment existant.
Il le sent, et s’est-ce qui fait son drame. Et c’est pour
cela qu’il essaye de le compenser par toutes sortes d’autres puissances : par
une grosse voix, par un personnage qui se compose, par une influence qu’il
essaye de déterminer sur les autres (en leurs faisant peur par exemple).
Puisqu’il ne sent pas un vrai moi exister en lui. Alors, il doit dépendre d’une
composition et de tous ces masques pour exister. Tandis que si je me mets à me
cultiver. Si j’emploie ce même temps pour cultiver une création intérieure et
non pas une création extérieure. C’est-à-dire la création de ce moi objectif, mais
dans un état pur et non plus éparpillé dans l’environnement. Alors, là oui, je
commets un acte spirituel. Alors, là oui, je médite, même si je maintiens les
yeux ouverts.
Et ainsi par exemple, au moment où je me trouve face à
quelqu’un qui m’intimide, dont j’ai la crainte et qu’il me fait peur.
Si j’ai la peur, c’est parce que mon moi intérieur n’existe
pas suffisamment. Parce que si mon moi, pour cette relation particulière
existait, je n’aurais pas peur. Je serais naturel. Seulement voilà, soit par
une certaine expérience, soit par souvenir, soit par traumatisme (il y a une
multitude de causes). Mon moi, face à cette personne est comme anéanti. Et ce n’est
plus lui (mon moi) qui existe, mais c’est un masque que j’ai fait exister
jusqu’à présent.
Si je veux transformer cette rencontre et cet événement
en un grand moment de méditation. Je dois me préparer à aller vers cette
personne que je crains. Je dois y aller presque cérémonieusement, comme étant
un acte de dépassement, comme étant un acte de maturité vis-à-vis de mon âme,
vis-à-vis de mon avenir. Je ne dois pas simplement à préparer fiévreusement les
mots que j’aurais à dire, les gestes que j’aurais à faire. Mais je dois le
vivre profondément et consciemment, comme étant un acte de dépassement plus
grand que le sens qu’a concrètement la situation.
Et lorsque je suis face à cette personne qui m’intimide, je
dois essayer d’être d’un calme absolu. Et pour être ce calme, à fin de
déclencher l’existence de ce moi et d’éteindre la peur, il y a des moyens
simples.
Je vous rappelle celui que je vous avais donné il y a quelque
temps : les pieds à la terre. Les pieds bien sur terre. À ce moment, je ne
pense pas à ma peur, je pense à mes pieds, que j’ancre avec ma pensée correctement
et tout à fait dans la terre. Et ainsi, en sentant cette assise et en pensant (en
faisant diversion en fait, car ma pensée n’est plus préoccupée à contempler ma
peur et à me persécuter avec) ma pensée va dans les pieds. Et par cette pensée,
je fais un contact avec les énergies de la terre. Or la terre n’attend que cela
de venir me renforcer, la terre est une mère. Il ne faut pas l’oublier. La
terre vous donne sans arrêt. Et sitôt que vous faites appel à elle, elle vous offre.
Donc, contact, pieds à la terre, droit, les jambes raides,
comme un soldat. Alors l’énergie monte. Et même si vous sentez encore des
reliquats de la peur. Vous sentez une détermination surgir, et enfin vous
pouvez agir naturellement et régler à tout jamais votre problème de timidité ou
de peur vis-à-vis de cette personne.
De la même manière lorsque vous êtes face à une situation
et non plus à une personne bien discernable, mais à un phénomène, comme par
exemple la peur du chômage ou la peur de la maladie. Chaque fois que vous êtes
dans une tension et dans la faiblesse de la peur. Rappelez-vous cela : les
pieds à la terre et je me nourris de son énergie.
Pour être quoi, humm ?
Mais pour être déterminé tout simplement.
C’est-ce qu’elle peut m’offrir la terre.
Par son attraction terrestre, par les phénomènes de ces
lois, par le fait qu’elle peut créer le centre qui va donner lieu à l’ego (et à
l’égocentrisme aussi malheureusement, mais pour le moment ne pensons qu’à l’ego).
Tout cela veut dire que la terre vous offre une énergie de détermination, car
l’ego c’est : je suis un être déterminé. Et puisque je suis un être
déterminé, cela veut dire que la terre m’ayant donnée cette énergie, je peux
l’utiliser pour vaincre mes peurs, car cette même énergie de détermination qui
a fabriqué ma parcelle d’ego, va être aussi une énergie de victoire.
Comment faire alors appel à cette force qui est dans la
planète et qui fait la puissance de rotation de la planète elle-même ?
Il faut aller à sa rencontre. Soit parce que vous lui la
touchez avec vos pieds, soit parce que vous la touchez avec vos mains. Mais il
faut la toucher. Il faut faire contact avec elle. Il ne faut pas l’invoquer
comme un esprit parmi tant d’autres. Pensez simplement que c’est un grand
réservoir dont ces lois sont naturelles. Et que si vous adoptez le comportement
adéquat, le naturel de ces lois va venir vers vous.
Donc, si je fais contact avec la terre, et qu’ayant reçu
cette énergie, mentalement je la dirige à fin d’être déterminé. Eh bien, j’ai
été un constructeur sachant construire et ça va réussir. Par contre, si je fais
sans arrêt contact avec la terre, mais sans le faire consciemment et sans
diriger cette énergie. Eh bien, la terre ne va pas pouvoir me servir
spirituellement. Elle me servira uniquement physiquement par le corps qu’elle
me donne, par l’incarnation qu’elle me permet grâce à son attraction. Et puis c’est
tout.
Vous devez savoir que tous les objets que vous avez entre
les mains, que ce soit votre corps physique, les lois de la planète, les sons,
la puissance de la pensée, les couleurs, etc.
Toutes ces choses-là peuvent être utilisées sur les trois
niveaux :
- Le physique,
- Le psychique,
- Le spirituel.
Et les planètes n’échappent pas à cette loi.
Vous pouvez de la même manière utiliser l’énergie des
planètes (de Vénus, de Mars, de Jupiter, etc.) : d’une manière
physique, d’une manière psychique et d’une manière spirituelle.
Or, s’il est facile de comprendre le contact physique que
l’on peut avoir avec la terre, il est moins facile de comprendre ce contact
physique avec Vénus par exemple.
Je vous affirme qu’il y a autant de facilité à le faire,
simplement il faut savoir ce qui sur la terre, reçoit le mieux les énergies
vénusiennes. Et alors on voit qu’il y a un certain nombre de fleurs, un certain
nombre de métaux, un certain nombre de liquides qui sont en correspondance avec
Vénus. Et il y a aussi une heure précise, et que si l’on sait mettre tout cela
en route. Eh bien, à ce moment donné, on touche aussi physiquement que si l’on
touchait la terre, l’énergie vénusienne.
Il faut savoir que tout rayonne, tout fait écho. Et parce
qu’il y a des échos, il y a aussi les moyens de recevoir, de capturer, de
garder les diverses énergies du cosmos. Mais il ne sert à rien de capturer et
de garder. Il faut diriger vers un but. Et c’est là où fondamentalement, la
pensée créatrice de l’homme commun (l’homme qui vibre dans l’astral) et la
pensée créatrice du disciple, sont deux pensées complètement différentes.
L’homme astral n’a pas véritablement de but quand il veut
construire. C’est pour cela qu’il aboutit à des grossièretés et qu’il aboutit à
des choses incohérentes. Ainsi par exemple il bâtit pendant toute une vie une
femme idéale et voici que pendant une autre vie cette femme se concrétise,
arrive, mais qu’il ne peut pas l’épouser, parce que c’est la femme de son
meilleur ami.
Alors que le disciple, parce qu’il connaît le
fonctionnement harmonieux de certaines lois, parce qu’il sait qu’une vie ne peut
pas être une vie égoïste qui ne vit que pour elle-même, que pour sa propre
jouissance, mais que c’est au contraire un bien commun qui est partagé et qui
doit viser un bien commun. À ce moment-là, sa pensée créatrice, non seulement
sait dix fois mieux se servir des lois naturelles, mais en plus, même s’il
n’avait pas fait appel, s’il n’avait fait que doucement rêvé et pensé un désir.
C’est Dieu en personne qui lui aurait envoyé ce qu’il demande.
Donc, et je vous quitterais sur ce dernier chapitre.
L’homme d’aujourd’hui, que ce soit lorsqu’il veut méditer, que ce soit lorsqu’il
veut créer (matériellement ou psychiquement), il se trouve plus précisément
aujourd’hui (puisque c’est le problème qu’on veut lui faire étudier) face à son
égocentrisme.
Ce qui peut, d’une part, lui faire comprendre la nature
de cet égocentrisme, et d’autre part, l’aider à le dépasser un petit peu, c’est
ce que l’on appelle aujourd’hui la spiritualité. Et j’aimerais que vous
m’accordiez quelque temps pour exorciser ce mot, à fin que vous partiez, non
pas comme des « êtres très spirituels » car j’ai horreur de cela. Ça
ne m’intéresse pas, parce que c’est tout autant de futurs candidats à l’échec
ou au fanatisme. Et je ne veux pas avoir cette responsabilité-là.
Je veux au contraire que vous me quittiez, que vous
partiez d’ici, en étant des hommes et des femmes, capables de se construire des
lendemains meilleurs. Et aussi une nature intérieure meilleure et plus divine.
Donc, nous devons réviser notre concept à propos de la
spiritualité.
Qu’est-ce que la spiritualité ?
Comme je ne sais pas ce que je dois penser de la
spiritualité, puisque en fait je l’ignore, car tout ce que je sais et tout ce
que je pense, c’est ce que je peux identifier à propos de ce qui n’est pas
spirituel. Donc, au lieu de penser spiritualité, je crois penser quelque chose
de vrai à propos de la spiritualité, parce que je sais identifier parfaitement
ce qui est la mesquinerie, ce qui est la jalousie, ce qui est le mensonge, ce
qui est l’injustice, etc.
Et parce que j’ai vu, je connais et j’ai expérimenté par
exemple l’injustice. Alors je me dis :
« La spiritualité qui est le royaume de la justice, c’est forcément le
contraire de ce sentiment que j’éprouve d’injustice. »
Mais en fait, je ne sais même pas ce qui est le sentiment
de justice, puisque j’imagine ce qu’il doit être par le vécu que j’ai de mon
sentiment d’injustice. Ce qui fait que comme cela, je bâtis une fausse justice,
je bâtis une fausse éternité, et je bâtis une fausse spiritualité. Non pas
fondée sur une expérience, un vécu, mais sur le vécu de son contraire.
Et là je vous demande :
Est-ce qu’on peut deviner ce qu’est le jour, simplement parce qu’on
contemple sans arrêt la nuit ?
Non, on ne peut pas, car je suis tout accaparé par la
nuit. Je ne peux donc pas imaginer le jour. Je ne connaîtrais le jour, et je ne
pourrais me le rappeler en imaginaire, que le jour où je le rencontre, que le
jour où je le vois, et qu’alors je saurais ce qu’est sa lumière. Je saurais
comme la lumière donne du relief aux objets et comme elle fait ressortir les
couleurs.
Donc, puisque pour l’instant vous ne pouvez pas
identifier la spiritualité, je vous demande de faire l’effort magnifique et
courageux de ne rien penser, mais d’essayer chaque jour, chaque seconde, d’être
le meilleur de vous-même. Et en étant chaque jour le meilleur de vous-même, par
espoir de liberté, par espoir de beauté, par espoir de demeure. Et non pas par
fanatisme, non pas parce que je veux être mieux que les autres, non pas parce
que je veux être élevé à la gloire. À ce moment-là en étant le meilleur de
vous-même chaque jour. Eh bien, vous allez découvrir le goût et la nature de ce
règne rare qu’est la spiritualité.
Personne ne peut se prétendre spirituel, parce que ce
n’est pas quelque chose que l’on recherche. Ce n’est pas quelque chose que l’on
peut conquérir (puisque l’on ignore complètement). On peut tout simplement se
prétendre voyageur, chercheur, âme pèlerine. Et par le meilleur effort fait
chaque jour (à tout le monde et à soi-même) on aboutit au spirituel, au juste,
au beau, au vrai.
Mais avant cela, mon Dieu ! Faites taire toutes vos suppositions, parce
que vous perdez de l’énergie en construisant des institutions dans lesquelles vous
vous enfermez. Des systèmes qui finissent par vous paralyser et assécher même
votre semence, ce qui fait que lorsque vous engendrez des enfants, ils sont chétifs
intellectuellement et faibles affectivement.
Rien de plus n’a créé des corps prédisposés à un manque
de santé, à un manque d’intelligence, et à un manque de présence donnant lieu à
toutes sortes de maladies (que vous identifiez à la folie). Rien de plus n’a
créé tout ce fléau, que des individus qui s’installaient trop à l’intérieur des
systèmes et notamment des systèmes religieux. Ce qui fait que les grands tirants
religieux d’hier sont des pères de famille qui aujourd’hui se trouvent à la
tête de trois, quatre ou cinq enfants dont aucun est normal. Parce qu’entre-temps
leur corps éthérique s’est tellement asséché, par leur égocentrisme profond,
par leur fanatisme profond, qui a opéré une sorte de sclérose des énergies.
Le problème ce n’est pas le fanatisme en soi. Le problème
ce n’est pas le système. Le problème ce n’est pas que je suis fermé et obtus. Le
problème c’est que, puisque je suis fanatique, je sédentarise alors mes
énergies, je sclérose mes énergies, et j’abrutis mon corps astral et je
calcifie mon corps éthérique. Et quand je meurs, toutes ses informations vont
dans la grande mémoire de la nature. Et quand je reviens à l’incarnation, cette
mémoire, comme tirée du grand disque dur de mon ordinateur, resurgie en moi et
me typifie mon nouveau corps mental, mon nouveau corps astral, mon nouveau corps
éthérique, mon nouveau corps physique, et je retrouve la sclérose. Mais cette
fois-ci je la subis. Je ne suis plus simplement en train de la créer comme
autrefois. Cette fois-ci, je la subis pleinement.
Et pour tous ceux qui ont été notamment de grands tyrans religieux.
C’est avant tout une démarche intellectuelle. Car ce tyran était un tyran
religieux par ses émotions, mais aussi parce qu’il était capable par ses
pensées et son intellect, de bâtir tout un système et de l’imposer aux autres. Et
comme l’énergie mentale est reliée directement à l’énergie sexuelle. Puisque
c’est la même, car à travers de l’évolution, depuis la grotte de la kundalini et
des organes sexuels, l’énergie est montée pour aller petit à petit développer
le cerveau. Donc vous voyez que c’est la même énergie.
Donc si j’ai atrophié mes idées, je vais atrophier aussi ma
semence, que je sois un homme ou que je sois une femme. Et je vais engendrer
des êtres abâtardis. C’est inévitable.
Ces êtres abâtardis pourront, soit être choisis par des
âmes à qui cela correspond pour des buts karmiques, ou soit cela va frapper
d’une manière injuste à des jeunes âmes qui ne savent pas encore très bien
choisir quelle incarnation est la meilleure, ou qui n’ont pas trop le pouvoir de
refuser. Et qui surtout, ne savent pas bien discerner en lisant le corps astral
qui se prépare, le corps énergétique qui se prépare, ils ne savent pas bien
discerner qu’est-ce que cela peut donner comme problème ces corps.
Et à ce moment-là, c’est un véritable fléau qui s’abat
sur l’humanité à un moment donné pour cette vague de fanatisme qui se génère.
C’est une responsabilité qui a été créée par ces humains fanatiques, et qu’ils
laissent à la suite assumer par les autres qui en deviennent les victimes. Et
c’est là que l’on parle du karma collectif, où l’on voit bien que la
responsabilité d’un seul homme, peut engendrer des dizaines de victimes. Et
c’est là que de nouveau il y a grande confusion entre les victimes et Dieu, ou
les maîtres.
On se dit, mais pourquoi, les maîtres n’interviennent pas
de façon à que chacun paye uniquement sa note et que l’on ne risque pas de
payer la note des autres?
Alors pour terminer ce sujet et pour vous démontrer le
mécanisme de cette loi, je prendrai l’exemple de votre société :
Avec l’argent que vous gagnez, vous employez une partie
pour vos dépenses personnelles. Avec votre salaire vous achetez votre
nourriture, vous payez votre eau, votre électricité, vos vêtements, etc. Et
puis il y a une autre partie que vous employez pour payer l’impôt local et aussi
l’impôt national, bien qu’une bonne partie de ce qui est fait avec cet impôt ne
vous concerne pas directement parce que par exemple, avec cet impôt on est en
train de construire un pont dans un endroit que vous n’habitez pas et que vous
n’utiliserez jamais, ou on est en train de construire un hôpital dans une zone
qui n’est pas la vôtre et où vous n’irez jamais pour subir un soin quelconque.
Cependant vous payez ces impôts parce que vous faites partie de cette région et
de ce pays.
De la même manière fonctionne avec le karma. Quand vous
réincarnez sur la Terre, il y a une part de karma que vous devez payer pour vos
propres actes commis dans le passé, dans vos vies antérieures, et ça c’est le
karma individuel. El il y a aussi une part du karma que vous devez payer pour
les actes qu’on commit votre collectivité où vous avez vécu, et ça c’est le
karma collectif. Eh bien que vous ne l’ayez pas commis directement et que ce
karma a été surtout créé par les autres. Cependant vous avez indirectement participé
soit par votre silence, soit par votre ignorance, soit par votre indifférence
(comme c’est par exemple l’attitude qu’ont la plupart des humains actuellement
face à la destruction et à la pollution que fait l’humanité à la planète).
Donc, à part mon karma individuel, je dois aussi considérer
le karma de ma famille, le karma de mes amis avec lesquels je vis, le karma de mon
village, le karma de mon pays, le karma de ma race. Et plus loin il ya aussi le
karma de la planète et le karma du système solaire aussi.
Alors, en sachant maintenant tout cela,
Est-ce que je dois rentrer chez moi ce soir en me sentant bien petit et
très embêté ?
Non
Ce n’est pas un sentiment d’accablement que je veux
susciter en vous. Je veux tout simplement vous démontrer que puisque les vies
et tous les règnes s’interpénètrent. Toutes les responsabilités
s’interpénètrent aussi. Et que toutes les manières de les assumer, se partagent
et s’interpénètrent aussi.
Ce qui veut dire que l’individu existe dans une manière bien
particulière et délimité. Je suis un individu. C’est sûr. Mais je ne suis pas
un individu isolé de tout le reste des hommes ou de l’univers. Je suis un
individu dans la mesure où cette particule précise qu’est l’individualité,
qu’est l’ego, va me permettre d’éveiller le feu du mental. Par contre, je ne
suis pas un individu pour être séparés des autres et ne pas être concerné par
des responsabilités communes et partagées par mon karma familial, par le karma
national, le karma racial, etc. Ce n’est pas pour ne pas appartenir à
l’univers, car le point d’individualité n’existe pas à ce niveau-là.
Et je le répète, parce que je veux que vous partiez avec
cela de frais et d’actif dans la tête : l’ego existe, le point
d’individualité existe dans le but de réveiller les feux du mental. Bien sûr le
monde émotionnel joue une part importante, parce que pendant très longtemps, le
désir et la pensée se mélangent : je ne veux que ce que je désire, je ne
veux que ce à quoi j’aspire. Mais au fur et à mesure des expériences, je
comprends mieux le monde du désir. J’arrive à le clarifier. J’arrive à purifier
ce monde-là. Et donc, d’un seul coup je me mets à vouloir d’une autre volonté.
Des choses abstraites, des choses comme : le bien commun, mon évolution,
la justice, la régularité, le travail, la discipline. Et c’est à ce moment-là
que le véritable mental commence à exister, et non pas quand autrefois je
pensais de manière toute emmêlée de sentiments et d’émotions, car ça ce n’est
pas véritablement de la pensée. Pas vraiment.
La pensée véritable existe au moment où ma volonté est
tout entière dirigée vers des buts progressistes, des buts d’évolution, des
buts de points communs et de biens communs. Des buts qu’en fait, on va encore
classifier de spirituels, et on y revient à cette spiritualité.
Quel choix donc vous avez ?
Tous les choix !
De devenir un diable, de devenir un dieu, de devenir un ange. Vous avez tous
les choix !
Mais fondamentalement, si l’on pense au choix le plus sage
et le plus judicieux, vous n’en avez pas, car c’est le choix de devenir un être
divin, ou de continuer à mourir sans arrêt et à s’atrophier chaque fois de plus
en plus.
Je peux bien sûr faire profession de cette déchéance, parce
que je deviens un criminel, parce que je deviens un bandit, parce que je
deviens un mage noir. Bien sûr, je peux choisir, mais ce n’est pas le choix le
plus judicieux, car si c’était une voie sûre, nous l’aurions choisi nous-mêmes
comme une voie initiatique. Seulement voilà, la mort finit toujours par
arriver, et même pour les plus puissants mages noirs, parce que le plan astral
n’est pas eternel.
Je ne veux pas vous faire peur, mais vous motiver.
Je ne veux pas vous terroriser, mais vous mobiliser.
De façon à ce que demain, votre discernement soit complet
et immédiat. Oui, je sais choisir, je sais discerner entre le vrai et le faux.
C’est cela le comportement spirituel, c’est cela aussi la
méditation, c’est cela la spiritualité : avoir la capacité de faire chaque
fois le choix du vrai, le choix du réel. Et pour y arriver souvent c’est
douloureux. Cela prend même du temps, parce qu’on ne sait pas ce qui est réel
et on ne sait pas ce qui est vrai.
« Comment savoir ce qui est vrai ? Je le choisirais tout de suite ! »
Me dirais-tu.
Bien sûr.
Mais je n’ai pas dit que ton choix doit être instantané.
Puisque le choix lui-même est une expérience. Donc, tu
vas vers le moment où le choix devient possible. Mais avant cela, réfléchi,
compare, observe.
Si tu ne peux pas décider d’une chose pour ta propre expérience,
mais que tu sais que c’est par exemple, à quelques différences près, le même
problème qui accable à un de tes amis ou à un de tes proches. Eh bien, ne
choisis pas tout de suite pour toi-même. Laisse-toi le temps de réfléchir, même
si la société ne te le laisse pas, ne fais pas la même erreur. Laisse-toi le
temps et observe à ton ami. Observe de quelle manière il fait ceci et il
aboutit à cela. Puis il fait cela et il aboutit à ceci.
Et ne fais pas comme lui, mais enrichi-toi de son
exemple. Et au fur et à mesure que tu t’en enrichis par ces expériences, c’est
comme si tu éveillais ton esprit, c’est comme si tu éveillais ton intuition, et
ainsi tes repères du vrai et du faux son plus nombreux, et à un moment donné,
tu peux alors décider.
Mais au moment de ce choix, ce que je te demande, c’est
que face à des choses beaucoup plus complexes, où tu n’es vraiment pas sûr que
tu aies fait le choix du vrai. Dans ce genre de situation, laisse-toi le droit
à l’erreur. Non pas comme si l’échec était inévitable, mais comme un élève
persistant qui ose aller à l’examen, qui ose revenir avec un zéro ou une note
moyenne, mais qui n’est pas affaibli pour autant, qui lui retourne à l’étude et
qui retourne à l’examen.
La grande qualité de l’homme, ce non pas que dès demain
il devient spirituel, parce qu’il en a la recette, parce qu’il l’a trouvé dans
un livre ou dans une conférence.
Je te donne plein de recettes depuis tant d’années !
Est-ce que tu changes ?
Non
Je ne suis pas aveugle. Et ce n’est pas un reproche, et
ce n’est pas un constat même d’échec de ma part. C’est parce que l’humain et la
communication que nous avons avec vous, ne peuvent pas aboutir à une autre
histoire que ce ne soit pas le développement de la spiritualité (même s’il faut
beaucoup de patience pour cela).
Donc, ce qui fait la grande qualité humaine, ce n’est pas
qu’il aspire à la spiritualité, mais c’est qu’il a le courage de ses erreurs,
il a le courage de ses échecs. C’est qu’il ose s’en enrichir et qu’il ose tirer
des conclusions à partir de ses erreurs, pour effectivement trouver ce qui est
le vrai et ce qui est le juste.
Ce qui veut dire que pour nous le vrai et le faux, vois-tu.
Cela n’existe pas véritablement. Il y a tout simplement un chemin, un sentier
d’évolution, ou un sentier d’apprentissage, appelle cela comme tu veux. Durant
lequel le vrai et le faux n’existent pas. Par contre, ce qui existe, c’est l’énergie
de travail.
Par cette énergie de travail et à force de recommencer et
de recommencer, on aboutit au vrai. Mais on n’aboutit pas au vrai parce que
l’on va s’en instruire, parce que l’on va faire un séminaire qui nous le décrit
par tourte sorte de qualificatifs et des démonstrations. On n’aboutit pas à un
vrai parce que l’on a fort soucis et que l’on pense sans arrêt à lui, comme on répéterait
un mantra. Par contre, on aboutit au vrai parce qu’on est dans le monde, on
accomplit, on agit, on se trompe, on sourit, on se relève et on recommence.
Et c’est cette énergie de travail absolu et constant que
je veux réveiller en vous. Et si je n’ai pas réveillé ça, alors je ne sers à
rien. Je vous ai même fait perdre votre temps. Vous êtes venus absolument pour
rien et toutes les démonstrations précédentes ont été nulles.
Alors si vous voulez m’accorder une quelconque utilité,
si vous voulez m’accorder un quelconque pouvoir qui, dans un second temps va
devenir votre propre pouvoir !
Accordez-moi vos esprits complètement ouverts, à fin que
j’y pose cette semence de lumière quand je vous dis :
·
Mobilisez votre énergie
de travail.
·
Mobilisez votre énergie
d’accomplissement.
·
Osez, faites, trompez-vous,
peu importe. Recommencez.
Et si vous admettez cela, si vous vous enrichissez de
cela, Alors, même si dès demain je décide de ne plus parler. Eh bien, je serai
passé pour quelque chose d’utile sur cette planète. Je n’aurais pas promené mes
pantoufles pour rien du tout. Et l’on se retrouvera de l’autre côté en sachant
tout de suite se reconnaître, car cette même énergie qui permet le travail, est
cette même énergie qui nous caractérise à nous en tant que hiérarchie, en tant
que guides et en tant que protecteurs.
C’est une électricité bleue, magnifique, intense, qui est
tellement habitée par la lumière, que le bleu semble électrisé, le bleu semble
devenir blanc dans le centre. Et lorsque vous déployez cette énergie bleue, ce
bleu électrique, alors on vous reçoit cinq sur cinq.
On se dit : tiens qu’est-ce qu’il est en train de
faire ?
Qu’est-ce qu’il cherche ?
De quelle manière on peut le mieux l’aider ?
On lui envoyant telle énergie, mais attention ! Car il a encore tel mirage et il a encore
telle illusion. Attention aussi à tel et tel endroit, car son énergie est
encore faible. Son énergie par exemple émotionnelle, elle est encore faible, et
à cause de telle ou telle pensée, son énergie mentale est aussi faible, donc le
courage va lui manquer.
Et c’est à ce moment-là que finalement nous-nous
apercevons que nous ne pouvons pas vous aider pour faire la chose, mais que nous
devons vous aider pour vous renforcer, de manière à d’ici quelque temps vous
puissiez faire la chose.
Pour vous renforcer, il y a plusieurs moyens :
- Soit en déclenche une énergie pour qu’un état de crise
s’installe en vous, à fin que vous voyiez où est le problème.
- Soit on vous met face à une situation pour que vous
voyiez le problème et que vous sachiez déclencher l’énergie inverse, à fin que
vous libériez votre pouvoir d’être et votre pouvoir d’action.
Et c’est sur ces mots que je vais vous quitter car j’ai
conscience que je dois vous laisser rejoindre vos foyers. Seulement je ne veux
pas que vous passiez cette porte sans penser à nouveau :
« JE SUIS LE POUVOIR D’ÊTRE ET LE POUVOIR D’AGIR. »
Bien sûr, c’est une notion abstraite :
Le pouvoir d’être.
Où je vais aller le chercher celui-là ?
Le pouvoir d’agir, je le comprends un peu mieux. Par
exemple, je tape sur une table, car c’est une action concrète.
Mais le pouvoir d’être ?
Eh bien, tu vas le découvrir si tu fais comme je te l’ai
dit tout à l’heure. Petit à petit, et au fur et à mesure de tes rencontres. Si
tu sais faire les confrontations qu’il faut avec tous les éléments qui semblent
te dépasser ou te faire peur. Et tu verras alors qu’au fur et à mesure, ton
pouvoir d’être va exister et ton pouvoir d’action aussi. Et que tu n’auras non
seulement plus besoin de moi, mais que tu me trouveras bien ridicule, parce que
j’utilise des heures pour exprimer un mécanisme que tu peux comprendre en trois
secondes ! Si tu te mets dans
l’action et dans l’épreuve qu’il faut.
Et comme je n’aime pas être ridicule trop longtemps,
vois-tu. Alors, je vais finir mon discours, tout en espérant que dès demain tu
te souviennes de faire cette spirale de protection, de faire attention aux créations
dues à tes fortes émotions et à tes fortes pensées, de prendre soin et assumer les
confrontations, de prendre soin de ne pas identifier les grands concepts,
puisque tu ne les connais pas encore. Ne pense rien et ait le courage de vivre,
ait le courage d’aspirer, même si tu ne connais pas encore l’objet et la nature
de l’objet auquel tu aspires : Dieu
C’est le seul effort véritable que l’on te demande.
Il y a un travail, certes, mais l’effort véritable pour
l’humain c’est de ne pas savoir, et de faire quand même tout pour tendre vers
cette direction qu’est Dieu.
Tu ne restes pas aveugle très longtemps, je te rassure,
mais dans la mesure où tous tes efforts sont faits de la manière que je viens
de décrire si longuement. En peu de temps en vérité ton œil spirituel s’ouvre
et tu peux ressentir le souffle de l’âme et le souffle de Dieu.
C’est ce que je te souhaite, et c’est là-dessus que je te quitte.
Je te salue.